Possessif

marque l’ampleur de la stupéfaction du Duc de Nemours. En effet, celle-ci est grandiose puisque l’on retrouve l’adverbe « tellement » qui dépasse l’étonnement des autres. Le nom commun « beauté » reparait une seconde fois, toujours précédé du pronom possessif « sa ». Ce nom est toujours rattaché à la princesse de Clèves comme pour montrer qu’elle est l’incarnation de la beauté du 16ème siècle. Au moment du bal, le duc est sur le point d’épouser la jeune Elisabeth d’Angleterre. On peut même croire que

chanson. De nombreux procédés dans le texte contribuent à la soumission du locuteur. " Dessoubz la crodelle d'elle" , il n'est acteur à aucun moment dans le poème, il n'est qu'un "je passif". En effet, on ne trouve le locuteur que dans le pronom possessif "ma" ou le pronom personnel "me" et il n'est à aucun moment sujet d'un verbe d'action. On ne trouve qu'un seul "je" , dans la deuxième strophe, mais un "je" autrement passif puisqu'il subit une sensation: "je voys". Le poète exprime son impuissance

Paris, sa « pâleur » et sa « maigreur » que cette invasion entraîne, elle détient toujours ce souci de bonté, de liberté qui donne un sens à sa vie : « Tout ce qui est humain se révèle en tes yeux ». Le vers 16 s’accompagne du premier adjectif possessif du poème, « ma », dont la notion d’intimité rejoint le « tu », et insère là une nuance d’admiration, d’affection presque amoureuse. Le vers suivant vante les qualités guerrières de Paris « Fine » et « forte ». La comparaison « Fine comme une aiguille

est l’auteur de cette lettre. * On a une mise en valeur et une insistance sur l’objet (la lettre) qui va déclencher la révélation finale : en effet ‘ Sa lettre ‘ au vers 2444 désigne la lettre de Christian : on a l’utilisation d’un pronom possessif, et ‘ cette lettre ‘ au vers 2448 qui est un pronom démonstratif. Roxane commence à comprendre que Christian n’est pas le réel auteur de la lettre. * Au vers 2448, nous avons la didascalie : ‘ La nuit vient insensiblement ‘ On a cette nuit

complexe décrit la cage où, est comparé à 3 animaux sauvages notoirement dangereux, " un monstre poilu ", sujet de la longue proposition relative, savamment amené à la fin de la strophe pour en amplifier la chute : ce monstre est une femme, le pronom possessif " la vôtre " clôt la description en le confirmant. L’auteur a ménagé ses effets pour provoquer comme un coup de théâtre. 4ème strophe Le type de l’espèce est confirmé : c’est bien l’espèce " femme " confrontée à l’espèce " mari ". L’ironie de

11). De cette manière, Arnolphe, tournant la situation à son avantage, cherche à obtenir le soutient du public. Dans la suite du paragraphe, Arnolphe s'adresse directement à Agnès au travers du vouvoiement de politesse comme le montent le pronom possessif «votre» (l.12) et le pronom personnel «vous» (l.14). Il la qualifie également, à plusieurs reprises, de manière péjorative et insultante. On peut le remarquer ligne 8 «la vilaine», ligne 9 «une précieuse», ligne 11 «une sotte» ou encore «la belle

o Noms collectifs 1) Invariables : la construction exige un verbe et un possessif pluriel : a) singulier de forme : folk, people, police, cattle, poultry… (les gens/les vieux [parents], peuple, la police, le bétail, la volaille…..) b) pluriel de forme : trousers, scissors, goods, riches, shorts… (un pantalon, des ciseaux, des biens, les riches, un short…) 2) Invariables : La construction exige un verbe et un possessif singulier: a) sens pluriel mais l’apparence du mot est singulier 5/79

pas si grave = Cela n’est pas si grave.  - Se : pronom personnel réfléchi. Il est utilisé dans les verbes pronominaux. Exemple : Chaque matin, au lever du jour, Joëlle se regardait dans la glace. Leurs / Leur / Leurre - Leur (s) est adjectif possessif quad il est placé devant un nom. Il s’accorde avec le nom et prend un S au pluriel. Exemple : Ils étaient adolescents quand leurs parents sont décédés dans un incendie. - Leur est pronom personnel invariable quand il est placé devant le verbe ou

d’âme dans lequel Claire se trouve. C’est alors que le lecteur s’y trouve lui aussi : elle mangeait ses tartines, elle buvait son café, son sac était posé par terre, à ses pieds et « elle le serrait entre ses chevilles ». C’est comme si ce pronom possessif criait « C’est mon sac, vous n’avez pas le droit ! » Un sentiment d’injustice est évoqué et encore souligné par le fait que cela est arrivé dans un endroit qui est familier à Claire, où elle déjeune chaque matin. Ce n’est qu’après avoir instauré

même n’est ni bien vivante ni véritablement achevée, il semble qu’elle trouve dans le temps ailé ou flottant de la musique un temps à sa convenance. La présence du poète est effective dans le deuxième sizain par l'emploi de l'adjectif et du pronom possessif: « mon pauvre être », « Que voudrais-tu de moi ». L'air de piano et du décor intime, dans le premier sizain, présente un poète sous le charme d’«Un air bien vieux, bien faible et bien charmant ». Le poète est charmé par la une présence féminine et