Poètes Engagés

voit sur la branche est extrait du recueil Les Amours de Marie (1555), écrit par Pierre de Ronsard. Ce poète est connu pour sa poésie amoureuse, mais aussi pour avoir été, avec Joachim Du Bellay, le poète central de la Pléiade un regroupement de sept poètes du XVIe siècle. Il écrit le sonnet Comme on voit sur la branche en l'honneur de Marie de Clèves, morte prématurément, mais également à une Marie qu'il a aimée et qui est, elle aussi, morte. [...][...] Le rapprochement entre Marie et la rose se fait

ddddddddddddddddddddddddddd ddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddllllllllllllll- llllllllllllllllllll llllllllllllllllllllllllllllllllllll Il est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du xxe siècle, auteur de poèmes tels que Zone, La Chanson du mal-aimé, Mai ou encore, ayant fait l'objet de plusieurs adaptations en chanson au cours du siècle, Le Pont Mirabeau. Son œuvre érotique (dont principalement

Sujet: comparez les situations d'énonciation des trois poèmes du corpus: en quoi la mort concerne-t-elle chacun des poètes ? Victor Hugo, Guillaume Apollinaire et Pierre de Ronsard ont choisi la poésie pour évoquer l'angoisse de la perte. Ils se distinguent par leurs choix énonciatifs, qui marquent trois rapport différents a la mort. Tous trois utilisent la 1ere pers du sing. Derrière le "je" de "demain dès l'aube" présent dès le vers 2, on devine que Hugo qui a été confronté à la mort de

jeunesse" → "profitez de votre jeunesse"). [travail inédit ?] Cette injonction à profiter de sa jeunesse est une affirmation épicurienne ( Paul Laumonier : Ronsard, poète lyrique : étude historique et littéraire ). En effet, Ronsard, comme beaucoup de poètes de la Renaissance, s'inspire des auteurs grecs et latins, dont la philosophie se résume parfaitement dans le Carpe Diem d'Horace. D'une manière générale, la plupart des auteurs de la Pléiade s'inspirent des auteurs anciens redécouverts à leur époque

une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l'entoure. Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non compris par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. La dernière strophe débute par le poète qui associé « au prince des nuées » montre une

déchirent!le!poète.! A!son!retour!de!l’île!de!la!Réunion,!il!commence!à!rédiger!ses!poèmes,!empreints!d’une! part!d’un!idéal,!et!d’autre!part!du!«!spleen!»,!sentiment!de!mal!être,!d’ennui!et!de! désespoir.!! Baudelaire!faisait!partie!de!la!génération!des!poètes!maudits,!incompris,!et!à!ce!titre! l’extrait!que!nous!étudions!évoque!cette!idée!;!l’image!du!poète!serait!celle!de!l’oiseau! seul,!isolé!et!dénigré.! En!quoi!ce!poème!constitue!t!il!une!réflexion!sur!la!condition!du!poète!?!! 1. Comment!l’albatros

tout les sens". Cette forme de l'héroïsme proposée par le poète de seize ans était individualiste et naïve. La lettre à Paul Demeny ( 15 mai 1871 ) est un principal manifeste de la poésie du voyant, c’est le document surprenant. Rimbaud accuse les poètes du passé qu'ils choisissaient seulement «les fruits» de la conscience universelle : « Telle allait la marche, l`home ne se travaillant pas, n`étant pas encore dans lq plénitude du grand songe. Des fonctionnaires ; des écrivains : auteur créateur

assidûment les bibliothèques. Je le crois bien volontiers. Mais j'aimerais mieux que M. Apollinaire fût illettré et qu'il écrivît plus souvent selon son coeur. En fait, il n'écrit que selon les livres. En lisant son recueil, on reconnait une foule de poètes, auxquels M. Apollinaire a voué un louable mais excessif amour. C'est Verlaine parfois, c'est Moréas souvent, c'est Rimbaud, dont M. Guillaume Apollinaire ne semble pas devoir oublier jamais la voix profonde et terrible. Qui mieux est, je reconnais

l'époque les gens n'avaient pas accès à tout ça, car cela n'existait pas. L'autre raison du désamour pour la poésie est que les poètes ne sont plus « sous le feu des projecteurs », plus personne ne parle d'eux, que ce soit des nouveaux ou des anciens poètes. Effectivement certains sont très célèbres comme C. Baudelaire, V. Hugo, ou P. Verlaine, mais la majorité des poètes que l'on connaît, nous les connaissons grâce à l'école sinon nous ne les aurions jamais connus. Les connaître ou ne pas les connaître

personnel. Mais on ne peut qu’être en accord ou en désaccord avec Musset. Il est donc assez clair que le plan attendu est de type dialectique (Thèse/antithèse/ et éventuellement synthèse). On peut imaginer un premier axe qui cite des exemples de poètes maudits ou désespérés, de François Villon (« La Ballade des pendus »), à Baudelaire (« Spleen ») en passant par Hugo(« Demain, dès l’aube»), et un second axe qui reprendrait des thèmes plus joyeux : la poésie courtoise et épicurienne de Ronsard, les