Possessif

la réalité) ; la mention à deux reprises du caractère fervent d’une éducation « studieusement philosophique ». - Le caractère privé de la lettre se lit dans l’expression d’une complicité entre père et fils, englobés dans pronom « nous » et le possessif « nos ». Le couple s’inscrit dans une histoire commune, d’un royaume commun : celle d’un pacte d’amitié bafoué comme le souligne l’opposition sémantique entre le groupe nominal « nos amis et alliés de longue date » (insistance sur le lien affectif

une infinité de, une masse de, une multitude de, une quantité de, une totalité de, etc.) suivi d’un complément, l’accord de l’adjectif se fait comme suit. En présence d’un déterminant défini (le, la), d’un démonstratif (ce, cet, cette) ou d’un possessif (mon, ton, etc.), l’insistance porte généralement sur la globalité et l’adjectif se conjugue au singulier : — La foule des émeutiers, furieuse, envahit les rues. — La multitude des grévistes est satisfaite. Quand le nom collectif est précédé du

sont des êtres au caractère changeant et capricieux, ici est sous-entendu une forme de lassitude et un besoin de découvrir d’autres choses, à d’autres niveaux, sans vraiment se soucier de ce que cela peut provoquer autour d’eux. L’emploi du pronom possessif « votre » traduit bien cette généralisation, car on peut interpréter ce pronom comme désignant le Comte mais également les hommes, ici la Marquise s’adresserait aux hommes à travers le Comte. La deuxième partie de la phrase : « et comme vous aimiez

de mettre la maison en état de siège suite à la lettre d'Agnès; on entend ses pas pesants dans l'escalier, on se le représente comme maître de la situation en pleine possession de ses moyens et sûr de ses décisions. "Son"  ("son jaloux") adjectif possessif, a dans ce contexte une connotation péjorative et ironique dans la bouche d'Horace. Il marque également une habitude: il s'agit du jaloux d'Agnès - "son jaloux" - qui expose Arnolphe à la moquerie ; il est dans cet extrait, pour la première fois

où nous est précisé qui est « tout le reste » (l.15) qui va être tué. Ceci appuie sur l’insensibilité du sultan (et du bourreau). Elle est aussi accentuée par le fait que les victimes soient des êtres humains et des animaux, qu’il y est le pronom possessif (« les siens » (l.20)) et que les adjectifs qui caractérisent quelques-unes d’entre elles soient mélioratifs : « douce brebis » (l.21), « bon vieillard intègre » (l.22) et « les faiseurs de bons mots » (l.24). Ainsi elles sont montrées comme inoffensives

qui va l’emmener à solliciter la nature conservatrice. Il s’adresse à elle tout au long du poème. On peut le remarquer grâce à l’apostrophe qui met en évidence l’interpellation à celui-ci, soit par exemple : «Ô lac!».(v.5) Ensuite, le déterminant possessif à la 2e personne vient refléter que le locuteur, avant tout, s’adresse au lac, puis ensuite l’environnement devient plus intime pour lui («tes ondes», «tes flots», «tes orages»). Cela résume que le poète est obsédé par ce thème. Parallèlement,

nuances de la pensée. Une langue est composée de mots remplissant différentes fonctions que les anciens grammairiens appelaient « parties du discours ». Comme le dit Humboldt, les pronoms ont été les éléments les plus précocement isolés, le pronom possessif surtout qui apparut avant même le pronom personnel. Dans tout dialogue, on peut constater trois entités. L’inégalité qui distingue celles-ci est géométriquement marquée dans l’espace par l’importance décroissante que le moi, trônant au centre de

vers, ampleurs des phrases). 2) Dans ce corpus on peut constater que ce sont les poètes: Verlaine, Desnos et Rimbaud qui rêvent de leur idéal, d'une chose meilleur... On peut affirmer cela car dans ces textes il y une forte implication du pronom possessif « mon » (comme dans le titre du poème de P. Verlaine « mon rêve » et du pronom personnel « je » comme dans le titre du poème de R. Desnos « J'ai tant rêver … » C'est a dire que Verlaine rêve d'une société meilleure car il évoque la dure condition

bois au bord de l'eau. | Déterminant démonstratif: ce, cet (devant voyelle ou h muet), cette, ces | Rappelle un élément déjà mentionné ou renvoie à l'être ou la chose dont on parle. | J'aime cette superbe plante. | Déterminant possessif: mon, ton, son; ma, ta, sa; mes, tes, ses; notre, votre, leur; nos, vos, leurs | -Indique une appartenance. -A une valeur affective. | -Voici ma sœur et ses frère. -Calme toi, mon garçon. | Déterminants indéfinis | Caractéristiques

ma carte ? - 8. Mon nom est Maeva et j’habite ______ Bora-Bora. - 9. Pour votre sécurité, vous être invités ______ respecter le règlement intérieur de la piscine. sa # ça # çà • « sa » est un déterminant possessif qui peut être remplacé par n’importe quel autre adj. possessif (ex. : C’est sa gomme. => C’est la sienne / C’est ma gomme /C’est leur gomme…) • « ça » est l’abréviation de « cela » (ex. : Je ne veux pas de ça chez moi ! => Je ne veux pas de cela chez moi. / Ça m’intéresse. =>