Pourquoi Douter

recueil comportant cinq nouvelles, dont La rêveuse d'Ostende en fait partie. L'auteur joue avec le lecteur à travers ses personnages. Entre réel et imagination, le lecteur finit par douter de ce que lui raconte les personnages. Faut-il croit à leur histoire ou se laisser abusé par eux. C'est dans ce tourbillon doutes que nous entraine Éric-Emmanuel SCHMITT, en nous racontant l'histoire de cet homme partit se réfugié à Ostende, « ville endormie » face à la mer du Nord, afin de guérir d'une rupture

sans que ca puisse nuire aux autres. Ce qui veut dire «ma liberté s'arrêtent là où toutes celles des autres commencent». Certains philosophes comme René Descartes père fondamental de la modernité pensent que l'être humain est libre par la capacité à douter de ses sens donc, il n'est pas influencé par les causes extérieures. Comparativement, à Karl Marx qui pense que l'homme est déterminé par la société et par le fait même que ses choix sont déterminés par des facteurs extérieurs. De là, on peut vraiment

connaître les « premiers principes », ce que la raison ne peut pas faire. Pascal donne en exemple des Pyrrhoniens. En effet, les disciples de Pyrrhoniens appliquèrent les enseignements de leur maître, caractérisés par un scepticisme radical : douter de tout, y compris douter des faits. L'argument de Pascal contre eux est le suivant : nous sentons bien que nous ne dormons point et pourtant, la raison ne sait pas comment s'y prendre pour démontrer ce qui peut permettre de distinguer le rêve de la réalité .

un exemple où la raison permet de donner des preuves : c'est le cas de la géométrie, qui est une « chose claire et constante par la lumière naturelle, et c'est pourquoi il est parfaitement véritable, la nature le soutenant au défaut du discours » - PASCAL. Pourtant, la géométrie n'est pas applicable dans toutes les situations. C'est pourquoi, dans certains cas, les hommes sont obligés de faire certains croix qui varient en fonction de leur volonté. La croyance dépend de la volonté des hommes. En

réalisé par un autre peintre auprès d'un particulier moyennant une somme importante. Peu après, la société assigne le vendeur en nullité de la vente pour erreur sur substance car des experts, spécialistes des œuvres de l'auteur du portrait, ont émis des doutes sur l'authenticité de l'œuvre. Après négociation, les parties ont signé une transaction qui a permis à la société d'obtenir une baisse du prix de moitié, l'intention de celle-ci d'en faire donation à un musée ayant encouragé le vendeur à conclure

Président du tribunal, à sa droite deux juges assesseurs (un homme et une femme), à sa gauche une greffière et la Substitut de Procureur. En face, du Président, l’avocate de l’accusé, à sa gauche, l’accusé, Monsieur X. Qui est ce Monsieur X (X), pourquoi et comment a-t-il commit ces délits? X, né en octobre 1990, est accusé de possession de stupéfiants, extorsion et brigandage, selon les articles du Code pénal correspondant. S’agissant de sa situation familiale, X a une petite sœur de 8 ans, ses

INTRODUCTION : Rechercher la vérité c'est croire qu'elle nous est accessible ; mais comment l'atteindre ? C'est croire aussi qu'elle nous est essentielle ; mais pourquoi l'est-elle ? Car, on peut aussi bien mettre en cause la possibilité d'atteindre le vrai et l'idée même de vérité que sa valeur. Dérobée au fond d'un puits, selon Démocrite, pourquoi vouloir pour elle y tomber ? I VERITE ET OPINIONS. A) Le pouvoir des mots : l'enseignement rhétorique des Sophistes La philosophie s'est définie, dune manière

Descartes a une phrase très claire sur ce sujet, il dit «  Ce sont les fous qui doutent de ce genre d’évidence ». Apparemment il semble donc, à l’issue de cette première réflexion, que l’on ne puisse pas douter de ce qui vient des sens, du moins pas de manière aussi totale. Cependant, Descartes se demande n’existe-t-il pas une situation dans laquelle, sans être malade, tout ce que nous croyons entendre, voit, tous ce que nous croyons toucher est inexistant 

d’autant que la raison me persuade déjà que je ne dois pas moins soigneusement m’empêcher de donner créance aux choses qui ne sont pas entièrement certaines et indubitables qu’à celles qui nous paraissent manifestement être fausses le moindre sujet de douter que j’y trouverai suffira pour me les faire toutes rejeter. Et pour cela il n’est pas besoin que je les examine chacune en particulier, ce qui serait d’un travail infini ; mais parce que la ruine des fondements entraîne nécessairement avec soi tout

de la portée et de la justification du doute : peut-on effectivement douter de quelque-chose qui ne nous apparaît aucunement invraisemblable et que l’expérience ne nous a pas amené à rejeter ? Peut-on «  vouloir «  douter de toute chose, ou bien le doute ne dépend-il pas vraiment de notre volonté mais de notre incertitude, tout aussi involontaire que notre certitude que est justement l’envers et le doute du doute ? C’est pourquoi, Pascal, dont on croit toujours pouvoir faire un Pyrrhonien sous prétexte