Pourquoi Lire Des Romans

 Français A. Développer vos compétences C.E. et E.O. : analyse de trois romans La tulipe noire – Alexandre Dumas 1 . Votre jugement personnel Sélectionnez au moins cinq adjectifs de la liste suivante pour évaluer le roman. Motivez votre sélection avec des références au texte et vos expériences de lecture. Simple : j’ai trouvé cette histoire assez simple. Il n’y a pas vraiment beaucoup d’évènements qui se passent. Romantique : Dans l’histoire il y a de la romance entre Cornélius

le lien qui les unit, le contexte historique, le genre et la tonalité du roman (historique ? pathétique ? didactique ?). • Dégager ensuite les questions qui restent en suspens : le lien entre les deux personnages du premier plan ? La nature de leur implication dans les événements situés à l’arrière-plan ? L’issue du roman ? Deuxième séance : étude de l’incipit du roman Commencer par faire lire le premier chapitre du roman et proposer l’analyse détaillée des deux premières pages. • Repérer toutes

Le titre dévoile tout : sept jours, une éternité. Pourquoi aller plus loin ? Parce que le parcours entre les deux peut être intéressant, « peut-être ». Marc Levy est reconnu comme un auteur populaire : c'est-à-dire que ses livres sont faciles à lire, et accessibles à tous, écrits de façon plutôt agréable, et des histoires relativement courtes. Bref, des romans que l'on peut lire en une après-midi à la plage. L'histoire de celui-ci est plutôt tordue, osée, mais sa narration est agréable et fluide

d’écriture de l’université d’East Anglia, où il enseignera plus tard. Vers l’âge de vingt ans, il commence à écrire des nouvelles, dont certaines paraissent dans la presse, notamment dans le Sunday Tribune. Le Garçon en pyjama rayé est son quatrième roman et son premier ouvrage destiné à la jeunesse – le seul traduit à ce jour en français. Cependant, cette fiction poignante a su interpeller les lecteurs de tous âges. Traduit en dix-sept langues et couronné de nombreux prix, comme l’Irish Book Award

ORAL ENTRETIEN PRINCESSE DE CLEVES :Pourquoi est ce de cette œuvre que vous avez souhaitez parler lors de votre entretien ?J’ai souhaité parler de cette œuvre puisque parmi toutes les œuvres étudié cette année c’est celle que j’ai le + apprécié, qui m’a le + interessé et ça me fait comprendre un autre point de vue, le point de vue de l’époque qui était différent du notre à notre époque à nous : le parallèle était vraiment interessantQu’a provoquez chez vous la lecture de cette œuvre ?La lecture de

dessin, et une autre chose encore : il faut toujours aller voir de l’autre côté du miroir, se méfier des préjugés (ou « pré-vus »), se déplacer pour regarder de biais, autrement. Niveau de langue : moyen/avancé Romans ✣ CASE MENSONGE Gisèle Pineau Bayard Jeunesse (Les romans de Je bouquine), France, 2004, 96 pages TAKAM TIKOU nº13 Présentation JPL Deux histoires convergent autour de la case de Djinala située dans le Quartier Roucou, un quartier défavorisé en Guadeloupe. Tout d’abord

« classique ». - Ecrire, publier, lire. Plusieurs questions peuvent être abordées dans le cadre de la séquence. D’abord, la question des limites de la liberté de l’écrivain et de sa responsabilité. Ensuite, la question des politiques éditoriales : à l’occasion de la réflexion sur la « littérature populaire » , les élèves peuvent faire une recherche sur les modes de diffusion de certains genres et notamment sur les collections spécialisées dans les romans policiers et romans noirs et les stratégies commerciales

Introduction : L’incipit est le début du roman, c’est la première approche d’un lecteur vers un écrivain. C’est pour cela qu’il doit-être captivant afin de lui donner l’envie de poursuivre sa lecture. Cependant la définition d’un bon incipit est difficile à déterminer. Dans une première partie nous allons définir ce qu’est un incipit puis faire la découverte progressive de l’intrigue et enfin nous aborderons le sujet de l’écrivain, ainsi que son rôle. Partie 1 : Dans l’incipit, la notion du

Commentaires Constat : classe en logistique transport de 30 élèves dont 6 filles. Ils n’aiment pas lire ou sont mauvais lecteurs mais ils « adorent » qu’on leur fasse la lecture, une belle lecture (important pour la seconde séance) Les élèves vont pouvoir s’identifier ou non aux deux personnages principaux + les faire réfléchir, les faire lire et les faire écrire Intérêt de l’œuvre : texte court, facile à lire Personnages archétypes+ Le héros stendhalien La chute Capacités Connaissances

texte. Pour qu’il y ait un auteur il faut qu’il y ait des livres qui soit le lieu même de l’auteur -> « Moi Montaigne je dis que le livre t’avertit et le livre t’avertit que Je » Auteur est consubstantiel à son livre ou à ses livres c’est pourquoi Socrate n’aime pas les écrivains, car l’écrit repose sur la disparition de l’énonciateur. L’auteur s’inscrit à même le livre. Le premier à formuler que c’est le livre qui accouche de l’autre. Avant la conception c’était