Pour Platon Apprendre C Est Se Souvenir

elle n’aurait pas était envisagée pour résoudre le premier problème. Introduction à la philosophie PARTIE 1 : La vie philosophique et l’existence moderne Apparition de la philosophie en Grèce au VIème siècle avant J-C. Aristote a fondé le lycée et Platon l’académie platonicienne. Très vite, la philosophie devient une école. Au Moyen-âge, sur le continent, la philosophie devient la Scolastique. 1) La vie philosophique et son origine a] Les Présocratiques Ceux sont des penseurs qui dans la Grèce

dans 25 siècles d’histoire. IL y a un lien entre l’histoire et la philosophie de l’éducation. 3 étapes dans le développement historique : 1. La réflexion philosophique à proprement parlé : de l’antiquité jusqu’au 18éme siècle.  Grands penseurs : Platon, Aristote, Montaigne, Rousseau, Kant. Ils sont restés à la pensée spéculative, pensée purement abstraite, théorique. On s’intéresse à l’éducation dans la réflexion pure, il n’y a pas forcément d’application pratique.  On s’intéresse à l’homme, à

subjectivité est ce que c'est ramener à soi quelque chose de particulier ou est ce que c'est s'ouvrir sur autre chose. L’intentionnalité Platon – Aristote Dans le Téhététe On va voir que Platon s'en prend à la thèse de Potagoras : l'homme est la mesure de toute choses. Le problème est de savoir l'homme en quel sens ? H conscience ? H purement sensible ? Platon fait intervenir dans son livre Pantagoras mais il le prend dans toute sa force et dans tout son sérieux. Plan du Téhététe : Tenter de

que ceux des Stoïciens ou des Epicuriens. Qu’on lui propose cette diversité du jugement : il choisira s’il peut, sinon il restera dans le doute. Il n’y a que les fous qui sont certains et résolus. (…) Car s’il embrasse les opinions de Xénophon et de Platon par son propre raisonnement, ce ne seront plus les leurs, ce seront les siennes. Qui suit un autre ne suit rien, il ne trouve rien, voire il ne cherche rien. Non sumus sub rege ; sibi quisque se vindicet . Qu’il sache qu’il sait, au moins. Il faut

pour se souvenir du passé, l'individu peut revivre le bonheur d'autrefois, un bonheur lointain qui n'est plus présent. Ainsi il peut néanmoins repenser à des moments qui ont marqué à jamais son existence. Ils peuvent faire rire ou encore émouvoir ce qui prouve que l'individu est en période de plénitude absolu, mais malheureusement qui n'est pas durable. Pourtant le malheur et la souffrance sont bannis de cet univers qui trie les éléments et ne sélectionne que les créations et les souvenirs agréables

N’est-il pas vrai que des études faites en commun, et le souvenir qu’on en garde, peuvent nouer entre les esprits une société du mêmegenre? A votre âge, jeunes élèves, les souvenirs s’impriment plus vite et plus profondément dans la mémoire, et si nos plus chers amis sont nos amis d’enfance, c’est peut-être parce que les souvenirs d’enfance sont les plus durables, que l’amitié vit de souvenirs, et que les joies mêmes de l’homme fait, quelles qu’elles soient, doivent la

> L'Homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ? Platon avait instauré le premier principe de sa philosophie avec la citation : « Connais-toi toi-même ». Le sujet portant sur l'Homme en général, nous pouvons nous demander si l’Homme peut acquérir une connaissance psychologique et philosophique de lui-même. De plus, le mot « condamné » sous-entend la présence d'obstacles insurmontables empêchant l'Homme de se connaître et d'avoir une idée objective de lui-même. Ces obstacles l'enferment

(séries technologiques) Table: Page 1: I:L'expérience, source de toute connaissance Page 2: II:L'expérience commune Page 3: III:La science expérimentale INTRODUCTION Comment un pur esprit, coupé de toute relation au monde, pourrait-il apprendre quoi que ce soit de neuf? C'est seulement grâce à nos sens que nous avons un contact avec le monde. Un esprit désincarné pourrait bien, à la rigueur, penser, mais sa pensée tournerait à vide, en rond, elle ressasserait indéfiniment les mêmes idées

tout de suite à l'eau, sans cette instinct de conservation, ils mourraient tous, on peut apparenter cela une connaissance commune spécifique à la race ), il semble casiment inexistant chez l'homme . Mais cette idée de connaissances innées défendu Platon, mais aussi Descartes et Leibniz, montre là une certaine existence d'un instinct. Comme l'animal, l'homme à un instinct de conservation : le bébé pleure quand il a faim, l'homme a des rapports sexuels pour le plaisirs mais aussi pour une certaine

nouvelles à la survivance et au bien être? D’où le caractère acquis de la connaissance. Les philo grecs avaient émis les mêmes idées avec certes des terminologies différentes: Pour PLATON (427-347 avt JC): l’âme conserve un souvenir flou des idées contemplées avant la vie présente. Donc pour lui, connaître c’est se souvenir, se rappeler. Pour ARISTOTE (384-422 avt JC): l’esprit humain est une tablette sur laquelle rien n’est écrit et sur laquelle on peut écrire. Sous DESCARTES (1596-1650): ces