Pouvons Nous Etre Heureux Sans Autrui

PARCOURS THEMATIQUE     Si le titre "Spleen de Paris" fut souvent évoqué par Baudelaire, force est de constater que le thème du mal-être du poète n'est pas le thème dominant du recueil, Baudelaire parle aussi du mal-être des autres et, par ailleurs, cet état n'est pas spécifiquement parisien. Contrairement aux Fleurs du Mal, il y a une diversité thématique dans le recueil en prose et le moi du poète n'est plus le seul motif d'inspiration : Baudelaire se livre certes à une forme d'introspection,

peuvent être indispensable comme : manger. Et c’est avec les mots que le malade sera dans la possibilité de combler ses nécessitées. De plus Bergson nous dit lors des lignes 3 et 4 que les mots ne désignent que des genres; comme nous avons pu le dire ci-dessus un mot peut en fait englober une infinité d’objets qui peuvent avoir en commun leur apparence ou leur utilité, nous pouvons prendre par exemple le cas d’un pull qui servira toujours pour la même chose ( s’habiller ) mais qui pourra être d’un

pas me montrer avare de mes bienfaits envers autrui, mais au fond seulement parce que j'espère (de façon claire ou même inconsciente) être payé en retour d'une quelconque façon : que ce soit par un « calcul » qui ne laisserait pas d'être « vil », en supputant à l'avance les profits que mon aide pourrait bien me rapporter si je me décidais à l'octroyer ; voire par désir de reconnaissance, parce qu'il est agréable de voir ma générosité louée par autrui, ou ma grandeur d'âme étalée au vu et au su de

Chute * Moqueries, dérision * Humour noir : rire est un instinct d’autoprotection b. Les situations propices au rire :  * Fatigue, on rit pour rien * Alcool, drogue * Rire par contamination c. Les effets: * Rendre heureux * Amuser * Rire du mal soulage * Lutter contre l’ennuie ou le surplus * Montrer sa révolte * Dénoncer la stupidité de l’homme * Apporter un message, une réflexion * Affaiblir la réalité et les choses qui nous blessent

conçue comme le fait de faire ce que je veux. Il a déjà été montré comment la philosophie politique se positionne par rapport à cette conception de la liberté absolue. Une telle liberté irait à l’encontre des exigences sociales et toute licence devrait être abandonnée au profit d’une véritable liberté politique constituée certes de droit mais aussi de devoir restreignant l’action. Néanmoins, il a été également possible de tenter une conciliation entre cette liberté absolue et la soumission à la loi. En

certains écrivains préfèrent  les ouvres argumentatives. Ces œuvres aussi différentes qu’elles soient sont bien connues pour être des œuvres littéraires qui, de part leur popularité, ne sont pas faciles d’accès. En effet l’œuvre argumentative requiert une réflexion et une analyse profonde de la part du lecteur pour parvenir qu’il puisse la comprendre dans sa globalité. Elles peuvent être écrites sous différentes formes soit sous la forme d’une argumentation directe (essais, pamphlet …) ou même une argumentation

philosophe allemand de l'époque, dans son texte « Qu'est-ce que les Lumières ? », publié en 1784, les a définis ainsi : « Les Lumières sont ce qui fait sortir l'homme de la minorité» de « l'incapacité où il est de se servir de son intelligence sans être dirigé par autrui (…) Sapere aude, aie le courage de te servir de ta propre intelligence ! Voilà donc la devise des Lumières. » Ce mouvement littéraire, caractérisé par une confiance dans la raison humaine et une foi optimiste dans le progrès, n'est pas sans

sens à la notion de devoir, puisque autrui est celui que je dois absolument respecter puisqu’il est une personne. Mais en acceptant cette définition, il faudrait se demander si comme le soi est également une personne - elle l’est obligatoirement aux yeux d’autrui - un respect sous forme de devoirs est également à émettre envers soi-même. Ceci étant dit, nous pouvons commencer à nous interroger sur la valeur d’un sujet de moralité qui serait le soi à qui devraient être adressés par soi les devoirs qui

au jeu, et voudra toujours s’améliorer. Cela va l’aider à se surpasser à reprendre confiance en lui. Cela est également le cas pour les handicapés, n’est-il pas formidable de voir des handicapés, qui pour certains n’ont plus de bras, nager ? Peut-être que s’ils n’avaient pas eu comme figure un sportif de haut niveau, seraient encore assis dans leur chaise à envier les gens qui peuvent encore marcher courir ou encore sauter ? De plus aujourd’hui le handi sport est de plus en plus courant et de plus

faire ce qui nous plaît ?Etre libre, est-ce pouvoir choisir ?La liberté réside-t-elle dans la spontanéité ?Suis-je d’autant plus libre que je suis indifférent au jugement d’autrui ?Définitions, conceptsLa liberté s’oppose d’abord à tout ce qui est de l’ordre de la contrainte. Champ conceptuel : être libre c’est ne pas être contraint à, ne pas être forcé de, ne pas dépendre de quelque chose d’extérieur. Cf. rapports maître/ esclave (à l’origine, être libre, c’est ne pas être l’esclave de).Conséquence