Pouvoir Non Soumis Au Contreseing Ministériel

Droit constitutionnel PARTIE 3: LE DROIT CONSTITUTIONNEL DE LA Ve REPUBLIQUE EN FRANCE étude de la constitution du 4 octobre 1958 qui fonde la Ve république. On abordera la question de l'organisation actuel des pouvoirs publique et leurs fonctionnement. On étudiera également les mécanismes de protection des droits fondamentaux en France. TITRE 1: la naissance et le fondement de la république. CHAPITRE 1: L'INSTALLATION DE LA Ve RÉPUBLIQUE section I: le contexte I/ La chute de la

d'exercer un pouvoir et de contraindre au respect de la règle de droit). Il est reconnu légitime par les hommes en tant qu'intervention juridique, politique et social sur son territoire. L'Etat ne doit pas accepter l'ingérence d'un autre Etat. Un Etat comme la France ne peut pas fonctionner seul sur ce territoire sinon il n'y aurait qu'une administration. Le territoire initial doit être découpé pour des raisons pratiques, politiques et juridiques. politique : diminuer le pouvoir juridique :

qui peut régler un conflit ou faire entendre la voix du peuple à une heure décisive », telle est la définition que fait Michel Debré du droit de dissolution dans son discours du 27 aout 1958. La dissolution parlementaire représente la faculté du pouvoir exécutif, ou législatif dans certains cas , de mettre un terme à une législature. Cela entraîne le renouvellement du parlement ou bien simplement d’une de ses chambres , par la tenue d’élections législatives anticipées. Dans l’histoire constitutionnelle

parlement Les députés qui siègent à l’Assemblée nationale sont élus au scrutin majoritaire uninominal à deux tours dans le cadre de circonscriptions plus ou moins équivalentes à 100 000 habitants, pour cinq ans, sauf dissolution de l’Assemblée Pour pouvoir être parlementaire, il faut remplir certaines conditions. Il faut avoir 23 ans pour être élu député et 30 pour prétendre être sénateur, ne pas avoir été condamné pour crime Il existe aussi des incompatibilités de fonction. On ne peut pas être parlementaire

démettre ou alors nommer une équipe ministérielle correspondant à la majorité parlementaire. En période de cohabitation le premier ministre est le chef de la majorité parlementait ce qui devient totalement différent à ce que de Gaulle précisait. Par ce statut le Premier ministre doit choisir personnellement les orientations de la politique du gouvernement, en adoptant des projets qui lui sont propres grâce au soutient des assemblées. Il y a donc le basculement du pouvoir vers Matignon. Ensuite par l’application

Eymeri-Douzans, dans une intervention lors d’un colloque à Toulouse en octobre 2007, la responsabilité ne revêt plus aujourd’hui le sens qu’évoquait la pensée démocratique de Rousseau, « ou les gouvernants commis des électeurs sont censés être constamment soumis à une responsabilité directe », devant un peuple qui serait donc détenteur de la souveraineté. De plus, il s’agit de constater que la Ve République établie en 1958 a été vecteur d’une réelle évolution de la responsabilité politique de l’exécutif vers

Droit constitutionnel La longévité de la constitution avec sa capacité à s’adapter, a été modelée sur une figure du Général de Gaule, appelé le pouvoir d’Etat. Cette constitution a survécu au général de Gaule. Les successeurs du Général de Gaule n’ont pas songé à passé à une VIe République. Même Mitterrand avait contesté la Constitution de 1958, dans son livre « le coup d’Etat permanent ». Cependant, elle a su s’adapter à l’après de Gaule. La révision constitutionnelle de 2008, on n’a pas

sedan. Dans les faits et politiquement il a débuté en 1870. Mais d'un point de vue strictement formel, il est né officiellement en 1875 avec l'adoption des lois constitutionnelles. La 3ème rep a pris fin le 10 juillet 1940, lorsque les pleins pouvoirs furent donnés à Pétain pour élaborer une nouvelle c°, pour beaucoup il perdure jusqu'en 46. Ce qui caractérise la 3è rep c'est le décalage entre la lettre de la c° et sa pratique. SECTION 1. LA MISE EN PLACE DE LA 3ème REP Après la signature

gouvernement de majorités de circonstance qui défaisaient les gouvernements au gré des alliances, tout en étant incapables de proposer une alternative. L'article comprend 4 alinéas et constitue un des éléments forts pour permettre d'éviter les crises ministérielles, telles que la France les a connues sous la IV ème République. Il organise : l'engagement de responsabilité sur un programme (dite aussi « question de confiance ») à l'initiative du gouvernement ; la motion de censure à l'initiative de l'Assemblée

des pleins pouvoirs en Algérie. Le gouvernement Français n’a donc plus aucune autorité en Algérie, il n’a d’ailleurs plus vraiment d’autorité en France, puisque la police et les CRS se désolidarisent également de l’Etat, et refusent tout ordre provenant de ce même gouvernement. La France est au bord de la guerre civile. En Algérie, l’idée chemine que le retour de De Gaulle, qui répond aussitôt, en remettant à la presse une déclaration dans laquelle il se dit prêt à assumer les pouvoirs de la République