Pourquoi Faut Il Réduire La Dette Publique

entreprises mettent en place des stratégies pour renforcer leur pouvoir de marché.  Stratégie de concentration : les entreprises vont chercher à devenir plus grande par fusion ou par acquisition en se regroupant. Le but étant de réduire la concurrence, de réduire leurs coûts et de réaliser des économies d’échelles.  Stratégie de différenciation (positionnement et marketing produit) via la qualité du produit : sur l’esthétique du produit, la robustesse, la simplicité d’usage, le label qualité

Etat-investisseur n’est basée sur aucune incitation juridique, car il est difficile de mettre en place une sanction pénale contre un Etat lorsque celui-ci est en cessation de paiement. L’existence de ce marché de la dette souveraine repose donc sur le fait que l’Etat est incité à rembourser sa dette, car il sait qu’un financement de déficit dans le futur n’est pas impossible. L’investisseur sait cela et c’est pour cette raison qu’il prête ses fonds à l’Etat. Néanmoins, nous savons que si ce qui sanctionne

d'opportunité) - par la solvabilité: si le taux d'intérêt diminue, l'entreprise a moins d'intérêts à verser et donc sa situation financière s'améliore. Nota: en principe (théorème de Modigliani-Miller), si les marchés sont parfaits, ils ne regardent pas la dette mais uniquement l'investissement. Mais dans la pratique, la contrainte de solvabilité existe, du fait des exigences du prêteur (ration endettement/profit...) 3. Le prix relatif des facteurs: Une hausse du coût du travail a deux conséquences: -

banque ne pourra être considérer comme une entreprise banale. De fait, on dit que la banque appartient à un système bancaire. Elle restera une autorité publique avec pour mission d’assurer l’équilibre financier. * Analyser ce qui fait que les banques modernes peuvent être considéré comme des entreprises à part entière * Comprendre pourquoi les banques existent et dans quelle mesure elles proposent des contrats optimaux à leurs contreparties * Appréhender ce qui justifie le maintien des

Finance publique Chapitre I : la loi de finance 1. le cadre juridique budgétaire 1.1. les principes PLF : projet de loi de finance « Budget » vient de l’anglais et veut dire « sac de trésorier ». C’est le compte des recettes et des dépenses. C’est un compte discuté, autorisé chaque année par une loi : la loi de finance. Il y a des principes budgétaires. Ils sont apparus en même temps que la démocratie parlementaire (début 19è). Il y a une finalité centrale : assurer le contrôle des finances

Journal de la Dette Les dettes au XXème siecle: Un Eternel recommencement Présente Sommaire de notre numéro spécial : P.4 P.5 P.6 P.7 P.8 P.11 P.12 P.14 P.16 P.18 P.20 P.21 P.24 P.25 P.27 P.28 P.30 P.32 P.33 P.36 P.38 Les mécanismes de la Dette Publique La Guerre et les Dettes La Première Guerre Mondiale Le Plan Marshall SMI, FMI, Banque Mondiale, Qui s’occupe de quoi ? En Europe : De Maastricht à Lisbonne La France et sa Dette Les PIIGS

PLAN PROSPECTIVE « MAROC 2030 » LES FINANCES PUBLIQUES Rapport préparé par Mr Saïd TOUNSI Professeur à l’Université Mohamed V pour le compte du Haut Commissariat au Plan 30 avril 2006 TABLES DES MATIERES 1. L’ETAT DES LIEUX 1.1- Les acquis 1.1.1- Au niveau global 1.1.2- Au niveau des dépenses 1.1.3- Au niveau des recettes 1.1.4- Au niveau de financement 1-2 : Intensification de la pression sur les finances publiques 1.2.1- Les exigences économiques et sociales 1.2

élevée et les dépenses publiques de santé en % du PIB une des plus faibles (battue par l’Asie du Sud). La plupart des pays africains ont dû réduire leurs dépenses de santé pour se conformer aux impératifs du FMI et rembourser les dettes. En Afrique subsaharienne le service de la dette représente 4 fois le budget cumulé de la santé et de l’éducation. Souvent l’accès à la santé est réservé aux plus riches (15). L’amélioration de la santé de l’Afrique passe par l’annulation de la dette, une augmentation

Politique économique Siméon Marijon 12 mai 2011 Table des matières 1 Rôle de l’état 1.1 Objectifs : . . . 1.2 Diagnostics . . 1.3 Moyens . . . . 1.4 Contraintes . . 1.4.1 La dette 1.4.2 U.E.M. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l’investissement passé leur rapporte moins de devise que les investissements réalisés par les non-résidents. d) Le compte des transferts courants Enregistre des transferts sans contreparties (dons), transferts courants partant des administrations publiques vers les pays étranger au titre de la coopération internationale. Le déficit indique d’importantes sorties de devises au titre des dons et subventions. Globalement, le compte des opérations courantes s’est nettement dégradé en 2008 et 2009, ce sont