Pourquoi Désirons Nous La Vérité

des olives et de l’eau et s’en contente. Le véritable épicurien ressemble davantage au moine dans son monastère qu’au bon vivant dans son restaurant. On peut pousser un peu plus loin la théorie d’Epicure : si l’objectif est d’atteindre l’ataraxie, pourquoi ne pas modifier tous ses désirs, même les plus simples, s’ils ne peuvent être satisfaits ? Ainsi notre bonheur, qui pour Epicure dépend encore de notre capacité à satisfaire nos plaisirs, et donc du monde extérieur, ne dépend plus que de nous. Celui

des olives et de l’eau et s’en contente. Le véritable épicurien ressemble davantage au moine dans son monastère qu’au bon vivant dans son restaurant. On peut pousser un peu plus loin la théorie d’Epicure : si l’objectif est d’atteindre l’ataraxie, pourquoi ne pas modifier tous ses désirs, même les plus simples, s’ils ne peuvent être satisfaits ? Ainsi notre bonheur, qui pour Epicure dépend encore de notre capacité à satisfaire nos plaisirs, et donc du monde extérieur, ne dépend plus que de nous. Celui

même si elles ne tombent pas sous des lois causales lorsqu'elles sont vues comme des rai¬sons. Et les raisons les meilleures selon la propre évaluation du sujet ne sont pas automatiquement les causes les plus fortes pour entraîner l'action. C'est pourquoi il nous arrive de faire le contraire de ce que nous posons en toute clarté comme le meilleur. Si Davidson a raison, on ne peut pas dire que le sujet ne sait pas ce qu'il fait puisqu'il sait, au moment même où il agit, que son choix n'est pas le

: DES PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE HUMAINE 14 1. Que pour examiner la vérité il est besoin, une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut. 14 2. Qu’il est utile aussi de considérer comme fausses toutes les choses dont on peut douter. 14 3. Que nous ne devons point user de ce doute pour la conduite de nos actions. 14 4. Pourquoi on peut douter de la vérité des choses sensibles. 14 5. Pourquoi on peut aussi douter des démonstrations de mathématique. 14 6. Que nous

philosophie de Socrate qui, contrairement aux sophistes, acceptait de ne pas imposer sa personnalité pour se mettre au service de la vérité : critiquant Agathon qui ne peut contredire Socrate, ce dernier affirme : « ce n’est pas moi que tu ne peux contredire, il est facile de contredire Socrate, mais c’est la vérité même que tu ne peux contredire ». Or comme la vérité est universelle, elle n’appartient par conséquent à aucune époque déterminée. Ce discours vise à nous donner une idée de ce

contente de se déposer en nous n’est donc pas de la culture s’il ne s’accompagne d’une vertu formatrice. Est culturel l’acquis intériorisé qui nous développe, qui agit en nous pour donner forme à notre corps, à notre pensée, à nos sentiments d : C’est pourquoi le mythe fondateur de la culture est sans conteste celui de Prométhée. Protagoras, le plus grand de tous les sophistes, en faisait le héros de son humanisme agnostique. Cela ne signifie surtout pas que la culture n’existe pas lorsque la religion

dans son ultime réalité, l’âme ou la liberté humaines, et qui constituent le domaine de ce que la philosophie classique appelait la métaphysique spéculative. Or, constate Kant, si les sciences et les mathématiques sont parvenues à établir des vérités qui font consensus et qui expliquent leur succès, la métaphysique, elle, offre le désolant spectacle d’un champ de bataille où se sont développés des conflits stériles. De plus, la lecture de Hume et les conclusions sceptiques qu’il y découvre relativement

soulevés par la contrainte et les méthodes. La qualité du silence. (Londres, 23 mars 1969) Chapitre IV. L'homme peut-il changer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 L'énergie ; gaspillage d'énergie dans le conflit. (Amsterdam, 3 mai 1969) Chapitre V. Pourquoi ne pouvons-nous pas vivre dans la paix ? . . 96 La peur ; comment elle surgit. Le temps et la pensée. L'attention: être en « éveil ». (Amsterdam, 10 mai 1969) Chapitre VI. La vie: totalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115 La

L’artiste créé des oeuvres qui n’ont aucune fonction particulière, qui ne servent à rien mais qui sont plutôt destinées à notre contemplation (c’est pourquoi elles sont isolées dans des lieux et temps spécifiques). L’artiste s’adresse à notre sensibilité esthétique, à notre goût: on trouve l’oeuvre belle par sa forme, son style; elle nous touche. C’est pourquoi on parle des beaux-arts. Séance 1. L’artiste est-il un être à part ? Freud, Le poète et l’activité de fantaisie L’artiste, par son génie

réincarnation n’est pas une récompense   EPICURISME (voir cours de latin) Les épicuriens partagent l’idée stoïcienne d’élaborer une morale à partir de la conception du monde. Les épicuriens partagent avec Leucippe et Démocrite le principe d’atomisme (pourquoi ? il s’agit d’un intérêt moral : les hommes ne sont pas heureux car ils ont peur des dieux) : -       Les dieux sont constitués d’atomes et vivent dans un monde séparé du nôtre (inter mondes). Ils se mêlent de leurs affaires dans leur monde avec