Possessif

de l’auteur comme lorsque qu’il révèle le prénom de sa femme. Ligne 11 : « morte visible Nush invisible er plus dure », ou encore lorsque qu’il la tutoie tous au long du poème : « disais-tu », « tu l’as faite »,. De plus P.E insiste sur le pronom possessif « notre » avec le quelle il fait un anaphore. P.E fait également référence a une vie commune qu’ils ont eu ensemble, tout d’abords par le titre et également une information qu’il donne au vers 4 : « aurore, en moi, dix-sept années ». Et pour renforcer

est composé de sept quatrains en alexandrins. I. UN AUTOPORTRAIT 1. Un poète intermédiaire entre Dieu et les Hommes « je », « nous » Le poète s’exprime à la première personne du singulier et à la première personne du pluriel « Me » Déterminant possessif « mon », « ma » Ce poème à un caractère autobiographique La « voix » « bouche » champ lexical de la parole, la parole pour s’élever contre le tyran Métaphore « sous le sac de cendre » met en valeur La censure Référence à un prophète car sac et

groupes avancent -Confronter son point de vue, expliquer, accepter les idées d'un camarade -Compléter sa feuille (trace écrite en VERT) -Réponses attendues : c'est → (pronom + verbe) « c'était » s'est → (pronom + aux. être) ses → (dét possessif) « les siens, mes, tes, son » ces → (dét démonstratif) « celles-là, celles-ci, ceux-ci » sais, sait → « verbe savoir (2e/3e pers du sg, présent de l'indicatif) » Phase : Mise en commun Débattre Expliquer ses façons de faire Communiquer

comparaison avec la rose montre une beauté éphémère. II) La poésie, un moyen de s’exprimer pour l’auteur a)L’auteur se soulage Il expresse ses sentiments de douleur, souffrance et nostalgie ‘’Larmes’’ et ‘’pleurs’’ Et il met le pronom possessif ‘mes ‘ avant de ses deux noms communs Termine le poème avec ‘’rose’’ pour immortaliser sa beauté b) éloge de sa beauté part sa mort En est fait, le poète fait cet éloge à Marie en raison de sa mort, ici il fait l’éloge de la beauté de Marie

yeux « son peuple de femmes ». Après le possessif, un présentatif met en relief l’orgueil du maître : « C’était lui qui les possédait, qui les tenait à sa merci »; et les phrases suivantes, introduites par « il », renforcent ce vocabulaire de la conquête, de la domination : « il avait conquis les mères elles-mêmes, il régnait sur toutes avec la brutalité d’un despote… » La fierté de Mouret se remarque encore dans l’usage systématique des adjectifs possessifs : « son entassement continu de marchandises

relation poète / Interlocutrice Hélène. 1. La situation d'énonciation. On a un "je" qui s'adresse à un "tu" sur un mode assez familier, il n'y'a pas de vouvoiement. C'est une poésie d'apostrophe. On remarque qu'il n'y'a qu'un seul adjectif possessif commun qui réunit les 2 personnes : c'est "nos" , sinon "je" et "tu" sont assez séparés. On a pas de cadre spatio-temporel précis. On a seulement quelques renseignements : il loge chez le roi donc on peut s'imaginer une époque. Mais nous sommes un

la valise : Son cuir épais embaume (l'odorat), nickels brillent, plis blancs (chemises), couleur, matière, odeur. Beaucoup de "m", de "c" , la valise parlerait presque. 2) La valise vivante : a) Telle une présence : "Ma", adjectif possessif, valeur jolie. "M'accompagne", comme si c'est une personne. Ou "Ma compagne" : jeu de mots du verbe accompagner. « m' » touche le verbe, fort lienattachant. Présence du parfum (embaume), nickels brillent (yeux, vue, personnification), flatte le dos

chaque fois une relative à partir de l’impératif « fais que » (l.6).  Enumération qui s’enfle pour évoquer les différences entre les hommes avec la reprise de la préposition « entre » agrémenté chaque fois d’un adjectif indéfini, d’un adjectif possessif et d’un couple substantif/épithète (« entre tous… », l.8-9).  Acmé (le plus haut degré d’intensité de l’amplification) atteinte dans la péroraison (fin d’un discours) avec la modalité exclamative (l. 20 à 22).  Dernière phrase : ouverture spatiale

les texte un texte, ainsi le lien logique est beaucoup plus déterminable entre les phrases. Le première phrase commence par „ j'ai ainsi vécu seul...” et dans le phrase suivante apparait la groupe nominale „dans mon moteur” mon est un pronom possessif qui réfère à la sujet du première phrase donc la première personne du singulier. Dans la phrase suivante le sujet ne change pas, c'est toujours la première personne du singulier. Les mots „moi” ou „je me préparai” désigne que le sujet des phrases

temps qui passe entraine la fuite des évènements présents dans le passé, pour le meilleur et ou pour le pire. Le jugement d’un temps dépend de celui des évènements contenus, le temps est un contenant. C’est pour cela que l’on peut employer le pronom possessif et dire « mon temps » : l’on peut y loger ses propres actions. ID 3 Le temps qui passe et ne revient pas rythme l’action, et reçoit d’elle sa valeur Le temps donne du rythme à l’action, et en retour, l’action donne de la valeur au temps. C’est