Pourquoi Les Firmes S Internationalise T Elle

travail (DIT) : définition, déterminants et effets Les traits contemporains des échanges internationaux : • la mondialisation des marchés • la constitution d’espaces économiques régionaux (UE, ALENA) • le rôle déterminant des stratégies des firmes multinationales 3.3 Le système financier international La mondialisation se caractérise par l’internationalisation des Le change : • marché des changes et déterminants des taux de change flux financiers et le développement systématique des •

internationaux de marchandises invalident en partie ces théories et amènent à se pencher sur le rôle particulier des acteurs prépondérants du commerce mondial, que sont les firmes transnationales dans le remodelage des activités à l’échelle mondiale (2e partie). I. À la base de l’échange, complémentarité et spécialisation. 1. Pourquoi échange-t-on ? La logique de l’échange peut trouver son origine dans l’impossibilité, pour un pays, de produire certains biens. Longtemps, le commerce international a

pensée autrichienne ; le keynésianisme. Ces approches trouvent leur origine dans un passé plus ou moins lointain et elles ont toutes des traductions modernes, plus ou moins reconnues dans la science économique actuelle, mais néanmoins présentes. C’est pourquoi, même si cela rompt l’exposition chronologique de l’histoire de la pensée économique dans son ensemble, nous avons associé dans la présentation de chaque courant de pensée les auteurs fondateurs et leurs héritiers modernes. Un courant de pensée se

plusieurs Etats se posent la question : Peut-on se faire confiance les uns les autres ? Pendant très longtemps si les Etats ont voulus affirmer leur souveraineté sur des espaces c’était essentiellement pour des raisons sécuritaires. Ceci explique pourquoi pendant très longtemps les moyens utilisés pour contrôler les frontières, étaient des moyens militaires. A l’heure actuelle se sont plutôt des enjeux économiques, culturels, etc. Pendant un certain moment on a pensé que les disputes territoriales

autrichienne ; le keynésianisme. Ces approches trouvent leur origine dans un passé plus ou moins lointain et elles ont toutes des traductions modernes, plus ou moins reconnues dans la science économique actuelle, mais néanmoins présentes. C’est pourquoi, même si cela rompt l’exposition chronologique de l’histoire de la pensée économique dans son ensemble, nous avons associé dans la présentation de chaque courant de pensée les auteurs fondateurs et leurs héritiers modernes. Un courant de pensée

concerne plus exclusivement un commerce entre ville, mais entre nations ( =inter- national) ► Smith et Ricardo, les nations ont intérêts a dvlpt les échanges et chaque nation à se spécialiser La mondialisation a fait passer de internationalisé à mondialisé ( échanges entre firmes ) → capitalisme intern mais surtt commercial Oligopole→ peu d’offreurs, concentré Capitalisme► émerge vers le 11,12,13ème des croisades qui s’accélère au 15ème→ capitalisme et l’Etat sont étroitement liées ( soutenir

* Le comité de Bâle a été crée par les gouverneurs des banques centrales du G10 en 1974, afin d’améliorer, au premier lieu la stabilité du système bancaire international, qui va garantir la stabilité du système financier de plus en plus internationalisé. Alors, dans le but de limiter le risque de faillite, le comité se concentre sur le risque de crédit. Bien que ce comité n’ait aucun pouvoir officiel en matière de surveillance face aux pays membres, il a prononcé en 1988 des ensembles des

réorganiser son système bancaire et ces banques japonaises comportement encore de nombreuses créances douteuses (pas assez solides pour être remboursées). Finalement on voit que le pays a du mal à s’adapter à ce nouveau capitalisme libéral et internationalisé qui a causé une concurrence plus exacerbée ; On remet même en question les keireitsu puisqu’on dénonce leur manque de transparence et leur lien avec l’administration. Le Japon est face à un défi : retrouver une place en Asie mais il va être

contraire, lorsqu’une entreprise réalise elle-même une innovation, cette dernière lui confie un avantage compétitif : réduction des coûts, meilleure satisfaction des besoins des clients, monopole... Aussi de nombreuses entreprises, surtout les grandes firmes, fondent leur stratégie sur la recherche qui permet de réaliser des innovations techniques. Document 5 1. Le métier d’Olympia, entreprise créée en 1918, est la production de chaussettes. 2. Les objectifs de Catherine Rambaud ont été de sauver cette

surproduites, en empêchant les Indiens de créer leur propre appareil productif de textile. Les colonies ne servent pas qu'à l'écoulement des marchandises surproduites : aujourd'hui encore, il existe un phénomène de captation des matières premières par des firmes multinationales. On peut donc compléter la chaîne causale simple : plus-value  crises  mondialisation Pour Marx (Le Capital) : « le marché mondial est contenu dans la notion même de capital ». Il n'y a pas d'abord le capital et ensuite sa mondialisation