Possessif

composé et présent = expriment des états affectifs - « Pour moi » : insistance sur la première personne b) Adjectif possessif : première personne - « Or mon cœur » ver 1,3 ,7 : celui qui parle s’adresse à lui-même - Mots exprimant une crise, puis son apaisement : « Mon orgueil ; Ma douleur ; Ma rage ; Ma gloire » - Récurrence des possessifs : situation d’introspection c) Deuxième personne = Première personne - Interprétation du cœur : le locuteur se parle

puisqu’il connait deux types d’emplois : L’emploi déictique (XXIII) : qui désigne un référent présent dans la situation Emploi anaphorique (XXIV) : qui désigne un référent déjà évoqué, qui rappelle un élément connu (cataphore). c) Déterminant possessif Ses formes dépendent : De la personne, du possesseur (humain/ objet) Du nombre du nom qu’il détermine (singulier/ pluriel) Du genre (masculin/féminin) Il est constitué de : mon, ton, son, ma, ta, sa, mes, tes, ses, notre, votre, leur, nos

lexical du malheur et de la faiblesse (v.22 oxymore « tremblant comme une étoile » …) II. Confiance du poète en Paris a) Le tutoiement affectueux * Tutoie Paris et engage un dialogue : v.16 « Paris ma belle ville ». Adjectif possessif à valeur hypocoristique et adjectif mélioratif « belle » témoignent de son attachement pour la ville. b) L’éloge de Paris * Regard admiratif, lexique valorisant : « fine, forte, belle, savant » * S’adresse à Paris comme à une femme

Or, à l'avant-dernier vers, le pronom on prend la valeur d'une 1re pers. du pluriel, référant à la fois au destinataire et au locuteur (le fabuliste), ce qui contribue à établir une relation de complicité avec le lecteur. (L'emploi du déterminant possessif notre à la fin du poème confirme cette analyse.) Dans cette strophe, les propos généraux sur le deuil, la tristesse qu'il entraîne et la consolation qui s'ensuit invariablement ont une portée universelle (emploi du présent atemporel ; absence de

ressortir l'éloge hyperbolique de l'un et la critique féroce de l'autre ? C'est ce que nous verrons en étudiant le poème strophe par strophe pour respecter la structure logique de la composition. 1ère Strophe : - Dès le premier vers, adjectif possessif valorisant. Le pronom personnel «Sa» indique une figure dominant tel que l'on peut dire par exemple « Ce Dieu» (l.3). - Il précède la victoire et l'Europe est vaste.- « Traîner » suffit qu'il passe pour qu'il y est la victoire, «Se débattre» cela

est noble que l'on devine que la révolution a échoué. Ce baron vient d'emménager à coter de chez Madame Aubin. Nous avons une énumération rapide des membres de cette maison. Les femmes sont présenté comme des objet car Flaubert utilise des pronom possessif « sa femme » , « sa belle sœur »  ; ils possèdent également un esclave, vulgairement nommé : « le nègre » ainsi qu'un perroquet, que nous retrouveront plus tard dans le récit. La tristesse de M.Aubin pour la mort de sa fille n'est pas réconforté

montre que le roi de France prend plaisir à opprimer son peuple, selon ses envies, ses goûts. Par ailleurs, "il gouverne avec le même génie sa famille, sa cour, son état". Autrement dit, il mélange tous les domaines. Ici, la répétition du pronom possessif "sa" est un signe de volonté de puissance insatiable, l'idée d'une toute puissance qui entraîne la privation des libertés. De plus, le roi est égotique et n'obéit qu'à une seule motivation, celle de "faire parler de lui". Il "aime les trophées et

moyen de pression - "mais" (marqueur d'opposition) -> l'éfficacité de la stratégie de Lisette - "je ne saurais m'enpêcher de" (négation réstrective) -> mise en valeur des sentiments de Lisette -" notre communauté", "engagement", "autrement" (adj. possessif) -> l'argent de la condition de l'amour III. Une scène de comédie. a) Le comique de situation. " tel est pris qui croyait prendre" Turcaret veut s'élever dans la société en exploitant les faiblesses du système et Frontin effectue la même chose

Le pronom réfléchi « se » renvoie à lui-même ; il est repris ligne 15 par « se conserver » et fait écho à « son propre » (ligne 3), « son usage, ses valets » (ligne 16), « ses services » (ligne 16). Ces groupes nominaux de même structure (pronom possessif suivis d’un nom) montrent l’appartenance. La Bruyère fait en sorte que tout se rapporte à la même personne, Gnathon : « lui est propre » (ligne 17), « les siens » (ligne 18), « la sienne » (ligne 19), « soi » (ligne 1). L’auteur insiste sur le narcissisme

passif. Il voit sont pays s'éloigner , celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que l'enfant dort : contraste entre les anciens ( les morts) et le nouveau né (nouveau). Cela lui crée son identité . On construit la figure de l'exile, l'emploi du possessif montre l'attachement à ses racines. Il ne lui reste plus que son corps qui constitue son identité son identité. => figure du déraciner. Cadre patio-temporel quasi absent. Incipit déconcertant , inhabituel ou l'auteur laisse dérouler du temps dans