Portraits Comiques

nous découvrons un nouveau personnage : Chérubin. Nous apprenons que Chérubin a été surpris par le Comte avec Fanchette et qu’il est chassé du château. La tonalité de la scène est comique et lyrique. Au cours d’une étude thématique, nous étudierons comment cette scène qui participe à l’exposition est une scène vivante, comique, et révélatrice de la personnalié de Chérubin. I/ Une scène d’exposition 1) Présentation du personnage de Chérubin  Chérubin est un adolescent Il est inexpérimenté, précipité :

Pourtant, Molière réussit à rendre comique une situation qui ne l’est pas. Dans cette scène, nous retrouvons les procédés habituels de la comédie moliéresque. Lecture/mise en scène de la scène 4 Cette scène est intéressante pour plusieurs raisons : sur le plan dramatique : comique, jeu de scène,… d’un point de vue thématique : étude d’un type littéraire et social : le parasite. Et ces deux thèmes mettent en valeur les dimensions tout à la fois comique et sérieuse de cette comédie. I/

de question : → En quoi ce texte est un incipit traditionnel du roman? Exemple de plan : I. Une situation initiale de roman traditionnelle a) Une entrée en matière qui guide le lecteur b) Des portraits en action II. Un roman picaresque a) Un picaro b) Un récit rythmé et comique c) Une critique sociale : un milieu pauvre et une peinture pessimiste I. Une situation initiale de roman traditionnelle a) Une entrée en matière qui guide le lecteur • Narration : Passé

est-ce que les aspects comiques d'une pièce de théâtre ne servent qu'à faire rire? Certes, le comique du théâtre est fait pour faire rire mais néanmoins la comédie sert à passer un message. L'humour, le rire font partie de notre vie. S'il existe un lieu où l'on exprime de nombreux sentiments, c'est bien le théâtre. L'auteur utilise le comique de théâtre pour faire rire les spectateurs. Pour déclencher un sourire, des rires, il existe différents ressorts du registre comme le comique de situation, de

L.A. n°2. « Irène » Un portrait fait par un Ancien mise en scène de deux personnages tirés d’une Grèce de convention : o Irène : - étymologiquement, eirênê signifie la « paix » (antiphrase, cette femme étant au contraire inquiète) - nom d’une ancienne impératrice byzantine, usurpatrice quoique sainte (élément qui a pu aider les contemporains à reconnaître dans ce personnage une clef pour Mme de Montespan, maîtresse officielle du roi. o Esculape : - dieu de la médecine : « le dieu » répété

valets = des personnages comiques A. Gusman B. Sganarelle : un poltron, hypocrite, commérant, pédant III) Le portrait du grand absent : DJ : cette rencontre en attente fonctionne comme un désir de rencontrer en vrai le personnage A. Un homme infidèle, inconstant B. Un athée C. L'incarnation du mal absolu Proposition 2 : Plan : Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription

; ce qu’on appelle détestable. » La répétition, associée ensuite à une exclamation (« Parbleu ! ») ou à une question destinée à gagner du temps (« Pourquoi elle est détestable ? »), dans un vain effort pour trouver une explication, appartient au comique de mot. Enfin l’explication arrive et c’est une tautologie : « Elle est détestable, parce qu’elle est détestable. » Le marquis se contente d’une appréciation affective négative et Dorante ne se prive pas de le souligner en reprenant par jeu le mot

différents de l’époque. Molière, dans cette pièce comique,  fait donc passer par Arnolphe (le personnage principal), la misogynie exagérée des hommes au XVIIème siècle. Dans scène d’exposition de l’acte I scène 1,  Arnolphe fait le portrait de la femme idéale selon lui tout en gardant un esprit comique. Comment cette scène d’exposition comique présente-t-elle son personnage principal ?                  Dans cette scène d’exposition, Arnolphe fait le portrait de la « femme idéale » qui serait extrêmement

Michel Quint L.A. n°2 le portrait du père en clown : un portrait ambivalent entre blâme et éloge Lecture linéaire I. Un portrait péjoratif et grotesque A. Un mauvais clown B. Un piètre guerrier C. Le style héroï-comique II. Le recul analytique et l’évolution du point de vue : les marques de l’éloge A. Le regard de l’adulte et la place du père dans le traumatisme B. Le renversement des enjeux et l’évolution de la structure du portrait C. De la déshumanisation

tentative du clan anti-tartuffe pour faire ouvrir les yeux à Orgon + Dorine veut montrer à Cléante l’aveuglement d’Orgon. Pourtant, Molière réussit à rendre comique une situation qui ne l’est pas. Dans cette scène, nous retrouvons les procédés habituels de la comédie moliéresque. Problématique : Comment Molière met-il en scène ici, de manière comique, dès l’apparition d’Orgon, l’emprise qu’a Tartuffe sur le maître de maison ? Intro rédigée : En 1669, Molière fait représenter la troisième version de