Pourquoi Dire La Vérité Nietzsche

Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Vous devez d'abord ici analyser la notion d'illusion : le sujet présuppose que cette dernière peut ou doit être assimilée à un danger, puisqu'il s'agit de se "prémunir contre elle". Demandez-vous d'abord en quoi l'illusion est dangereuse (analysez par exemple l'expression "tu te fais des illusions") : à quel type de danger nous expose-t-elle ? L'illusion consiste en une erreur de jugement : nous

participe à l’histoire de l’humanité au détriment de la liberté de l’homme ? Si l'historien n'a aucun impact sur le passé historique (du moins au sens concret et matériel), il peut sembler évident que celui qui fait l'histoire, c'est l'homme. Alors, pourquoi poser la question ? Serait-ce finalement se contredire que d'affirmer que l'homme est à la fois le produit de l'histoire, et produit l'histoire ? D’abord, pouvons-nous agir sur l’avenir ou sommes-nous déterminés à être ce que nous sommes ? Nous

pas forcement devoir. Le vrai devoir ne rapporte donc rien et est indépendant de tout contexte particuliers, de ce fait il entre souvent (pour ne pas dire toujours) en contradiction avec nos propres désirs et sentiments: ce que je dois faire, ce n’est pas ce que j’ai envie de faire, la tentation de ne pas le faire apparaît donc grande : c’est pourquoi il est si difficile à réaliser. Une question se pose alors : faut-il faire son devoir ? Par « faire son devoir » nous désignerons donc le fait d’accomplir

quelconque système de pensée. D'autre part, l'existentialisme a pour effet de proposer soit une nouvelle divinité, soit une divination de l'histoire, solutions qui ne conviennent guère à une pensée qui cherche à déterminer entre ces deux horizons, une vérité qui soit supportable. «Je comprends bien l'intérêt de la solution religieuse, précise Camus, et je perçois très particulièrement l'importance de l'histoire. Mais je ne crois ni à l'une ni à l'autre au sens absolu2». Face à une telle position, nous

dissertation n°1 : La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ?Analyse du sujet :Le problème posé par le sujet renvoie aux conditions depossibilité de la recherche de la vérité( « peut-elle » au sens de « est-il possible ») mais aussi à sa légitimité ( « est-il en droit permis de ... »)Par ailleurs, il ne s'agit pas seulement de s'intéresser aux dimensions épistémologiques du sujet mais aussi à la plurivocité de la vérité (vérité historique, vérité judiciaire, vérité de foi...) et c'est du fait

une sorte d’amalgame et sont indissociables. En sommes, c’est cette lutte menée par ces deux entités qui définissent l’homme dans son ensemble. Nous nous concentrerons sur Thanatos, c’est-à-dire, la pulsion de mort et donc la pulsion destructrice qui en résulte. Il s’agit donc ici de se demander pourquoi et comment une telle hypothèse de la pulsion de mort comme appartenant au domaine de la psychologie — a fortiori de la psychanalyse — peut être intéressante et féconde pour une recherche philosophique

Cours : la vérité Repère conceptuel Objectif / Subjectif Ce couple concerne la valeur de nos idées, de nos représentations ou de notre connaissance. Est objectif ce qui est vrai, universel, indépendant du sujet connaissant. Les sciences prétendent à l’objectivité (le terme d’objectivité est pour les scientifiques synonyme de vérité). Est subjectif ce qui est relatif au sujet, particulier (exemple : le jugement « le son du violon est agréable » est subjectif). Définition, problématisation.

mais aussi les mœurs et les institutions d’une société américaine naissante. C’est cette analyse qui lui permettra de fonder une réflexion profonde sur la démocratie. Mais l’auteur est conscient des limites que présente le modèle démocratique, c’est pourquoi il expose différentes clefs qui permettraient d’encadrer ces dérives démocratiques. Parmi ces dérives démocratiques l’auteur en dégage une qu’il juge principale: l’individualisme. L’individualisme peut se définir selon deux conceptions, au sens sociologique

a trois dimensions : l'intelligence de ce qui est, la soif de justice et la quête du salut. Dès son introduction, il oppose la philosophie à la religion, deux façons pour lui d'approcher la question du salut. Nous verrons à la suite de la lecture pourquoi il oppose ces deux approches. Luc Ferry présente d'abord un exemple de la philosophie antique : le stoïcisme. Cette démarche philosophique consiste à contempler l'ordre cosmique, à vivre en s'ajustant à cet ordre afin de ne pas craindre la mort qui

Le désir de vie B.1. Approche phylogénétique (Darwin) B.2. Conséquences existentielles (Schopenhauer) B.3. Le désir de conservation (Spinoza) B.4. La volonté de puissance (Nietzsche) B.5. Le désir d'éternité (Platon) C. Le désir de mort C.1. La structure kamikaze du désir C.2. L'agressivité introjectée (Nietzsche) C.3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) C.4. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination du désir II. Le désir de l'autre A. Le désir mimétique (Spinoza) B. La