Pourquoi Avons Nous Des Devoirs Envers Nous Mêmes

de Dorante en croyant qu’il s’agit de Dorante lui-même. Dorante, quant à lui, tombe amoureux de Silvia sous la forme de Lisette et lui confie son vrai visage alors que Silvia elle, décide de garder son masque pour connaître les limites de son amour envers elle. Il est ensuite près à sacrifier son rang et sa fortune pour épouser une femme de chambre qui ne l’est pas. C’est après cela qu’elle enlève enfin son masque et qu’il décide de se marier. II. Les thèmes principaux de ce passage sont le masque

divorces a entraîné l'apparition d'un tiers dans la famille : le beaux-parent. Avec cette augmentation croissante, on peut se demander quels sont les droits de ces beaux-parents. Pb : Dans le contexte actuel, les beaux-parent doivent-ils avoir les mêmes droits que les parents ? I/ L'évolution du statut des beaux-parents A / En France A l’antiquité romaine: le père avait le droit de vie ou de mort sur la famille  Chef de famille. Durant l'ancien régime: il y a une légère amélioration; le père

des qualités, de la grandeur, Mademoiselle de Chartres n’est pas amoureuse de lui, «Elle n’a aucune inclination particulière pour lui » « elle l’épouserait avec moins de répugnance qu’un autre ».Elle est reconnaissante envers lui. Pour elle, c’est un mariage de raison. Pourquoi le prince de Clèves n’est-il pas entièrement satisfait ? Le prince de Clèves n’est pas entièrement satisfait car bien qu’elle ait accepté sa demande en mariage il voit bien qu’elle n’est pas amoureuse de lui alors que

Socrate de s'échapper de la prison où il attend la mort suite à sa condamnation. Socrate refuse, imaginant ce que lui diraient les lois, sans qui il ne serait rien, s'il les violait en s'échappant. Il conclut que l'évasion constituerait une ingratitude envers les lois qui ont fait se rencontrer ses parents, qui l'ont éduqué, qui l'ont façonné tel qu'il est. Ce texte est très révélateur de l'importance des lois et de la cité pour les Athéniens de l'époque classique. Les arguments de Criton : -

limite à l’apprentissage de ce qui fera d’elles de bonnes épouses et mères de famille. On retrouve donc dans leurs apprentissages celui de la cuisine, de la couture, des travaux ménagers, de savoir s’occuper d’un nourrisson, et cet apprentissage des devoirs domestiques de la femme aura lieu jusque dans les années 1920, car avant on pense surtout à leur apprendre des choses avec pour unique but de les marier. Elles apprennent également la langue française, la morale, le dessin, l’écriture, la musique

soi-disant nécessaire…  | |  | |« euh… pourquoi docteur vous ne me faites pas   | |ce dernier rappel? » .. 

qui se rende compte trop tard qu'ils auraient dû réagir plus tôt à la montée d'un régime totalitaire. Encore une fois ils auraient du se révoltés, mais n'ont pas agis par peur. Comme vu plus tôt l'indiscipline peut être vu comme courageux, c'est pourquoi dans ces cas on peut considérer l’obéissance comme un signe de stupidité ou de lâcheté. On trouve des cas où des auteurs prône l’indiscipline. Dans Discours de la servitude volontaire de La Boetie, celui ci blâme la servitude volontaire et encourage

ayant un article concernant la discrimination dans sa Charte des droits et libertés de la personne3. Une question apparaît alors : si la condition des femmes dans le milieu du travail au Québec est, sur papier, égalitaire face à celle des hommes, pourquoi ne l’est-elle pas en pratique ? En effet, les femmes font faces à la discrimination, l’intimidation et l’hostilité dans leur milieu de travail, spécialement dans les domaines où les hommes se retrouvent en majorité et ce, encore aujourd’hui en 2014

Le concept de responsabilité envers les générations futures dans la gestion et le stockage des déchets radioactifs par Eugénie Vial* Le nucléaire fait peur. En janvier 2003, le CREDOC – Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie – a fait une enquête sur la perception et les attentes des français en matière de déchets radioactifs. Les réponses aux deux premières questions du sondage confirment et quantifient la sensation que les populations peuvent ressentir face à l’industrie

de tout, beaucoup empêchent ces dernières de jouir de certaines libertés, ne serait-ce que morales et intellectuelles, et d’accéder à certains espaces publics locaux, nationaux ou mêmes internationaux ! Mais au nom de quoi est légitimée cette hiérarchie ? Au nom de quoi l’homme serait-il supérieur à la femme ? Pourquoi les institutions étatiques n’entrent-elles pas en jeu pour abolir ces inégalités ? Qu’est-ce qu’un pays démocratique où la femme n’est pas prise en compte, y compris dans les espaces