Portrait élogieux De La Femme

instant à l’autre il est prêt à employer « sa vie pour la délivrer de la tyrannie de ses parents ». Dès ce moment-là, on comprend que Des Grieux est prêt à sacrifier sa vie pour le bonheur de cette jeune femme. C. Manon, une jeune femme mystérieuse • Des Grieux nous dresse un portrait élogieux de Manon. Elle est « fort jeune (…) encore moins âgée » que Des Grieux. Des Grieux emploie des adjectifs mélioratifs pour peindre ses qualités à l’aide du registre épidictique : l’adjectif « charmante »

mal engagée pour lui, Fabrice réussit et est placé en héros par le narrateur qui valorise son comportement héroïque et incroyable. C) Un portrait moral et physique du personnage Les scènes d’actions construisent d’abord le personnage en lui donnant une histoire personnelle, ce qui va par le suite lui créer une vie. Enfin les scènes d’actions créent le portrait physique du personnage de roman. En effet lors de ces scènes d'actions,l'on découvre et on nous met en avant des caractéristiques physiques

les répétitions de Camille font voir également son enthousiasme. On a des éléments d'information sur Laurent : son nom, son origine social, son métier, son salaire, ses études, on apprend aussi qu'il est un profiteur. Nous avons donc ici un portrait élogieux de Laurent pour mieux le connaître. Camille est déjà en situation d'infériorité. L'adverbe « singulièrement » utilisé par la tante de Thérèse « Madame Raquin se souvint brusquement du petit Laurent, qu'elle trouva singulièrement grandi. », marque

interdit de douter de la sincérité de l'acte : « heureusement pour lui… a été satisfaite » et lui donne un nouveau gage de crédibilité qu'elle met en avant dans son argumentation. Elle estime rendre justice à Valmont en louant ses qualités. C. Le portrait de Valmont - Il ne mériterait pas la mauvaise réputation qu'on lui attribue : « un trait de M. de Valmont, qui contraste beaucoup […] avec tous ceux sous lesquels on vous l'a représenté », « revenir sur un jugement trop rigoureux ». Mme de Tourvel

Bovary) et de Marianne (Les Lettre portugaises) les portraits de personnages féminins présentés comme “affaiblis” par leur statut de “femmes amoureuses”, il s’agit ici de montrer en quoi “ces faibles femmes” amoureuses (en tout cas en ce qui concerne la Pommeraye) peuvent également être des “âmes fortes” comme la marquise de Merteuil et la marquise de La Pommeraye. L’hôtesse présente d’ailleurs cette dernière comme une femme d’exception: femme noble, veuve d’un premier mari qui ne l’avait pas rendu

retournerez » > rassure son maitreCes deux idées sont développées par la suite Il juge inaccessible la femme convoitée· comme le montre la répétition du déterminant démonstratif « cette «  puis « ci » qui la met à distance· Il utilise des termes élogieux et hyperboliques pour parler d’elle « mieux » « grande charge » « rang »Il se déprécie lui-même dans un portrait à l’opposé d’Araminte :· il parle de lui en termes négatifs avec les négations, de plus « quelque «  est un adj indéfini

imaginables. p. 38. Qui est Thérèse Raquin ? Faites-en le portrait au début du roman : famille, physique, psychologie. Famille : Thérèse Raquin de mère algérienne ; le père = le frère de Mme Raquin ; orpheline ; confiée à sa tante ; se marie avec son cousin ; Physique : belle et forte ; Psychologie : de tempérament nerveux ; un tempérament de feu étouffé ; élevée comme une malade ; d’une grande duplicité et maîtrise de soi = capable de jouer la femme effacée (quand trompe son mari) ou la veuve éplorée

novatrice et analytique pour l’époque. L’extrait étudié ici relate le portrait de l’héroïne du roman. Il se situe en tout début de roman. Un portrait idéalisé et élogieux de Mlle de Chartres , future Princesse de Clèves, qui fait son entrée à la cour d’Henri II et qui rencontre dans une joaillerie son futur époux : M de Clèves . Lors de cette analyse , on scindera en deux parties l’extrait : le portrait et la rencontre. Le portrait est avant tout marqué par une volonté de « faire vrai » , un grand

Prince de Clèves est le fils du Duc de Nevers. Puis vient la description du Duc de Nemours : lignes 87-88 « Ce qu'il avait de moins admirable c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau ». Le texte s'attarde sur lui et est toujours élogieux. Le premier discours direct de l'oeuvre apparaît ligne 203 ; il s'agit du Duc de Nemours qui parle de son mariage probable avec Elizabeth Iere . Rupture à la ligne 220 avec la création d'un effet d'attente concernant Mademoiselle de Chartres, personnage

connue) ⤷ modélisation (l.15) : façon de relativiser ⤷ "monstres" utilisé pour faire comme tout le monde (pour la compréhension des lecteurs) 1er argument ⇾ religieux : - champ lexical de Dieu - termes élogieux, vocabulaire hyperbolique ("immensité" ; "infinité" ; "parfaite sagesse" - Dieu ⇾ force supérieur ⇾ toujours raison ⤷ les humains sont parfaits donc les monstres aussi car ils sont eux aussi une des créations divines 2ème paragraphe