Pourquoi Rions Nous

société d'aujourd'hui impose des règles et des lignes de conduites à suivre concernant le rire, mais aussi parce que des spécialistes de l’humour dépassent parfois volontairement ou non certaines règles. Tout les documents en témoignent, nous ne rions pas tous pour les mêmes choses. Comme le dit Olivier Mongin dans « éclat de rire » Chacun est libre de rire de ce qu’il veut à condition de ne pas obliger les autres à rire avec lui. Nous pouvons tous y trouver notre compter dans diverses ressources

de L’éthique. Et nombre des disciples avoués de Descartes expriment un intérêt particulier pour ce phénomène, notamment Henry More dans son Account of Virtue. La question que je veux poser à propos de tout cela est tout simplement la suivante : pourquoi tous ces auteurs se croient-ils tenus de s’intéresser sérieusement au rire ? Il me semble que la réponse est à rechercher dans le fait que tous s’accordent sur un point cardinal. Et ce point est que la question la plus importante qui se pose au sujet

courant dans la comédie. En outre, cette scène est de plus une déclaration d'amour, où Tartuffe essaie à plusieurs reprises de révéler son amour envers Elmire, mais ne réussit jamais. En fait, il ne veut pas montrer sa vrai personnalité, c'est pourquoi il s'agit aussi du comique de caractère. D'une part, Tartuffe fait ainsi glisser son masque de dévot et montre son vrai visage de temps en temps. Il oublie son personnage de pêcheur repentant pour essayer de séduire Elmire par des moyens plus

la grande scène d’amour. Irénée comprend alors qu'on s'est joué de lui et qu'il n'est en fait qu'un « Schpountz ». IRÉNÉE — Faire rire ! Devenir un roi du rire ! C’est moins effrayant que d’être guillotiné, mais c’est aussi infamant. FRANÇOISE — Pourquoi ? IRÉNÉE — Des gens vont dîner, avec leur femme ou leur maîtresse. Et vers les neuf heures du soir, ils se disent : « Ah, maintenant qu’on est bien repu, et qu’on a fait les choses sérieuses de la journée, où allons-nous trouver un spectacle qui

toute sorte de vie, Dans moments maladroits, Fini toujours au lit. Les bonnes soirées passées, Au plus loin de tous gens, Au grenier isolé, Ne crois point que je ment. Des fois quand nous mangions, La manette a la main, Putain que nous rions, Ne dites point que l'on ment. De bons moments passés, Des fois sans même rien faire, Certains sans même penser, Mais toujours être frères. Monter ses escaliers, Mais en rentrant dedans, Il y faudra y prouver, Que vous tes un enfant.

bien. Après quelques bons fous rires, quel est celui qui ne se sent pas bien de "pleurer de rire"? Mais le rire est un phénomène et les scientifiques se chargent de découvrir le pourquoi du rire humain. Ils ont découvert que le rire favorise le système imunitaire et que c'est un anti-stress infaillible. Mais pourquoi rions-nous? Les scinetifiques ont une théorie: pour créer des liens sociaux. Lorque l'on est dans un groupe de personnes et que l'on rit d'une blague ou d'une plaisanterie, on partage

phénomène , qui s'en rendent compte , et cela les amuse ; «nous rions» . Alors l'homme se construirait il une fausse vérité ? nous avons souvent le sentiment d'un écart impossible à combler entre les mots et la réalité (je ne trouve pas mes mots, il n'existe pas de mots pour dire ce que je ressens). Cela vient avant tout de la pauvreté et de la généralité du vocabulaire (la réalité au contraire serait complexe, riche) c'est pourquoi l'homme veut rendre cette réalité plus facile . Le problème ici

le plus léger. Cependant la citation d’Eugène Ionesco semble affirmer un point de vue bien différent. Selon lui le comique n’est pas si futile qu’on peut le croire, il peut être au contraire plus inquiétant et déroutant que le tragique. C’est pourquoi il est l’intuition de l’absurde, parce qu’il peut traduire son originalité, son souffle de folie, tout en transmettant son ampleur pessimiste. Encore une fois Ionesco n’a pas peur de jouer sur le sens des mots, et de faire ressortir leur richesse

qui se passe autour d’elle . Elle prévue d’un franc parler : Lorsque Mme Smith lui reproche de s’être absentée elle lui repond sèchement “ c’est vous qui m’avez donné la permission” Et surtout lorsqu’arrivent les Martin , elle les hulimies :”pourquoi êtes vous venus si tard ? vous n’êtes pas polis. Il faut venir à l’heure .Compris ? “ Le pompier : C’est un homme obsédé par son métier Ce personnage ne vit que pour son activité professionnelle sans elle , il n’est plus rien. Il est

ou faire semblant et devant tant de faux semblants, finir par gagner l’apaisement nécessaire, ou tenter au moins de fuir la peur de la peur, éliminer juste celle-là, ne plus se laisser faire, noyer ses démons, garder le sourire. Être arrogants, pourquoi non ? Dernière tentative pour relever l’échine, garder le corps droit, la tête haute. Être solides ou vivants, la même chose. Debout. Ne pas avoir honte par avance, se condamner à priori, renoncer aux voyages en groupe, en bande, tribu, corporations