Poésie Intime Ou Universelle

et la synthèse, l'Être, objet d'une intuition intellectuelle. "En nous tous est présente une faculté mystérieuse et merveilleuse, celle de nous retirer dans la partie la plus intime de nous-mêmes (...) afin d'intuitionner l'éternel en nous, sous la figure de l'immutabilité. Cette intuition est l'expérience la plus intime, la plus proche, celle dont dépend tout ce que nous savons et croyons quant au monde suprasensible" Pour le dogmatisme, le sujet est absorbé dans un objet absolu : Destin des

Les Fleurs du Mal, C. Baudelaire Objectifs : -Assister à la naissance de la poésie moderne, synthèse et dépassement du Romantisme, du Réalisme et du Parnasse. -Découvrir le mythe du poème maudit. I. Entrée dans l’œuvre : Glorifier le culte des images. RECHERCHE : 1) Qui sont Dante et Virgile ? Conduit par Virgile (symbole de la raison humaine) Dante rencontra dans les Limbes les grands esprits de l’humanité, qui décéderont l’âme pure sans avoir reçu la grâce du

vraie motivation des écrivains. Que cherche-t-on à exprimer en mettant ses opinions par écrit et en les partageant avec d’autres ? Quelle dimension de son humanité l’écrivain met-il en exergue en partageant des sentiments parfois intimes et d’autres plus universelles à la portée de tous ? Est-ce simplement la volonté de réveiller les consciences ou y aurait-il derrière cette pseudo exhibition une réelle sensibilité aux êtres et aux choses et une volonté certaine de dénoncer, de secouer et de

Hegel donnera sa forme la plus systématique, dans la formule : « ce qui est rationnel est effectif, et ce qui est effectif est rationnel » (Préface des Principes de la philosophie du droit). Il en résulte que la raison, contenant des principes universels et des idées a priori exprimant des vérités éternelles, est immuable et identique en chaque homme. C'est en ce sens que Descartes, dans le Discours de la méthode, écrit : « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée », précisant que « la

de Les fleurs du mal, « Spleen et idéal » – « Les bijoux » (1857) tiré de Les fleurs du mal, « Spleen et idéal » - Hugo Victor – Hernani (1830) - Mérimée Prosper – Carmen (1845) - Musset Alfred de – « Tristesse » tiré de Poésies nouvelles - Rimbaud Arthur – « ma bohème » - Stendhal – Le rouge et le noir (1830) - Verlaine Paul – « après trois ans » tiré de poèmes saturniens (1866) – « mon rêve familier » tiré de poèmes saturniens (1866)

Et l’histoire se poursuit du côté des ‘DIEUX’ : ● SHISHI GAMI (Le Dieu-Cerf) : Personnage polymorphe (Didarabocchi), ambigu dans ses actions. Âme de la Forêt/Nature, Dieu de la vie et de la mort ● MORO : Déesse-Louve âgée de 300 ans. Ennemie intime de Dame Eboshi, protectrice du Dieu-Cerf. Elle a élevé San, qu’elle laissera toujours libre : on choisit son destin - plutôt qu’on ne le subit en raison de ses origines ● OKKOTO-NUSHI : Le Dieu des Dieux-sangliers. Géant. Comprend le langage humain

Narration antérieure : Lorsqu’il y a un effet d’annonce. Narration simultanée : La narration a lieu en même temps que les évènements. Narration intercalée : la narration a lieu entre les évènements. (Exemple : Les liaisons dangereuses, journal intime). Niveau diégétique : - Narrateur homodiégétique : le narrateur est un personnage dans l’histoire qu’il raconte. - Narrateur autodiégétique : le narrateur est le héro de l’histoire. - Narrateur hétérodiégétique : le narrateur

révolution de juillet 1830, de l’Ancien Régime. Règne de Louis Philippe qui s’achève sur la révolution de 1848. 1848 – 1851 La IIe République commence par des réformes généreuses (droit au travail, abolition de l’esclavage, rétablissement du suffrage universel pour les hommes, etc.) mais se termine par le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte (neveu de Napoléon Ier). 1852 – 1870 Le second Empire, sous Napoléon III, mène une politique autoritaire qui amène d’abord la prospérité. Grands travaux d’Hausmann

que l’un dit ce qui a eu lieu, l’autre ce à quoi l’on peut s’attendre. Voilà pourquoi la poésie est une chose plus philosophique et plus noble que l’histoire : la poésie dit plutôt le général, l’histoire le particulier.Le général, c’est le type de choses qu’il convient à un certain type d’hommes de dire ou de faire, conformément à la vraisemblance ou à la nécessité : c’est bien le but que poursuit la poésie, même si par la suite elle attribue des noms aux personnages ; le particulier, c’est ce qu’Alcibiade

de vers de M. Guillaume Apollinaire, M. Georges Duhamel a commis une erreur que l'importance de ce poète et l'importance des jugements du Mercure de France rendent particulièrement regrettable. D'après M. Duhamel, Guillaume Apollinaire suivrait en poésie un chemin déjà tracé par moi. M. Guillaume Apollinaire n'a pas cessé de publier des vers depuis 1898 ; en 1905, je n'écrivais encore en vers ni en prose et mon premier recueil date de 1911. Je suis persuadé. Monsieur, que votre courtoisie ne refusera