Possessif

L'égocentrisme et le narcissisme du personnage vient également illustrer le registre de la folie. Ils sont très bien interprétés par l'emploi excessif du pronom personnel: « je » (27 fois), pronom personnel complément: « me,m' » (36 fois), et pronom possessif: « mon, ma, mes » (17 fois). Ils illustrent son côté égocentrique. Les phrases : « et où j'avais coutume de me regarder, de la tête aux pieds, chaque fois que je passais devant. » (l 12) et « Je pus me distinguer complétement, ainsi que je fais chaque

comme des tombeaux", l’association des termes, divans et profonds, figurant le côté charnel, voluptueux de l'amour est en opposition avec tombeaux, image de la mort et de la rigidité du cercueil. L'emploi du pronom "nous" (v.1-4-10) et du pronom possessif "nos" (v.6-8) démontre que la mort n'implique pas la séparation des amants, mais plutôt leur union. Le champs lexical du nombre 2 confirme cette union, "deux coeurs" (v.6), "deux vastes flambeaux" (v.6), "doubles lumières" (v.7), "deux esprits"

entretiennent une relation assez intime, complice. Et il en est fier (« il ne m'a point entretenu » ). De plus, la mise en apposition de « mon maître » insiste sur le fait que S. est fier que Dom Juan soit son maître, il est fidèle. Il utilise l'adjectif possessif « mon » car il est content, il n'est pas le valet de n'importe qui. ═> Sganarelle condamne les actions de Dom Juan, mais il l'admire en même temps et il y est attaché. Le personnage est ambigu. 2) La lachete de S envers DJ On trouve d'abord

angoissé (« éperdu », « peur », « tressaillement »), irritable (chp lexical de la colère), brusque (rythme irrégulier de la course), solitaire (« et sa surprise fut extrême »), faible estime de soi (association expression liée à la colère et pronom possessif « une colère de son essoufflement »), passionné par son art (« artiste », « amoureux ») => description morale qui influe sur la représentation physique que se fait le lecteur. B. Une jeune femme, Christine * Apparence : esquissée ; « grande

découvertes scientifiques ''mathématiques'', ''sciences physiques'', ''biologie'' : aucun connecteur car la rupture syntaxique est le point (''.''). Le XX° siècle est séparé du reste. Le constat général est suivi par ''Notre XXème siècle'' (adjectif possessif), vise le lecteur. De même, le ''on me dira'' montre que l'auteur s'engage avec le ''me''. Il s'oppose à cette antithèse. Il cherche à justifier pourquoi, pour lui, le XXème siècle est celui de la peur. Il utilise, pour se justifier, des connecteur

« nul(les) » (« nul connaissance de lettres […] nul usage de vin ou de blé » l36-40). •Enumération de nom dévalorisant (« le mensonge […] pardon » l41-42). I •Implication du narrateur, utilisation du pronom personnel « je » ligne1, du pronom possessif « mon » ligne1, du pronom réfléchi « me » lignes 24, 2. • Utilisation du pronom « nous » qui exclu le narrateur, lignes 8, 9, 5, 11 … •Citation d’auteurs et philosophes de l’antiquité : « Platon » l20-29 et « Lycurgue » l29. •Utilisation de verbes

en maitre comme le montre le terme «allegeance». Il traite ses emplyes comme des esclaves qui lui sont entierement devoues. L'hyperbole «vingt-quatre heures quotidienne» l'illustre. Par ailleurs dans le groupe nominal «ses gens» le determinant possessif «ses» reduit les domestiques à de simples possessions. De la même façon dans le groupe verbal «lui devaient» le pronom personnel en position de COI justifie que le vieillard se prend pour l'unique centre d'intérêt de son entourage, de plus, le verbe

malheureux Arlequin. Elle a pitié. « pauvre enfant » a une connotation maternelle. Elle est inquiète quand elle en parle. Nombreuses exclamatives et interrogatives. Elle utilise un vocabulaire hypocoristique (de la tendresse). Elle utilise le pronom possessif de la première personne « mon ». La tendresse est très forte, il semble que l’amitié entre les deux est très fort. Mais est-ce réellement de l’amour ? Il est décrit dans une action, dans l’immédiat : « Arlequin chantait mieux ». Les sentiments

lecture : sorte d’usure chez le poète. Il est blasé de l’expérience sensuelle et du monde des livres dont il semble avoir fait le tour. b) Le refus des liens Il veut se couper d’une situation familiale : Au vers 8, Mallarmé emploie l’adjectif possessif de la 3ème personne pour parler de son propre enfant et l’article défini « la » pour qualifier sa propre femme. On retrouve également l'idée de lassitude. Sur le plan syntaxique : - triple occurrence de la négation « ni » - pronom indéfini

Son action est directe   Il utilise l’impératif ligne 33 et 31 Des incitations vives ligne 30 « je vous conjure… » Il les flatte pour les convaincre : « sagesse »     B. Victor Hugo fait appel à leur responsabilité   Le pronom possessif « nos » montre que hugo s’associe à eux et qu’ils doivent s’investir (nos villes, nos campagnes)     C. Hugo utilise un ton lyrique pour susciter l’action   Ligne 8 « pénétré » met en avant ses sentiments : registre lyrique « je m’en