Poète Vos Papiers

qui dès le premier vers nous met au courant de la « Douleur » que ressent le personnage. Comme on peut le comprendre rapidement, l’auteur personnifie la douleur, puisque il s’agit de « sa » douleur mais aussi car il la transforme en nom propre. Le poète s’entend bien avec « sa » souffrance, et détient avec elle, une relation qui s’apparente presque à de la complicité. Receuillement Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici : Une atmosphère

VICTOR HUGO Les Rayons et les ombres, 1840 Fonction du poète Peuples! écoutez le poète ! Ecoutez le rêveur sacré ! Dans votre nuit, sans lui complète, Lui seul a le front éclairé. Des temps futurs perçant les ombres, Lui seul distingue en leurs flancs sombres Le germe qui n'est pas éclos. Homme, il est doux comme une femme. Dieu parle à voix basse à son âme Comme aux forêts et comme aux flots. C'est lui qui, malgré les épines, L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines

compte de la volonté hermétique de son auteur. Il est aussi un poème qui traite de la difficulté d’écrire et du désir de fuir son existence. I) Fuir là bas II) « L’angoisse de la page blanche » I) Fuir là bas 1) L’ennui du quotidien Dès le v.1 le poète évoque un ennui profond qui englobe tout ce que l’existence humaine peut offrir intellectuellement et physiquement : renoncement aux plaisirs du corps « La chair est triste » c’est à dire qu’il n’y a rien à attendre du plaisir sensuel. La chair est

Témoignage d’une rencontre avec un poète : Boris Vian « On ne comprend pas une œuvre, on comprend l'homme qui l'a faite.  » Boris Vian, Extrait de la revue Jazz Hot Table des matières Introduction …………………………………………………………………………………………………………………5 Biographie ……………………………………………………………………………………………………….…………..6 Œuvres …………………………………………………………………………………………………………………………13 Thématiques…………………………………………………………………………………………………………………16 Ecritures ………………………………………………………………………………………………………………………20

Une poésie de la simplicité Les Regrets est un recueil de poèmes de Joachim du Bellay (1522-1560), écrit lors de son voyage à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour en 1558. On observe dans ce recueil la désillusion du poète par rapport à la « capitale de l’antiquité », idéalisée par les humanistes, et dont il s’aperçoit qu’elle n’est plus que ruine et débauche. Cependant ce recueil est une véritable révolution poétique : d’abord par sa forme toute nouvelle : un recueil de sonnets portant

Et pourtant l’être humain reste fasciné par la mort parce qu’il ignore tout de ce qui la suit. Pour mieux vivre son deuil, l’Homme a besoin de trouver un moyen de conserver la personne disparue, de l’immortaliser dans sa mémoire, par le biais du papier et de l’encre bien souvent. En effet, il est parfois nécessaire de soigner les maux par les mots et il est bien plus aisé d’écrire ce que l’on ressent plutôt que de l’exprimer à haute voix. Toute personne ressent, ou du moins a déjà eu l’occasion

La chevelure: Dans « la chevelure », le poète opte pour une focalisation interne. En effet, la présence de pronoms personnels de la première personne du singulier « je » et « j’ » (vers 5-11-21-29-34-35) domine considérablement par rapport au nombre de pronoms de la deuxième personne du singulier « tu » (vers 14-33-34). Cette omniprésence du pronom « je » traduit le dynamisme du poète dans l’aventure sensorielle du poème. De plus, l’obsession pour le vin de Baudelaire, évoquée notablement dans

poème de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse, La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse? Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse? Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine, Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel, Quand la Vengeance bat son infernal rappel, Et de nos facultés se fait le capitaine

noir. Commentaire de Spleen Présentation Qui parle ? Le poète. Premier temps avec pronom personnel et adjectif possessif (déterminant possessif) englobant plusieurs personnes « nous », vers 4 et « nos », vers 12. Deuxième temps, adjectif possessif « mon », v. 20. Déictique « Tout à coup », v. 13. Beaucoup d’adjectifs. Dernier poème de la section Spleen et Idéal où il s’agit de confronter le Spleen, l’accablement, à l’idéal du poète. Dernier poème donc dernière tentative d’expliquer. Spleen

fait, et de se demander pourquoi. Deuxième argument principal Le poète exprime l'envie qu'il a de fuir Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif L'allusion à la mouette qui est libre de voler où bon lui semble D'une aile inquiète et folle vole sur la mer (V.3-25) Mouette à l'essor mélancolique (V.7-11) L'oiseau, le symbole de liberté absolue Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif Le poète parle d'un pilote de navire qui l'amènerais loin sur la mer