Pouvoir Des Fables Satire

La Fontaine a construit sa fable de 55 vers comme une pièce de théâtre, ce qui lui donne un caractère dynamique. Elle est relativement longue, comme le sont souvent les fables du deuxième recueil. Dès le premier vers, la situation initiale est présentée : "La femme du Lion mourut". Elle est rapide et précise, on pourrait la qualifier de scène d'exposition. Cependant, ce premier vers paraît un peu redondant par rapport au titre qui précise déjà la situation : "Obsèques". Ce mot insiste sur la gravité

dramatique (ex oeuvre: la comédie Gabrielle qui obtient en 1849 un prix Montyon). Il a aussi été grand officier de la Légion d'honneur. -Nicolas Boileau-Despréaux a été élu en 1684. Il écrit de nombreux recueils comme par exemple: -Les Satires(1666) -L'Art poétique (1674) Leur rôle est de créer des règles et rendre la langue française compréhensible par tous. Pour cela, il compose un dictionnaire de l' Académie Française qui sélectionne les mots en fonction de leurs fréquences

est un poème souvent lyrique dont les vers sont courts, le nombre des strophes variables mais d'égale longueur. -La fable est un poème dont la morale est censée éduquer. Au XVIIème siècle, Lafontaine s'est inspiré des fables grecques d'Ésope et latines de Phèdre. -La satire est un poème argumentatif qui dénonce des défauts sur un ton humoristique. Au XVIIème siècle, Boileau s'est inspiré notamment du poète latin Juvénal. III. Les formes libres Les poèmes en vers libres ont une structure

entre un pers fictif et un pers réel : un dialogue où le ministre Rougon se justifie des accusations portées contre sa « bande » et rapportées par Napoléon III. Rougon réaffirme sa position d’homme fort en rappelant le crime sur lequel repose le pouvoir. Roman naturaliste qui a pour thème la politique et qui dénonce le régime. I. Une scène dialoguée : la confrontation entre le ministre et l’empereur A. Dynamique de l’échange et rapport de force Mvt du texte, attaque, contre-attaque, échappatoire

est un poète français de la période classique, inspiré par les fabulistes de l’Antiquité gréco-latine, pour ses fables et qui font de lui sa renommée. « La cour du Lion », extrait du livre VII du deuxième recueil des fables de la Fontaine est un travail de réécriture d’une fable de Phèdre. En quoi Jean de la fontaine dénonce t-il la société ? Et comment fait-il pour porter la satire de cette fable ? Tout d’abord, nous expliquerons comment jean de la fontaine fait-il pour désamorcer la critique

Jean de la FONTAINE, “La Cour du Lion” Intro générale : La publication des Fables par La Fontaine en 1668 lui vaut un grand succès. Il s'inscrit dans le Classicisme du XVIIe siècle. Textes brefs et plaisants, inspirés de l’Antiquité et de l’Orient, appelés aussi des apologues, à savoir des récits courts à visée argumentative. En mettant en scène hommes et animaux, La Fontaine interroge subtilement les enjeux les plus graves, plaçant l’imagination littéraire au service de la pensée, de la réflexion

profondeurs d'un lac africain les dieux vivaient encore. Beaucoup y croyaient, certains, craignant leur colère et leur chant de mort ; des jeunes surtout, touchés par les temps nouveaux, refusaient la terreur qu'ils inspiraient et leurs mystérieux pouvoirs. Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures

argumentant. Défendrecelles ci de manières efficace revient donc à convaincre ou persuader le lecteur. La littérature permet-elle d’exprimer ses idées et de convaincre le lecteur ? La population et la censure empêchentl’expression des idées, mais le pouvoir de la littérature permet le contournement de ces obstacles. Lorsqu’un auteur écrit un livre, il vise évidemment à toucher les lecteurs.Ceux ci doivent doncpouvoir avoir accès à ces livres, or ce n’est pas donné à tout le monde. Certains sont illettrés

mais il est surtout connu pour ses «Fables» et ses «Contes».Les six premiers volumes des «Fables» contiennent plus de 120 fables qui se basent essentiellement sur des fables classiques, dont ceux d'Esope et de Phèdre. Naturelle, imaginative et dotée d'une forte originalité, et ce malgré le fait qu'elle soit en grande partie inspirée d'œuvres antérieures, l'œuvre de Jean de La Fontaine est également remarquable par sa concision, sa justesse et sa simplicité. Ses fables, courts par la forme, contiennent

Corpus de fables de Jean de La Fontaine commentées pour l’entretien oral : 1. Les Deux Mulets (p57, Livre I,4) Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d'un pas relevé, Et faisait sonner sa sonnette : Quand l'ennemi se présentant, Comme il en voulait à l'argent, Sur le Mulet du fisc une troupe se jette, Le saisit au frein et l'arrête. Le