Pourquoi Cherchons Nous La Vérité

d’une connaissance non acquise sur terre. La « foi » qu’il dit avoir concernerait ainsi l’immortalité de l’âme, qui n’est pas nécessaire pour l’argument. Connaissance est donc remémoration. Par ailleurs, une remémoration permet l’accès à toutes les vérités de l’âme. La remémoration ressemble à un effort d’investigation intellectuelle. La connaissance est donc toujours présente totalement, mais est voilée. La présence de la connaissance oriente ainsi la recherche qui est un effort pour faire accéder

FÂCHERA AUCUN FRANC-MAÇON ! Pour analyser le sens de cette interrogation il faudrait préalablement se poser les ques- tions suivantes :  Qui prête serment, (c’est-à-dire qui est « nous » et non qui sommes « nous » ?)  Quel est ce serment et pourquoi est-il nécessaire de le prêter ? Répondre à ces questions consiste à tirer des conclusions, par rapport au serment de fidélité à l’ordre par le respect du secret et également quant à l'engagement maçonnique lui- même. Ce qui débouche sur un constat

Criton, de Platon http://www.webphilo.com/cadre.htm?http://www.webphilo.com/terminale/base_textes/auteurs/platon/criton.php Première partie : prise de position de Criton à la question de l’évasion et son raisonnementSocrate Pourquoi viens-tu de si bonne heure ? N'est-il pas encore bien matin ? Criton Oui, sans doute. Socrate Quelle heure est-il précisément ?

donc introduire ici après les notions de personnalité et de responsabilité la notion de conscience de soi. Pourquoi est-on capable de ressentir que l’on a soi-même accompli une action dont on peut parler à la première personne ? => car on est doté d’une conscience de soi. « J’ai conscience de moi-même » et c’est ce que postule l’usage même du mot « moi ». Voilà pourquoi Freud dans sa Topique appelle « moi » l’ensemble de ce qui parvient à la conscience. Il l’oppose au « sur-moi

doit lui d’abord constater des différences de langue, de religion, de système de parenté, d’organisation sociale, de vie politique entre de très nombreux groupes humains. On en conclut qu’on n’étudie pas «les» cultures comme «la» nature. C’est pourquoi, contrairement au physicien qui recherche des lois, nous portons des jugements. Et les jugements sont souvent stricts, définitifs mais on les énonce aussi parce qu’on n’est pas complètement sûr de soi. Néanmoins certains scientifiques ont tenté de

mes désirs que l’ordre du monde », inspirée de la doctrine stoïcienne, est empruntée au Discours de la méthode (3 ième partie). Elle constitue la troisième maxime d’une « morale provisoire » que Descartes adopte en attendant d’avoir découvert la vérité, car il faut bien vivre (« je ne lasse pas de vivre ») pendant que l’intelligence est absorbée par des spéculations complexes qui peuvent occuper l’esprit pendant plusieurs années. Le problème que se pose Descartes, dans le cadre qu’une « morale

fasse aimer leur état et comprendre qu'ils sont immortels" (Acte I, scène 7, p.296). "Adieu, Isabelle. Ton contrôleur a raison. Ce qu'aiment les hommes, ce que tu aimes, ce n'est pas connaître, ce n'est pas savoir, c'est osciller entre deux vérités ou deux mensonges, entre Gap et Bressuire. Je te laisse sur l'escarpolette où la main de ton fiancé te balancera pour le plaisir de ses yeux entre tes deux idées de la mort, entre l'enfer d'ombres muettes et l'enfer bruissant, entre la poix

m’avais déjà trouvé. » L’Homme est un être de désir et c’est un désir coextensif. Il est rejeté de désir en désir. Le désir renvoie au tragique de l’existence. Le désir témoigne de l’inscription de l’existence humaine dans le temps. C’est pourquoi on a pu y voir la marque de son insuffisance. Au fond, tout désir serait un désir d’éternité. Et si le désir n’était que cela ? Tout désir serait manque d’être, nostalgie du devin. Le désir est affecté d’une ambigüité essentielle. Il est à a la fois

Juste pour ton sourire Devenir le soleil Pour sécher tes sanglots Et faire battre le ciel Pour un futur plus beau Mais c'est plus fort que moi Tu vois je n'y peux rien Ce monde n'est pas pour moi Ce monde n'est pas le mien J'ai demandé : « pourquoi » on m'a répondu « c'est la vie! » Si l'on ne disait que des choses utiles il se ferait un grand silence dans le monde... Chaque chose qui nous rend heureux, nous rendra triste un jour ou l'autre. Même dans l'alphabet aime (M) est à côté

pourrait-on dire) et celles qui au contraire nous pousse à aller chercher au-delà de nous une sorte de plus d’être, que ce soit le plaisir, la domination, etc. (les pulsions du désir et tout particulièrement la pulsion sexuelle). Q aux élèves : pourquoi cette distinction est-elle fondamentale ? ( parce qu’il peut y avoir des conflits entre les deux types de pulsions. Se conserver exige de ne pas se mettre en danger, biologiquement, mais aussi socialement et psychologiquement, alors que nos pulsions