Pourquoi Douter

n’est plus emprisonné par les opinions. Mais faut-il pour autant m’enfermer dans le scepticisme qui désespère d’atteindre la vérité ? La conscience doit-elle douter de manière permanente ? Le rejet de toute vérité, peut-il entraîner avec lui l’exigence de vérité qui l’a autorisé ? Ce n’est que par et pour mon esprit que tout est douteux. Pour douter de l’existence de l’esprit qui doute. Le doute ne doit-il pas être méthodique et provisoire ? Pourtant si le scepticisme n’est pas une vie, ne doit-il pas

monde dans un miroir fragmenté. Perte de repère, de réel. Dé-fragmenter le réel → ne plus croire à ce que l'on croyait d'avant. Descartes, expérience du doute hyperbolique  « je doute de tout et à force de douter de tout » on aboutit à cette phrase: «  si je doute de tout je ne peux pas douter de tout » → je pense donc je suis. A partir de ce moment là, rupture dans le monde. Questionnement: comment je met en route mes pensées et comment....? → l'œil et l »esprit de Merleau Ponty. Geste

Descriptions physiques? Descriptions de caractère? Mouvement: Arrivées et départs. Affrontement/Amitié. Présence/Ombre. Le destin humain. Limites de l'action humaine. Limites idéologiques. B. Organisation de la pièce: Ier acte: Attente. IIème acte: Doutes. Tension. IIIème acte: Explosion. Libèration de tension. IVème acte: Vie et raison d'être de Kaliayev sont en jeu. Pressions de la religion et de la société. Vème acte: Fermeté. Mort du Juste. -------------------------------------------------------------

en accord avec sois même. 2) Expérience du doute et la découverte métaphysique de la vérité a) Pourquoi faut t’il douter ? Il faut refuser les fausses évidences en doutant. Il ne faut pas se fier aux évidences car après examen cela se révèle ĉ faux (fausse croyance, préjugé). Il faut donc éviter l’erreur en commençant par l’examen critique et suspendre notre jugement. Douter : hésiter devant un chemin qui bifurque. C’est aussi une manière de pensée. b) Comment s’assurer d’une

doute : État de l'esprit quand nous nous demandons si un fait est réel ou non, si une proposition est vraie ou non. Douter n'est pas nier : la négation est une certitude, le doute revient à admettre qu'on ne sait pas. nécessaire : Est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être, ou être autrement. S'oppose à contingent. Sur le plan logique, est nécessaire ce qui est universellement vrai, sans remise en cause possible. dans quelle mesure : Jusqu'à quel degré, jusqu'à quel point. recherche : Quête

vient à douter de sa propre existence, ce qui mène forcément à la «fin» de soi. Si nous ne parvenons pas à nous mettre dʼaccord sur un énoncé, cʼest peut-être parce que nous sommes condamnés à vivre dans le doute; cʼest à dire à rechercher en permanence un critère de vérité. Cʼest en ce sens que pour les sceptiques il faut vivre dans le doute pour vivre heureux, en évitant lʼerreur. Le bonheur cʼest lʼataraxie ; cʼest à dire l'absence de trouble, dʼinquiétude. Il ne sʼagit que de douter dans

que je ne sais pas, je ne pourrais pas me corriger. On peut appeler ça : l’ignorance absolue ou l’ignorance au carré. On comprend que pour le philosophe, la première chose à faire c’est de ne jamais croire en la vérité mais d’essayer de comprendre pourquoi la vérité en est une. C’est de n’accepter pour vrai que ce qui a été examiné par la raison. La philosophe apparait comme celui qui critique, qui examine. Le doute c’est l’exercice de la pensée, c’est une remise en cause, une suspicion. Le philosophe

lui apportant tendresse, affection amour, donc sécurité. Winnicott parlait de mère suffisamment bonne. Bonne pourquoi alors ? Bonne pour : ■Aimer sans étouffer ■Aimer sans repousser, sans rejeter ■Rester à l’écoute de soi ■Faire confiance tout en étant vigilante ■Accompagner tout en autorisant ■Permettre sans laisser faire ■Répondre et interdire sans culpabiliser ■Ne pas douter puisque savoir ce qui est bon et en être certaine donc être à l’écoute de soi et connaître ses propres limites

Descartes* pour répondre: à l'évidence* des idées vraies. Cela signifie, comme l'affirmait Spinoza*, que la vérité est index sui, qu'elle se montre d'elle-même, par sa seule clarté: "Qui a une idée vraie sait en même temps qu'elle est vraie et ne peut douter de la vérité de sa connaissance" (_Éthique_, II, 43). Mais peut-on tout reconnaître par évidence? Ce n'est pas nécessaire. Il suffit de connaître par évidence les premiers principes de la connaissance -les vérités premières- et d'établir toutes les

connaissance de la conscience par elle-même nous semble impossible car si on veut se connaître nous même il faudrait être deux choses à la fois : l’objet et le sujet de la connaissance. Descartes nous montre que l’on peut douter de tout même de notre corps et du monde autour. Il va douter des sciences, des mathématiques et d’autres matières car ses différents professeurs auront des opinions contradictoires ce qui veut dire qu’il y a des erreurs. Il va donc trouver l’opinion vraie en disant que c’est celle