Pourquoi Douter

appel à Daniel qui déchiffra la mystérieuse inscription: " méné-méné-tékél-oufarsin" D' a compté les jours de ta royauté et en a décidé la fin - tu as été pesé et trouvé trop léger - ton royaume a été divisé et donné aux Mèdes et aux Perses ; c'est pourquoi cette nuit même les rois de perse et de médie prendront Babylone. Bouleversé par cette annonce, Balthazar commanda de verrouiller toutes les portes et d'exécuter quiconque les franchirait. Au milieu de la nuit il alla lui-même vérifier la bonne

que c’est comme ça à cause de tel ou telle partie du récit. L’homme n’a donc plus besoin de se questionner et de douter, il lui suffit de croire fort en ce que le mythe avance. Comme lorsque dans l’antiquité on croyait à la mythologie grecque constituée d’un panthéon avec un Dieu régnant sur les autres (Zeus) et les autres qui faisaient parties de tout ce qui nous entoure et c’est pourquoi les gens avaient un profond respect envers la nature, car ils ne voulaient pas attirer la colère des dieux. Il

de douter de ce que nous croyons d’ordinaire. Prenons l’exemple de la confiance que nous accordons à nos sens ; ne nous trompent-ils pas régulièrement ? N’avons-nous pas souvent des illusions d’optique, des faux bruits (etc.) ? Quand à notre raison ; qui ne s’est jamais trompé dans un calcul, un raisonnement ? Si l’on adopte, comme le souhaite Descartes, une démarche scientifique, un peut donc douter de tout. Cependant, au cœur du doute, surgit une vérité dont pour le coup, on ne peut douter. Pour

l’acte II scène 1, Cinna et Maxime, qui complotent contre Auguste depuis le premier acte, sont convoqués au palais. Ils sont alors persuadés que l’empereur a découvert leur intention cachée et qu’il souhaite les punir. Mais tout au contraire, épris de doutes et bien las de ce qui se trame derrière lui, celui-ci consulte ses plus proches confidents afin de leur demander conseil sur le choix décisif qui se présente à lui : régner ou abdiquer. Comment Auguste, un grand homme de pouvoir, est-il confronté

d'être remise en question, dont on ne peut douter (indubitable) ; celle de son existence en tant qu'être conscient distinct du corps. Logique argumentative : (plan) I- Dans un premier temps, ( du début du texte jusqu'à « mais » ( l.13) exclu), Descartes montre la nécessité de mettre en place une méthode afin de pouvoir distinguer le vraisemblable du vrai étant donné la précarité qu'il repère dans ses connaissances. Il se rend compte qu'il y a des doutes, des vérités qui ne sont en fait que des croyances

sont pas forcément les mêmes en tous lieux. Il serait donc intéressant de savoir s’il existe des critères de vérité indépendamment de l’expérience. Pour commencer, nous allons nous tourner vers le problème de la certitude. N’y a-t-il pas moyen de douter d’une théorie scientifique ? En effet, lors d’une expérience, tout n’est pas forcément juste et donc n’amènerait pas forcément à une vérité irréfutable. Mais le problème de la certitude peut être étudié par un autre phénomène, celui du rêve. En effet

mots qui ne disent rien. 1. L'esprit humain a la liberté de suspendre son jugement sur toute chose, à l'exception de sa propre existence. Les sceptiques (encore appelés pyrrhoniens, comme le savent les lecteurs de Pascal), disent qu’on peut douter de tout : de l’existence de Dieu, de celle des corps, et même des vérités mathématiques. Ils disent que la vie est un rêve, et que rien ne peut être absolument démontré. A quoi Socrate répondait : « Mais cela, comment le savez-vous ? » Et saint

incertains afin de repartir à zéro et n’accepter que ce qui est certain. Mais il est très difficile de prouver que nos opinions sont fausses, car trop nombreuses donc sa prendrait énormément de temps à Descartes pour énumérer chaque fausse opinion. C’est pourquoi Descartes met en place une méthode pour parvenir à éliminer les fausses opinions « …et parce que la ruine des fondements entraine nécessairement avec soi tout le reste de l’édifice, je m’attaquerai d’abord aux principes sur lesquels toutes mes anciennes

l’irrationnel, il ne se prouve pas, il est. C’est pour cette raison qu’il est nécessairement accolé à la religion ; elle lui donne une légitimité inébranlable : mettant en scène des personnages divins, ils se prémunissent du doute. Car douter du mythe, ce serait par la même occasion douter des dieux. Que penser du mot « absurde » ? Absurde signifie, « qui n’a pas de sens, qui ne signifie pas » ; ainsi si la vie est absurde, elle n’a pas de sens, et c’est pour cela que nous sommes « égarés » (Sartre). De la

tenue pour critère de vérité. Le problème que pose cette question réside dans le fait que l’évidence, par définition, est un acte par lequel l’esprit saisit de manière indubitable une vérité. Cependant si l'indubitable, c’est-à-dire ce dont on ne peut douter, nous contraint d’admettre ce que nous ne pouvons rejeter, pouvons-nous réellement le considérer comme vrai ? Ainsi, pouvons-nous réellement faire confiance à l’évidence ? N’y aurait-il pas au contraire des évidences qui pourraient induire en erreur