Pourquoi Faut Il Lire Les Classiques

réfléchir au pourquoi du choix de cet extrait) I- ANALYSE LITTERAIRE DE L'OEUVRE II - QUELQUES PISTES PEDAGOGIQUES DE L'EXPLOITATION DE CET OUVRAGE EN CLASSE Justification du niveau de classe Modalités de lecture Qq propositions d'exploitation bien approfondies : on nous a précisé qu'il ne fallait pas se contenter de faire une liste de pleins d'idées mais d'en choisir 2 ou 3 et de bien les justifier CONCLUSION Intérêts de cet ouvrage Proposition d'autres pistes (qu'il faut bien travailler

Message(s) : 860  LA DISSERTATION JURIDIQUE   Article rédigé par Gregor2 et bulle  Face à la quantité de messages concernant des dissertations et en particulier la méthode de la dissertation nous avons décidé de poster ces conseils évolutifs. Pourquoi évolutifs ? Car chacun peut participer librement et ajouter sa part d'expérience et ses ressentis face à cet exercice. Il s'agit de conseils entre étudiants, conseils pratiques, pragmatiques ou purement théoriques. Toutefois, ce sujet sera présenté

recommandations que l’enseignant vous a faites en cours d’année. Une faculté essentielle, lors d’une dissertation, consiste à savoir mobiliser ses idées, ses connaissances. La mémoire emmagasine beaucoup plus d’informations que vous ne le croyez. Il faut donc faire « la chasse aux idées », c'est-à-dire celles qui vous permettront de traiter tout le sujet, et rien que le sujet. Prise de connaissance de ce qu’on nous demande. Identification des termes importants. Un sujet peut se présenter sous les

époque marquée par les débats et les contestations. Nous aurons vu ainsi pendant l’année : l’humanisme au XVIè, le classicisme au XVIIè avec la pièce de Molière et le XVIIIè. L’édition de référence pour L’Encyclopédie est celle des Carrés classiques. Quand il y a beaucoup de questions à traiter, vous répondez en 7-8 lignes à chacune. Mais quand vous n’en avez qu’une ou deux, vous approfondissez. Cette séquence est la plus importante de l’année (l’argumentation revient

légèrement vous dérouter. Se plonger immédiatement dans la lecture des philosophes n’est pas une chose facile. Bien souvent, vous vous demandez alors quel ouvrage vous pouvez lire afin de mieux saisir ce qu’est la philosophie, ce que vous allez faire tout au long de l’année… Il y a plusieurs approches possibles : I / Des textes classiques de l’histoire de la philosophie Platon, l’apologie de socrate Descartes, Le discours de la méthode Epicure, La lettre à Ménécée Epictète, Manuel Sartre, L’existentialisme

dans les romans. Je lis peu, je suis très occupé(e) et je m'intéresse à l'actualité. J'aime lire sur le web, j'aime aussi les revues, les magazines, mais je lis peu de romans. Je lis très rapidement, je dévore mes lectures. Je lis rapidement, plutôt en diagonale et en sautant des pages. J'aime les romans sociaux où la psychologie des personnages est très développée. Je lis quand il le faut, je ne déteste pas ça, mais je n'adore pas non plus. Je ne termine jamais un livre. Je dois

( L’analyse du sujet Il faut y consacrer au moins 10 à 15mn. Commencer par lire le sujet, plusieurs fois si nécessaire, pour repérer les mots clés (noms, verbes…) et le thème du devoir. Déterminez le type de sujet (voir fin de fiche). Faire attention aux mots de liaison (« et », « dans », « pendant », « ou »), à l’ordre des mots. Vous pouvez vous poser quelques questions de base (qui, quand, où comment, pourquoi, combien, causes, conséquences, début, fin, lieu, évolution…). Cerner le

complémentaires.   Faire réellement les lectures cursives et se préparer à en parler : résumé de l’histoire ? passages préférés ? liens avec la séquence ? opinion ?   A la fin de l’année, s’interroger sur la séquence qu’on a préférée, qu’on a détestée ; pourquoi ? Savoir situer dans le temps les différents auteurs figurant sur le descriptif. Exercice à pratiquer  Il s’agit de mettre les élèves en binôme (l’un interroge, l’autre est interrogé), en leur demandant de trouver cinq questions d’entretien sur une

Depuis quelques années, non seulement le Canada, mais aussi le Québec en particulier, doit faire face à un problème touchant les adolescents d’aujourd’hui. En effet, plusieurs statistiques démontrent que les jeunes sont de moins en moins nombreux à lire. La question se pose : devrait-on imposer un corpus commun au secondaire? Plusieurs parents et professeurs, de même que le gouvernement y réfléchissent. De mon côté, je suis d’avis que non. En premier lieu, la variation du niveau de lecture des

approche plus "classique permet : • de donner aux élèves le choix des livres qu'ils lisent : nous-mêmes en tant qu'adultes, nous aimons faire nos propres choix de livres... Nous avons tous en tête des souvenirs de collège où l'on nous "imposait" des classiques que l'on lisait (ou qu'on ne lisait pas !) avec réticence... • à apprendre que l'on peut prendre du plaisir à lire ! Si on veut que nos élèves lisent des livres, il faut les leur "vendre" et leur donner envie de les lire et de prendre du