Poésie Laid

I) Fusion du laid et du beau et l’ironie a) Choc des oppositions Antithèse et rimes anti-sémantiques Oxymore a effet ironique « carcasse superbe » Volonté de montrer le lien indissociable entre laideur et beauté b) Le tableau de l’horreur Lexique de la vermine très développé « mouches, larves …» Gaité ironique associé à la décomposition Réorganisation de la vie à partir de la mort I) Comparaison entre charogne et femme, ironie a) Association de l’érotisme et de la mort Connotations

rapporté La poésie Le roman Le théâtre L'apologue Les registres L'argumentation La narration Introduction : - Tristan Corbière (1845-1875) était particulièrement excentrique, tant dans sa vie que dans ses œuvres. Peu gâté par la nature, rachitique, laid et tuberculeux. - Le titre même de son recueil, Les Amours jaunes, est ironique (le titre faisant référence au "rire jaune", rire grinçant, sinistre, désabusé). Il y pratique l'autodérision, cultivant les images du laid et le

Charles Baudelaire est de choquer. Pour cela, il met en confrontation brutale le lyrisme et la description objective du corps en décomposition. Ainsi, il emploi des termes relativement «crus» et use de lexiques dont l'utilisation est alors tabou en poésie : ceux de la mort et du repoussant.. En effet, Charles Baudelaire fait planer sur son poème une atmosphère morbide, comme nous le confirme des mots tels que «squelette» ou «ossements», et désire ouvertement dégoûter le lecteur. Il l'immerge complètement

l’art. En 1857, il publie le recueil Emaux et Camées duquel est tiré « Carmen ». Il énonce dans la préface de Mademoiselle de Maupin : « [qu’] Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid ». Reprenant un ancien topos de la poésie déjà étudié au fil des siècles par des auteurs différents, il va reprendre pour en faire un blâme élogieux, la beauté de la femme. En effet, c’est ici un poème particulier qui nous est présenté puisque l’auteur a tenu à dépeindre

est laid, affligé d’un énorme nez. Roxane : Belle cousine de Cyrano, elle est aimée de Cyrano, de Christian et du comte de Guiche. Christian de Neuvillette : Christian est un jeune et beau provincial qui s’apprête à rentrer chez les Cadets de Gascogne au début de la pièce. Il ne manque pas de courage. Comte de Guiche : Neveu de Richelieu, il est amoureux de Roxane, et donc rival de Christian, qu’il va faire envoyer à la guerre pour se venger Ragueneau : Pâtissier rôtisseur aimant la poésie, il

soleil » est d’embellir la réalité. Concrètement, le poète ne modifie pas Paris ou le thème qu’il évoque, mais il peut modifier le regard que le lecteur porte sur lui. Il doit rendre beau grâce à ces mots, grâce à sa poésie, il doit ennoblir. Il doit être capable de partir du plus laid pour en faire une œuvre d’art. IV. Activité type Bachibac Question de langue : A la fin de sa chanson, Camille dit « Paris perdu », expliquez ce jeu de mot. Au début de sa chanson, Camille fait le pari qu’elle quittera

Dossier de poésie : Heureux qui,comme Ulysse, a fait un beau voyage : Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des

français. Il vient d’une famille aisée Poésie à ne pas prendre au sérieux Langage proche du langage parlé Variété des rimes dans ses poèmes, il ne respecte pas les règles Ponctuation très présente qui rend le texte plus rapide Le titre même de son recueil, Les Amours jaunes, est ironique (le titre faisant référence au "rire jaune", rire grinçant, sinistre, désabusé). Il y pratique l'autodérision, cultivant les images du laid et le goût du paradoxe. I. Un univers proche

simple à reproduire. 1915--> pelle à neige : le titre « in advance of the broken arm » donne de la poésie à l'objet qui gagne du mystère. 1916--> le peigne cette fois le titre est écrit sur l'oeuvre. 1917--> « fontaine » urinoir (seul travail= date) C'est l'art conceptuel, il y a une démarche psychologique. Il change la position habituelle de l'urinoir. Le spectateur est habitué au beau (ici laid, corps évoqué, lache) il est donc amené à réfléchir. Duchamps choisit l'objet qui a le moins de

apparaître à son tour à la lucarne de la chapelle, ne fût-ce que pour avoir le plaisir de faire la grimace à ce peuple ingrat. — Mais non, cela ne serait pas digne de nous ; pas de vengeance ! luttons jusqu'à la fin, se répétait-il. Le pouvoir de la poésie est grand sur le peuple ; je les ramènerai. Nous verrons qui l'emportera, des grimaces ou des belles-lettres. Hélas ! il était resté le seul spectateur de sa pièce. C'était bien pis que tout à l'heure. Il ne voyait plus que des dos. Je me trompe