Pour Bien Comprendre La Vie Psychique

aspects du même processus psychique? La question est d'autant plus difficile à résoudre qu'elle a été entourée de malentendus. Tout d'abord, il est bon d'observer ceci : que la pensée exige ou non le symbolisme, c'est-à-dire la parole, l'ensemble du langage n'est pas toujours indicateur d'une pensée. Nous avons vu que l'élément linguistique typique est l'étiquette d'un concept; il ne s'ensuit pas que le langage soit toujours ou surtout employé pour exprimer des concepts. Dans la vie ordinaire nous ne nous

Dans cette analyse nous tenterons de comprendre, en s’appuyant sur plusieurs extraits, les mécanismes psychanalytiques en jeux. Nous décrirons le fonctionnement psychique du personnage principal, Federico, en proie à ses pulsions. Nous tenterons également de mettre en rapport ce fonctionnement avec l’histoire de vie, les éventuels évènements traumatiques et les relations qu’il entretien tout au long du récit.   Analyse du fonctionnement psychique de Federico Alberto Moravia, qui semble

les études de l’hystérie. Il souligne l’importance de l’affectivité et met en avant la différence entre les actes psychiques conscients et inconscients. Ils soutiennent que les symptômes sont liés à des événements précis de la vie des personnes. Freud va rechercher l’origine de ses symptômes et se tourner vers la période de l’enfance. L’enfance est le moment où l’équilibre psychique est encore instable. Et donc, l’enfant peut être marqué d’un fait passé (absence du père, décès, violence,…). L’enfant

remercier mes parents et ma grande sœur pour leur lecture et relecture intensive de ce travail. Pour terminer, je remercie mon institution de stage de m’avoir prêté une grande partie de mes sources qui m’ont permis de mener à bien ce travail de fin d’étude. |TABLE DES MATIERES | REMERCIEMENTS…………………………………………………………..2 TABLES DES MATIERES 3

manqué : acte de la vie quotidienne dans lequel le résultat visé est remplacé involontairement par un autre. Agressivité : tendance à la destruction de l'autre. Elle s'appliquerait par l'effet de la pulsion de mort. Ça : pôle pulsionnel (/nid de pulsions) et inconscient de la personnalité. Censure : fonction de l'appareil psychique interdisant aux désirs inconscients l'accès à la conscience. Éros : ou l'instinct de vie. Ensemble des pulsions se rapportant à la vie, les forces créatrices

est lieu ou pas) Perspectives de la psychologie : 1. Psychodynamique / Psychanalytique = Le comportement est motivé par des forces internes puissantes. Les actions proviennent donc d’instincts hérités. 2. Béhavioriste / Comportementaliste = Comprendre comment des stimuli environnementaux particuliers contrôlent des types particuliers de comportements 3. Humaniste = Les individus sont des créatures actives, naturellement bonnes et capables de faire des choix. 4. Cognitive = S’intéresse essentiellement

un psychisme inconscient ». Dans ces mots l’auteur entend l’existence de souvenirs, de pensées et de désirs qui n’accèdent pas à la conscience car une force à l’intérieur même du psychisme leur fait obstacle. Autrement dit, il existe des éléments psychiques refoulés, cachés, exclus de la conscience des individus. Cette hypothèse est scientifique car d’après lui elle repose sur des observations précises, elle est basée sur un travail d’observation des faits. La contestation repose donc sur la notion

vivants. En effet, en s’éloignant de la verbalité, l’étude comparative de l’animal et de l’Homme permet de se décontextualiser, de fuir les certitudes et de laisser place à la découverte en se penchant bien plus sur les différences que sur les analogies. Ce livre traite de l’affectivité, notion bien souvent mise de côté au profit de l’idée d’un monde intellectuel séparé du monde sensible. Pourtant, l’affectivité joue un rôle primordial dans le développement et les interactions entre les individus

mécontent d’être citer dans certaines situations les impliquant. Freud ne s’était pas du tout préparer à une telle situation ; il voyait en cette œuvre, une grande révélation et de grande découverte sur lesquelles il avait sacrifié plusieurs années de sa vie. Grâce à ce travail il s’attendait à connaitre la réussite qui lui aurait valu reconnaissance et notoriété, mais aussi la richesse. Suite à cet échec, c’est avec cette énorme blessure que Freud accepta d’écrire une nouvelle œuvre reprenant les grands

chez lui. L’homme n’est plus maître de son moi. Rien d’étonnant s’il répugne à admettre que ses pensées, ses désirs lui sont soufflés, inspirés, à son insu, par une partie de lui-même qu’il ignore. Bien plus, cette partie de lui-même qui le détermine dans ses motivations profondes représente un domaine bien plus vaste que le moi conscient : la partie qui émerge représente peut-être, comme c’est le cas pour les icebergs, seulement 1/10e de la partie immergée. Et enfin, par un comble de frustration, cette