Poème De Feu

Correspondances Le poème Les Correspondances est un poème apparemment dédié à la Nature. Pourtant, il ne s’agit pas vraiment d’une nature comme l’auraient décrite les romantiques, il s’agit d’une nature vue par l’homme à travers ses sens, une nature « symbolisée », humanisée (comprise) et dominée (par lui, pas ses sens). La Nature est bien omniprésente dans ce poème mais seulement au travers des sens de l’homme, ces derniers parfois « confus », percevant des informations « riches » mais désordonnées

et exprimaient leurs ressentis à travers leurs textes. La première partie portera sur les poèmes engagés de périodes mélangées : se mêleront Pottier, pour un poème communard, Manouchian, résistant et poète, Aragon, avec un extrait de son célèbre Front Rouge à la gloire de l'URSS, Eluard, par un texte hommage à Gabriel Péri, ainsi qu'un poème d'un auteur presque inconnu : Rhodine, que j'ai beaucoup aimé pour sa simplicité et son direct. La seconde sera constituée de poèmes sur Staline, je n'en mettrai

Le poème développe la plainte de la fuite du temps, la tonalité est éminemment mélancolique. Le poème repose sur une esthétique de la répétition, qui donne au texte une tension entre retour du même et progression de sens. L'absence de ponctuation accentue l'ambiguïté de la plainte.En reprenant des motifs simples, le poète parvient à développer une réflexion philosophique. I) Contemplation et remémoration II) Une réflexion philosophique et ontologique III) Une réflexion sur le statut du poète

hallucinées (1893), « La ville ». * Eléments pour l’introduction : 1) Contexte, présentat° : XIXe s : ère de la ville, du modernisme, de l’industrialisation. Emile Verhaeren, poète belge, XIXe, Les Campagnes hallucinées, 1893, « La ville » = 1er poème du recueil (étonnant vu le titre !). Symbolisme  = Il s’agit d’associer les objets qu’on voit aux états d’âme, à la sensibilité du poète. Pour les Symbolistes. Structure du texte : forme circulaire(« ville… ville »)., vers de longueurs inégales

divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins; Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes! Introduction Structure générale du poème C’est un poème composé de 5

après une conjonction de coordination « et » ( v.1 et v.2 ), « car » ( v.5 et v.6 ). → Le même phénomène se retrouve dans le deuxième quatrain : « celui qui craint » ( v.5 et v.6 ). • Le sizain introduit une perturbation, un thème antithétique : « le feu » ( v.10 et v.11 puis v.12 et v.14 ) par opposition à « eau ». • La syllepse ( consiste à jouer sur le sens propre et le sens figuré du même mot ) est employée à plusieurs reprises : « amer » : - qui a un goût salé désagréable - douloureux « orage » :

INTRODUCTION C'est le troisième poème de la section "Spleen et Idéal" après l'Albatros, qui relate la chute du poète et le malaise qui le prend a vivre chez les hommes du commun, voilà le poème inverse. Le titre est polysémique: l'élévation est l'action de s'élever, le mouvement d'ascension; le résultat de cette action, la supériorité dans le voce liturgique, le moment de la messe ou le prêtre éleva l'hostie. Ce poème compose de cinq quatrains d'alexandrins aux rimes embrassées met en scène le

maudit à la manière de « Rimbaud» ni l. c'est l'homme des lettres à la façon de «Mallarmé» mais l'artiste marginal, le fantaisiste dépourvu d'appuis stables créateur de mythologies modernes, une ombre voleuse du feu , c'est l'homme du quotidien. C'est le créateur de vérité; une vérité qui peut d'abord n'être que supposée et surprenante. Mais l'avenir peut lui donner une réalité. C'est le faussaire, le créateur dans son sens

« La cloche fêlée" est un poème de la section "Spleen et Idéal" des Fleurs du mal de Charles Baudelaire. Il précède les quatre poèmes du "Spleen".Le poème est écrit sous la forme d'un sonnet en alexandrins. Le premier et le second quatrains sont en rimes croisées (abab), le premier et le second tercet, en rimes suivies (ccddee). Il épouse une rêverie dont l'élément déclencheur est le "chant" des cloches en hiver.L'âme du poète ressent le sentiment "religieux" mais aussit son propre sentiment de faiblesse

le titre fait réference à une victoire? or ya pas de victoire ambiguité des mots mine, feu progressivement le thème de la mort s installe par le jeu des références qu on accede au propos: guernica strophes de longueurs variables: distique, tercet quatrain etc , ce qui correspond au chaos de la guerre, son desordre...désordre prosodique... en mm tps, forme en versets...prend un aspect solonnel prières, religion) guerre = destructions....d'où la forme hachée, segmentée des vers (espaces