Portraits De Femmes

à la cour d'Henri II pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de Chartres laisse présager un destin exceptionnel. I – Une incarnation de la perfection 1- Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de

être heureuse… * Bel-Ami (1885) : Georges Duroy, sensuel et cynique, parviendra à la réussite sociale grâce aux femmes et au journalisme. Résumé d’œuvre : Bel Ami Les personnages de Bel-Ami * Georges Duroy, le personnage central du roman. Celui que l'on surnomme Bel-Ami est un arriviste absolu. Ce petit employé de 25 ans , monté à Paris pour réussir, va , grâce aux femmes qu'il a su séduire, Clotilde de Marelle, Madeleine Forestier et Virginie Walter, gravir tous les échelons d'un grand

les plus forts qui exercent leur autorité sur les plus faibles, ils sont critiqués et sont également fascinants. C'est la loi d'anti-nature. Les juifs et les faibles deviennent l'incarnation de la plus haute humanité. -2ème: L'amour et les femmes. Denis de Rougemont va donner une définition de la passion. Pour nous c'est quelque chose de dangereux qui conduit à un risque de mort. Rougemont étudie le mythe de Tristant et Iseult: mythe fondateur des perceptions occidentales de l'amour. Pour

douloureuse, notamment par l'un des sacrements prôné par le dogme catholique ; le baptême. Lecture du texte - Annonce des axes Dès lors, il se distingue de l'extrait un certain tableau érotique et pastoral menant à une rétrospection qui sert un portrait du Huron après sa lecture du Nouveau Testament. Enfin, l'extrait met à jour une critique ironique et satirique de l'éducation que le jeune homme reçoit à la suite de son interprétation de la Bible. 1) Un tableau pastoral et érotique A. scène

chanté ce qui renforce son caractère enjoleure. Ces élèments rappellent fortement le poéme « Elle était déchausée… » où Victor Hugo nous décrit le portrait d’une fille étrange et sa rencontre avec celle-çi. « Ondine » se fait ainsi sous les memes circonstances : au bord d’un lac, la nature prenant une place majeur tout au long du récit. Les deux femmes sont mystérieuses également et cachent quelque chose derrière leur aspect innocent et féerique. Ce qui renforce le coté surnaturelle des deux rencontres

(manuscrit 559). I) Le portrait de Dom Juan. 1)La volonté de faire un portrait. l.39-40 : « tu ne sais pas », l.41 : « je ne sais pas ». La répétition suscite la curiosité chez Gusman et le spectateur par le principe de la double énonciation. l.40 : « quel homme », l.41 : « quel homme » = répétition. On va chercher à savoir qui il est. Le champ lexical de la peinture « ébauche » (l.72), « portrait », « pinceau » (l.73) montre que le portrait qu'a entrepris Sganarelle n'est

(« vîmes ») -> Evnmt au 1er plan -> l’apparition du coche -Verbe de regard qui renvoie au topos de la rencontre amoureuse -C’est des femmes qui descendent qui des coches mais adj indef « qlq » ->Cela n’est pas important-Conjonction de coordination « mais » l.6 souligne le caractère exceptionnel de la rencontre -Scène très visuelle-Manon se détache des autres femmes ->parallélisme « il en sortit » // « il en resta »-alors que les autres partent rapidement « aussitôt » Manon marque une pause « s’arrêta

lettre. Nous verrons, dans un premier temps, en quoi madame de Merteuil fait dans sa lettre le récit d’une auto-formation. Dans un second temps, nous montrerons qu’elle est devenue une femme des lumières. Enfin, nous verrons qu’il s’agit en fait du portrait d’une libertine. Nous pouvons constater, dans un premier temps, que la Marquise de Merteuil affirme être son propre ouvrage. En effet, elle utilise le champ lexical de l’éducation, accompagné de la marque de la première personne : « mes principes

ses filles qui l’ont rayé malgré tout de leur vie, mais a gardé jusqu'à sa mort un bel amour paternel. II-Deuxième partie : Analyse personnelle J ai beaucoup apprécié ce roman. Bien sure, on retrouve le réalisme de Balzac qui nous dresse un portrait vivant de la société parisienne : une société plutôt mauvaise et pessimiste, avide d’argent, de réputation, oubliant les vraies valeurs de la vie telles que la famille et l amour. Je dois admettre que j’ai toujours vu Rastignac comme le personnage

d’ambition. Maupassant y décrit aussi la superficialité de la société parisienne, le lien étroit qui lie l’argent, la politique et la presse, ainsi que l’influence des femmes. Le passage étudié est l’incipit du roman. Il permet d’apporter des réponses aux questions que se pose le lecteur : qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Il brosse le portrait de Georges Duroy annonciateur de la psychologie du personnage, ainsi que de certains des thèmes principaux du roman. I. L’incipit Il apporte des réponses plus