Possessif

= les siens ou les siennes. Ces est un déterminant démonstratif: il désigne, montre quelque chose ou quelqu'un. (c'est le pluriel de ce, cet ou cette) Exemples: ces enfants sont insupportables; ces filles sont bruyantes. Ses est un déterminant possessif: il exprime l'idée de possession. (c'est le pluriel de son ou sa) Exemples: Elle a mis ses bottes. Elle a ciré ses souliers. C'est est un présentatif. Il est suivi d'un GN ou d'un adjectif. On peut le remplacer par cela est. Exemples: c'est lui;

et intime avec Meursault en ce début de roman. Nous avons l’impression que nous sommes en train de lire le journal intime de Meursault. Car il a recours plusieurs fois à des marques de la première personne comme ligne 15, il utilise un pronom possessif " ce n’est pas de MA faute «, ligne 2 un pronom personne " J’AI reçu "; il y a également la présence d’indicateurs temporels comme " aujourd’hui " ligne 1, " demain " ligne 4 et " hier ligne 6. Ces deux procédés donnent l’impression qu’au moment

s’accorde avec le mot sur lequel l’auteur met le plus d’insistance. -Si on insiste sur la quantité, le nombre, le verbe s’accorde avec le complément du nom. -Si le nom collectif est qualifié par un adjectif qualificatif ou précisé par un adjectif possessif ou démonstratif, c’est un signe que l’insistance porte sur le nom collectif; le verbe s’accorde avec le nom collectif pour devenir singulier. Habituellement, le verbe se met au pluriel après les expressions UN GRAND NOMBRE, UN PETIT NOMBRE, LA

« dépossession exaltée » L.11, par des compléments de temps, des adverbes de temps et des verbe traduisant la progression, «  Je sentais grandir en moi de seconde en seconde » L.11. La dépossession s’exprime également par un changement de pronom possessif, « Mon belvédère » l.1, devient « Son domaine solitaire » L.15. Le narrateur partage alors, avec la jeune femme l’endroit privilégié qu’était en premier lieu le sien. Le réseau lexical de la sacralisation fait par le narrateur, « exalté », « dominatrice »

souvenir est embelli, idéalisé, tout est beau, les plaisirs des sens sont sollicités. La femme est l’inspiratrice de ce lieu idéal. C’est aussi pour le poète, un enfant à protéger, « mon enfant », et l’âme sœur, son double « ma soeur ». L’adjectif possessif connote l’affectif, au sens de la tendresse et de la douceur. Il la tutoie, « songe ». L’invitation à la rêverie amoureuse se passe dans un moment de grande intimité, la femme reste cependant mystérieuse et attirante, « les charmes », strophe 1,

conscience d’une solitude / mort inéluctable. La parole théâtrale devient inutile (la parole « tout court »). « Il n’y a personne » « Ça ne sert à rien de crier ». Marie : Phrase nominale : « Mon pauvre Roi » ⇒ Adjuvant démuni et spectatrice / Pronom possessif d’appartenance –> Relation affective. Marie est la seule personnage sur scène a être capable d’éprouver de la pitié ou de l’empathie pour Bérenger Ier. Marie : « Tout le monde est le premier à mourir » ⇒ Généralisation : Chaque personnage est l’avatar

puisqu'il parle de "son sang" en utilisant le pronom possessif "son" qui marque son appartenance aux Cévennes, opposé au pronom démonstratif "cette" du groupe nominal " cette impure race noire" qui servirait uniquement qu'à montrer, à désigner la personne dont on parle en l'excluant de toute autre. De même lorsqu'il parle de l'enfant, Fatou-gaye le désigne comme "ton fils". Quant à lui, il en parle comme "son fils". L'emploi de ces pronoms possessifs montrent donc bien que l'enfant serait la propriété

et cent prennent la marque du pluriel s’ils sont multipliés et non suivis d’un autre numéral : trois cents maisons, quatre-vingts élèves, mais deux cent deux livres ou quatre-vingt-treize fourmis. 18- Leur Devant un nom, leur est déterminant possessif et s’accorde avec le nom qu’il détermine: leur planche à voile ; leurs surfs. Devant un verbe, leur est un pronom personnel invariable, pluriel de lui : je leur donne du chocolat ; je lui donne du chocolat. 19- Chaque = un ; chaque est toujours

Son action est directe Il utilise l’impératif ligne 33 et 31 Des incitations vives ligne 30 « je vous conjure… » Il les flatte pour les convaincre : « sagesse » B. Victor Hugo fait appel à leur responsabilité Le pronom possessif « nos » montre que hugo s’associe à eux et qu’ils doivent s’investir (nos villes, nos campagnes) C. Hugo utilise un ton lyrique pour susciter l’action Ligne 8 « pénétré » met en avant ses sentiments : registre lyrique « je m’en

dans l'évocation qu'il en fait, on a parfois l'illusion que, malgré la mort, le dialogue avec sa compagne est encore possible. Le poète emploie très souvent les pronoms personnels de la première et de la deuxième personne ainsi que l'adjectif possessif : "mon passé, mes dépens, en moi" ; "tu l'as faite", "disais-tu" ; "notre vie", ce qui appuie l'aspect très intime et personnel du texte. • Ainsi on a l'anaphore de "notre vie" qui oppose la vie à deux à la solitude présente de l'auteur. • On