Pourquoi Désirons Nous La Vérité

D’autre part, l’échange immatériel est un partage : je ne perds rien de ce que je donne. Par exemple, je ne perds pas l’information que je révèle. Nous vivons dans une société de consommation. La publicité créée sans cesse des besoins que nous désirons assouvir. Hors pour assouvir ces besoins, il faut échanger de l’argent contre ce que l’on désire. Derrière cet échange se cache le profit de grandes sociétés. Tant que l'échange correspond à nos besoins, il n'y a pas de problème. Mais quand il

sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons inverses ; et il en va de même pour toutes

certaine connaissance du monde et de la personne. Cependant, si l’expérience amène à la connaissance de la vérité, il semble néanmoins, que nos sens déforment parfois celle ci, menant ainsi à l’erreur de jugement. C’est pourquoi il est nécessaire de se demander s’il est altruiste de faire confiance à nos sens et par conséquent de savoir si l’importance qui leur est accordée pour l’obtention de la vérité est quantifiée raisonnablement. Ainsi, après avoir considéré le fait que nous pouvons nous fier à nos

exister. Du seul point de vue logique donc, l'impossible est toujours absurde, c'est-à-dire qu'il n'a aucune signification véritable : l'impossible est le contradictoire et le contradictoire ne peut jamais avoir le moindre sens ni la moindre valeur de vérité. Pourtant, lorsque nous quittons la seule sphère de la pensée rationnelle, tout se passe comme si l'impossibilité reprenait tous ses droits : qui n'a pas fait l'épreuve de la déchirure entre deux désirs, exigeant pareillement satisfaction, mais dont

livre: André Comte-Sponville commence son livre en disant qu'il parlera du bonheur. *pourquoi avoir choisi le bonheur: Je vous pose la question, qui ne cherche pas à être heureux dans la classe?. C'est ce que dit André Comte-Sponville, le bonheur intéresse tout le monde! Il cite quelques philosophes appuyant son avis. Par exemple: Platon dit: « N'est il pas vrai que nous autres hommes nous désirons tous être heureux ? » Ou encore : « Qui en effet ne désire être heureux ? » On a aussi

Dans la République, Platon, par l'allégorie de la caverne, nous fait prendre conscience que ce en quoi nous croyons, et les choses que nous tenons pour vraies, le monde même pourrait n'être que l'ombre, le reflet, de ce qui est en vérité, comme le voyageur perdu dans le désert l'est par le mirage d'un oasis, il nous arrive d'être victimes de l'illusion, c'est-à-dire d'être dans l'erreur involontairement. La liberté, est pour nous, de façon simple, un terme qui désigne celui ou celle qui n'est ni

La sagesse = bonheur dans la vérité. Definition de st Augustin de la béatitude, elle même étant le bonheur du sage. La sagesse est une vérité heureuse. Le bonheur est donc le but mais pas la norme de la philo : si je dois penser une idée, c'est parce qu'elle est vraie, pas parce qu'elle me rend heureux. Le philosophe entre vérité et bonheur choisit la vérité, il préfère une vraie tristesse à une fausse joie. Le philosophe aime le bonheur, mais encore plus la vérité. ACS décide de diviser son

sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons inverses ; et il en va de même pour toutes

"aucune possession sensible ne saurait satisfaire le désir humain". Platon compare le désir à un tonneau percé dans le Gorgias. Le désir est donc un tyran qui devient certain quand il trouve les conditions favorables à son actualisation. De plus, nous désirons certains objets dont nous n'avons pas besoin comme par exemple une résidence luxueuse ou des bijoux. Ce sont des désirs qu'Épicure dans la Lettre à Ménécée, qualifiera de «non nécessaires», et auxquels il recommande de renoncer si nous voulons trouver

sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons inverses ; et il en va de même pour toutes