Pouvoir Royal Et Principautés

Introduction historique au droit PLAN DU COURS - INTRODUCTION - I. Délimitation analytique 1. La notion d’institution 2. Les faits sociaux 3. La méthode II. Délimitation chronologique - PREMIÈRE PARTIE - L’époque franque : le pouvoir personnel et l’anarchie Chapitre I. L’établissement de la monarchie franque Section I – Les données historiques §1 – Les invasions et la constitution du royaume franc I. Les migrations germaniques du Ve siècle II. La conquête franque

politique fait référence à la manière dont le pouvoir est organisé et exercé au sein d'une entité politique donnée. Cela renvoie donc à la forme institutionnelle du pouvoir mais aussi à la pratique découlant de cette forme institutionnelle. Cela dépasse l'étude constitutionnelle qui analyse les structures formelles d'un État mais n'est pas non plus à confondre avec l'étude des systèmes politiques c'est-à-dire l'étude des acteurs et des actions. L'exercice du pouvoir est très important car tout en ayant la

voulons aussi que chaque homme libre dans notre royaume reçoive le seigneur qui lui plaira, soit nous soit l'un de nos fidèles » cette phrase centrale dans le corps de texte du capitulaire de Mersen, marque un tournant décisif dans la conception du pouvoir royal; a l'aube du Xe siècle, cette directive signe la naissance de la vassalité et la mort de la royauté carolingienne. Charles le Chauve (823 – ✝ 877) qui donne autorité a ce texte règne en 847 depuis 4 ans sur la Francie Orientale, l'actuelle

gauloises (donc pas de pillages, etc) car au 1er siècle av JC, Rome est en guerre civile. La Constitution romaine est sur le point de basculer. Le pouvoir est vacillant, il n’y a pas de pouvoir central : Rome ne peut rien imposer. Rome va donc essayer d’intégrer les provinces sans brutalités. L’institution principale de leur République est le Sénat. Ce pouvoir est en train de sombrer donc César va essayer de mettre en place une monarchie. Les provinces vont essayer de tirer profit de cela. A- Le

permanentes par la suite : les impositions royales comprenant des impôts directs (taille, taillon), des impôts indirects affermés sur la consommation (gabelle) ou la circulation des produits (aides) et des taxes sur la circulations des denrées et des marchandises. De plus le pouvoir royal se doit de procéder à de nombreux emprunts (les constitutions de rentes, le prêt sur recettes et les traités d’affaires extraordinaires), on peut remarquer que le crédit royal repose sur la fiscalité, et à la multiplication

Entre le 10ème et le 13ème siècle, des populations venant de Thaïlande et de Chine du Sud s'installent au Laos, dans les plaines et dans la vallée du Mékong. De 1340 à 1350, le prince Fa Ngoum, entreprend la conquête de toutes les petites principautés disséminées le long du Mékong. Il unifie le pays. Proclamé roi en 1553, il fonde le Lane Xang, royaume du "million d'éléphants", à Xieng Thong. C'est le premier état lao unifié. En 1356, Fa Ngoum s’empara de Vientiane et de sa province. Le roi

Nord. Après cela, il provoqua une guerre avec la France, ce qui lui donna le momentum politique nécessaire pour rallier les États du sud et proclamer le Deuxième Reich qui exclut l’Autriche (réglant ainsi beaucoup de problèmes quant à la balance du pouvoir). Selon cet auteur, l’unification de l’Allemagne doit donc être imputée principalement à l’habileté d’homme d’État d’Otto Von Bismarck . D’après Otto Pflanze, auteur de Bismark and the Developement of Germany , Bismarck est à l’Allemagne ce que Lincoln

l’Egypte vers la fin du IVe siècle. Cet empire est un état structuré avec à sa tête un empereur doté du pouvoir absolu. Il possède une administration organisée couvrant tout le territoire. L’édit de Caracalla en 212 a permit de donner l’accessibilité à la citoyenneté romaine. A partir de là, le droit romain devient le droit commun du territoire. La fin du IVe siècle et ses évolutions. -Les pouvoirs de l’empereur deviennent les sources premières et fondamentales du droit et de la justice. -L’empereur

en contact, dans la guerre et dans la paix, par le biais de quelques intermariages3, à différents niveaux, en raison du fait que le roi d’Angleterre fut pendant longtemps duc de Guyenne (une Guyenne un moment démesurément élargie en une immense principauté d’Aquitaine4), et surtout en raison de la conquête de la Normandie et des terres adjacentes par Henry V, ce qui permit à des membres de la nobility et de la gentry pendant quelques années de devenir, par l’obtention de fiefs, des seigneurs et des

traité d’alliance entre deux petits-fils de Charlemagne, Charles le Chauve et Louis le Germanique, contre leur frère ainé Lothaire, qui venait d’hériter de la couronne impériale. A la fin du Xème siècle, le royaume de France est un assemblage de principautés laïques ou ecclésiastiques (dépendant de l’Eglise), largement autonomes par apport au roi. Quand, en 987, Hugues Capet, roi élu, succède aux derniers rois carolingiens, il n’est alors que l’un des seigneurs les plus puissants, sans autre prééminence :