Pour le Mérite

selon ses mérites, des récompenses et des peines. Chez les modernes, la dignité est la mère des droits de l'Homme, elle est inhérente à la personne humaine et on ne la juge jamais. Elle est ontologique alors qu'elle était juridique pour les anciens. On ne peut pas aujourd'hui être déchu de sa dignité, or, pour les grecs, l'idée de personne n'existait pas, ce qui primait était la cite et le cosmos. Le mérite était déterminé

Selon lui ce ne sont pas les plus graves mais ceux qui sont à l’origine de tous les autres." La liste actuelle (toujours de sept) est citée par le Catéchisme de l'Église catholique . • L’Orgueil (Superbia en latin) : attribution à ses propres mérites de qualités ou de comportements qui sont des dons de Dieu (intelligence, vertus, etc.). • L’Avarice (Avaritia en latin) : accumulation des richesses recherchées pour elles-mêmes. • L’Envie (Invidia en latin) : la tristesse ressentie face à la possession

comme l’accent normand à Rouen ou à Falaise ; on l’entrevoit en des fourriers, en de petits contrôleurs, et en des chefs de fruiterie : l’on peut avec une portée d’esprit fort médiocre y faire de grands progrès. Un homme d’un génie élevé et d’un mérite solide ne fait pas assez de cas de cette espèce de talent pour faire son capital de l’étudier et se le rendre propre ; il l’acquiert sans réflexion, et il ne pense point à s’en défaire.   15 (IV) N** arrive avec grand bruit ; il écarte le monde, se

d’Arsinoé avec un procédé d’antithèse qui crée un contraste : « Elle fait des tableaux pour couvrir les nudités ; Mais elle a de l’amour pour les réalités. ». - Célimène s’appuie sur des personnes reconnues : « Je trouvais quelques gens d’un très rare mérite ». Cela soutient avec force les défauts d’Arsinoé. - Enumération des défauts d’Arsinoé. Il y a donc une insistance sur le nombre de défauts qu’elle a. - On remarque que le portrait de Célimène envers Arsinoé est beaucoup plus long que celui qu’Arsinoé

des hommes aborde donc, à travers entre autres, une peinture de la condition ouvrière américaine des années 1930, le mythe du rêve américain, qui consiste à naître au bas de l’échelle sociale et à en dépasser petit à petit, grâce au travail et au mérite, les différents niveaux. I) Une fonction de documentaire : portrait des Etats-Unis des années 1930 A) Lennie et George illustrent la condition ouvrière Dans les années 1930, au cours desquelles fut écrit le roman, de nombreux

en général: La situation initiale représente Simonide au travail. Un travail de commande, où il doit écrire l'éloge du commanditaire, un athlète (pas de nom de famille). La matière est pauvre ; ascendance non noble, père bourgeois, « sans autre mérite ». Le vers 13 la sanctionne avec les qualificatifs 'infertile et petite ». Et puis la vulgarité de l'athlète est présente partout où il apparaît. Désignation : vers 23 : « galand » vers 35 « on » festine ou l'indéfini « chacun », le terme de « cohorte

compagnie par ma mémoire et me lançais dans une récitation des mots du grand homme : « Je passe maintenant à votre question, touchant les causes qui nous incitent souvent à aimer une personne plutôt qu’une autre, avant que nous en connaissions le mérite ; et j’en remarque deux, qui sont, l’une dans l’esprit, et l’autre dans le corps. Mais pour celle qui n’est que dans l’esprit, elle présuppose tant de choses touchant la nature de nos âmes, que je n’oserais entreprendre de les déduire dans une lettre

la justice sociale ainsi que ses limites - La conception égalitariste libérale de la justice sociale (Rawls) réconciliant égalité et liberté individuelle - L’intérêt du « voile de l’ignorance » dans la pensée de la justice sociale - En quoi le mérite ne peut être qu’individuel dans la théorie de Rawls. - Quelle est la conception de la justice sociale dans la culture française et en quoi elle se rapproche de l’égalitarisme libéral. - Quelle a été l’évolution de la conception de la justice sociale

sphère française.III. Mais qui est source de conflits entre bourgeoise et noblesse a) sur le plan du commerce et de l’éducation « plus riches et plus industrieux que les nobles » ligne 11-12« la bourgeoise était supérieure en richesse, en talents et en mérite personnels » ligne 18-19« ils avaient reçu, en général, une éducation qui leur devenait plus nécessaire que gentilshommes, dont les uns, par leur en naissance et par leur richesse » ligne 14-16· Alors que la bourgeoisie se développe tant en richesse

l'épanouissement individuel à travers la création de la valeur pour la collectivité. Le plus essentiel est de valoriser le mérite. Il convient aussi de noter que les américains accordent peu d'importance aux valeurs sociales par opposition aux japonais. L'identification du personnel se fait par rapport à la profession et non pas par rapport à l'entreprise. Chacun est récompensé selon son mérite, son apport et son savoir faire. Cette société matérialise tous les aspects, on ne valorise que ce qui est rentable ;