Portraits De Femmes

Depuis « Tout au fond, aux meilleures places (…) meublée de quenottes luisantes et microscopiques » Premières impressions sur le texte : galerie de portraits, les personnages qui ont pris place dans la voiture pour fuir Rouen au moment de la défaite contre les Prussiens sont décrits. Cf phrase qui précède le découpage : « Dans la voiture on se regardait curieusement, à la triste clarté de cette aurore » : focalisation interne suggérée par « on se regardait », effacement du narrateur omniscient

la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée sn héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de Chartres laisse présager un destin exceptionnel. I. Une incarnation de la perfection Le portrait brossé par Mme de la Fayette présente Mlle de Chartres

photographie de Shirin Neshat tirée de la série « Women of Allah » réalisée entre 1993 et 1997 et représente une femme voilée tenant une arme. Le voile est pour un regard occidental un objet hautement évocateur de l'Orient. Les représentations de femmes voilées -ou dévoilées- ont accompagné la colonisation et contribué à faire naître un regard particulier sur cet Autre qu'est la femme orientale. Les postcolonial studies, et en particulier Edward Saïd dans son ouvrage fondateur paru en 1978 l'Orientalisme

dénonçant L’EDUCATION a) La haine envers les autres femmes Dans cette lettre attribuée au Vicomte de …., La marquise de merteuil critique et dénonce l’éducation donnée par la société du XVIIIe s, notamment aux femmes. La marquise ressent beaucoup de haine envers ces femmes qu’elle qualifie de « femmes à délire », dont elle dresse le portrait. En effet, elle soutient que ces femmes n’ont jamais réfléchi (l.4) . De plus la marquise explique que ces femmes se laissent guider par leurs sentiments et leurs

km au nord de Paris, durant l'été et en octobre, il propose la version définitive des Trois femmes (Leningrad, Ermitage). En mai 1909, Picasso va à Barcelone, et à Horta de Ebro avec Fernande Olivier. Là, il peint les Paysages (New York, MoMA) . À Paris, en septembre, il déménage au 11 boulevard de Clichy, et réalise des sculptures : Tête de Fernande (Paris, Musée Picasso). En 1910, il fait les portraits d'Ambroise Vollard (Moscou, Musée Pouchkine), de Uhde (St.Louis, Collection Pulitzer) et de

1. Quel portrait Arnolphe fait-il des Femmes ? A quelle conception de la Femme ce portrait renvoie-t-il ? Arnophe a quarante-deux ans, d’ou le désir qu’il éprouve d’épouser Agnès qui n’a rien de scandaleux. Arnolphe voit les femmes comme un être intelligent, qu’elles ne peuvent trompent pas leur mari. Si elle n’est pas tenue solidement en main, elle est pour lui une créature rusée, occupé à tromper naturellement faible d’esprit, crée pour l’obéissance, elle s’égare. Ce qui lui fait horreur est

Lescaut et du chevalier Des Grieux. Cet extrait se trouve au début du roman, dans la première partie. Nous nous demanderons en quoi la rencontre amoureuse permet de dessiner un double portrait. Dans un premier temps, nous montrerons qu’il s’agit du récit d’une rencontre amoureuse. Puis, nous verrons comment le portrait d’ « Elle », c’est-à-dire Manon, se dessine sous la plume de l’écrivain. Après avoir montré que la rencontre amoureuse fait l’objet d’un récit rétrospectif, nous présenterons

représenté l'Homme dans son élément en mettant l'accent sur les monstruosités humaines. Dans un deuxième temps, j'analyserai la naissance du culte du corps à travers le temps et ses conséquences. Et dans un troisième temps, je révèlerai ce qu'est un portrait d'Homme avec notamment des artistes connus. 1- L'Homme dans son élément a) La misère a un visage La photo a le pouvoir de refléter la réalité sociale. La photo a le pouvoir de révéler toute une histoire. L'Homme peut être représenté de

enfin, nous verrons la présentation du personnage. AXE 1 : une première page de roman réaliste : un personnage dans un milieu : Portrait réaliste : On sait dés la première phrase que le personnage mis en scène se nomme GEORGES DUROY mais sans plus, ce n’est que dans la deuxième phrase qu’on apprend davantage sur lui « comme il portait beau >> *portrait physique : C’est au sixième paragraphe que se place la description de DUROY « grand, bien fait, blond, d’un blond châtain vaguement

romancier nous propose le portrait en mouvement de son héros, Georges Duroy. " Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau, par nature et par pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête