Portrait élogieux De La Femme

La Princesse de Clèves, scène de bal Mlle de Chartres => Princesse de Clèves (jeune mariée avec Prince de Clèves) INTRODUCTION : - Mme de La Fayette (1634 – 1693) *Aristocrate ayant vécu à la cour + Femme de lettres - La Princesse de Clèves: *Roman classique assez bref + inhabituel ( différent des romans fleuves) + analyse psychologique des personnages * Extrait: peu après le mariage de l'héroine (→ n'aime pas son époux) * coup

autre homme que son mari dans le roman de Mme de La Fayette, « Monsieur de Nemours n’était pas effacé de son cœur ». C’est immoral et pourtant le lecteur grâce au processus d’indentification au personnage la voit comme une femme forte, il fait d’elle un portrait très élogieux. En second lieu, le lecteur est d’une certaine manière manipulé par l’auteur. Il s’identifie au héros, il s’imagine

Silvia (scène 1). - La présentation de Dorante par Lisette Lisette brosse un portrait élogieux de Dorante (l. 36-40). Elle souligne ses qualités physiques (« bien fait »), intellectuelles (il a de l’ « esprit ») et de sociabilité : il est « un des plus honnêtes du monde ». Lisette insiste enfin sur la valeur morale de Dorante, qui ne cherche pas une aventure, mais désire « se marier dans les formes ». C’est donc le portrait du mari idéal que fait Lisette : « Aimable, bien fait, voilà de quoi vivre

Schmitt était interviewé sur une de ces ouvrages qui devait sortir en septembre.. J’ai toujours été sceptique sur les ouvrages présentés lors des rentrées littéraires mais ici journaliste qui d’habitude n’était pas très complaisant était ici assez élogieux. Eric-Emmanuel Schmitt m’a paru lors de l’interview très raffiné au limites de l’obséquiosité mais cependant attachant et maniant le verbe avec panache. J’ai tout de suite été séduite par le personnage et prête à acheter le livre. Quelques mots

convalescence». Elle dit le contraire de ce qu’elle pense pour faire réagir Orgon, il s’agit d’un comique de mots, ce qui crée une connivence avec le spectateur. En outre, l’adverbe de manière « fort dévotement » (v.20) accentue le portrait ironique et peu élogieux que Dorine peint de TartuZe (comiques de situa'on et de caractère). Il n’y a rien de pieux ou de religieux à se goinfrer lorsqu’une personne souZre terriblement. Cet adverbe souligne la gourmandise, l’égoïsme, l’hypocrisie de

Acte I, scène 1 La tirade est tiré de la scène d'exposition. Sganarelle fait le portrait de son maitre à Gusman lui montrant bien que Dom Juan ne reviendra pas à Elvire, abandonnée par celui ci. Sganarelle fait son propre portrait en même temps. C'est le début de l'intrigue. Annonce des axes I - Portrait d’un séducteur (Dom Juan): a)Attaque contre la religion: croyances de Dom Juan → Ø Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion → prédateur

E-L 1 E-L n°1 : O de G, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne: “Homme, es-tu capable ?” Intro : La Révolution française constitue un bouleversement politique fondamental dans la société française, mettant fin à l'ancien régime et aux privilèges de la noblesse sur les autres classes sociales. Cependant, d'un point de vue sociétal, les droits des femmes n'évoluent pas, laissant celle-ci à un statut d'infériorité par rapport à l'homme. Olympe de Gouges est considérée comme l'une des

monologue? l) LE ROLE DU BOUFFON A LA COUR DU ROI A) LES RELATIONS ENTRE LE BOUFFON ET SON MAITRE 1) Des êtres que tout oppose dans un portrait antithétique -PHYSIQUEMENT: Triboulet → Termes dévalorisants ''être difforme'' ''pris dans un corps mal-fait'' ''Dégout de ma difformitée'' François 1er → énumeration de termes élogieux '' Grand, jeune et bien portant, et beau'' -PSYCHOLOGIQUEMENT: Le roi est un homme insouciant, un épicurien qui profite des

sa vie et son comportement, Dom Juan les exprime dès le début de la pièce (Acte I, scène 2) dans une tirade grandiloquente qui lui sert de profession de foi. Cette déclaration publique de ses convictions, met le personnage en évidence. Alors, quel portrait Dom Juan dresse-t-il de lui-même dans cette tirade ? Plusieurs aspects permettent d’aborder cette question. Tout d’abord, son discours expose sa conception de l’amour. Or, ce discours argumenté est conçu et délivré dans le but de persuader son interlocuteur

cérémonie. 2) Par la beauté exceptionnelle des personnages (beauté physique et beauté de leur parure). *Les portraits sont très laudatifs, mais conventionnels et peu concrets comme en témoignent, par exemple, les expressions suivantes : « ce qu’il y avait de mieux fait (…) à la Cour », « l’air brillant qui était dans sa personne ». *Leur beauté étant indicible, la narratrice (cf. le portrait de Mlle de Chartres, lect. anal. n°1) préfère montrer l’effet produit par cette beauté sur le partenaire