Poésie Voyage Temporel

Introduction: L’ incipit«Demain dès l’aube…» traduit la célébrité de ce poème qui se rattache à la fois à l’ histoire personnelle de l’ auteur et à un genre typique de la poésie. Victor Hugo est l’une des grandes figures du romantisme au XIXème siècle. Dans le recueil les Contemplations, la mort de Léopoldine inspire à Hugo des souvenirs heureux et parfois douloureux. Juste avant le quatrième anniversaire de ce terrible accident, Hugo compose ces trois strophes harmonieuses et touchantes. Avec

(insouciante) -Jeu de séduction entre les amants --> la jeune femme joue à résister aux avances du jeune adolescent | -Il parle de ses fugues-De ce qu'il découvrira avec ses sens: odorat, toucher, vue-Idée de bonheur, de liberté, =découverte/ voyage | -Le sujet principal est Louis XVI-Il parle aussi de la prise de la Bastille-Des souffrances du peuple pendant la révolution-Dénonce l'insouciance du clergé qui vit paisiblement, la noblesse qui croule sous l'or et la misère ouvrière | -Regret de

texte en prose peut-il être considéré comme un poème ? Nous parlerons tout d’abord des effets de la poésie dans la prose, puis d’une évocation poétique et enfin de l’univers poétique que possède ce texte. I - Des effets de poésie dans la prose Il s’agit d’un poème en prose qui se compose de paragraphes (7) et ne s’appuie pas sur des vers ou des rimes. Pourtant, on note des effets de poésie. Ainsi, on remarque une boucle entre le début et la fin du poème par la répétition de la structure

Baudelaire : Poésie et liberté : A) La poésie aérienne : 1) Un univers infini : 2) Supériorité du poète : B) L’art poétique : 1) Noblesse et pureté de forme : 2) La noblesse du poète : 3) La liberté poétique de Baudelaire : III) Le spleen de Baudelaire : le poète dans la vie : A) Réalisme et réalité : 1) Une civilisation hostile : 2) Capture et environnement : 3) Mal universel : B) Fatalismes et regrets : 1) Un idéal impossible à atteindre : 2) Un voyage vers

naïveté dont il a fait preuve. Il utilise l'imparfait et le passé simple, verbes au passé pour bien préciser qu'il s'agit d'une expérience révolue, qu'il cherche à oublier, à effacer de ses souvenirs. Les références temporelles sont floues, aucune datation précise, aucun repère temporel, "Depuis longtemps", "ce fut d'abord", autant de termes vagues soulignant l'imprécision de l'écart existant entre le temps de renonciation et celui des faits. Cette impression de détachement est par ailleurs amplifiée

Saint-Pétersbourg où il travaille en tant qu’horloger. Il revient en Suisse en 1907 fait des études et rencontre son épouse avec qui il aura trois enfants. Il séjournera dans des villes partout dans le monde. La vie de Cendrars a été rythmé par les voyages et la découverte du monde moderne et son œuvre est fortement imprégné de toutes ses aventures. Nous allons ici étudier la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France écrit par Cendrars en 1913. Ce poème bien que le titre dise l’inverse

quelque dix ans plus tard, lui fera écho. Et si l'on tente, en dernier recours, de nommer ce qui fait sa qualité profonde, on peut suggérer que c'est l'audace de demander «l'aventure» de la Poésie, de s'y jeter à corps perdu et à visage découvert. Il y avait bien longtemps, quand il fut écrit, que la poésie avait perdu le secret d'orchestrer si prestigieusement un chant aussi direct, de faire résonner le ciel entier et le royaume de la Mémoire d'une voix au timbre fraternel. Avec son lyrisme, le

accepté, mais un créateur actif : celui qui, malgré l’hermétisme relatif apparent de l’œuvre, cherche à la reconstruire pour retrouver « l’unité essentielle » (en suivant le parcours erratique du poète, adepte de voyage de surprises, de découvertes, qui se superposent dans un cadre spatio-temporel ou se juxtaposent passé/présent/futur, mais aussi différent lieux. C’est ce qu’on appelle la vision « simultanéiste » , qui juxtapose de façon très resserrée et sans transition des fragments d’existence normalement

identité. => figure du déraciner. Cadre patio-temporel quasi absent. Incipit déconcertant , inhabituel ou l'auteur laisse dérouler du temps dans la présentation du personnage. => 6 semaines => ellipse narrative => comme c'est toujours la même chose. Il regarde derrière lui et voit le sillage blanc que laisse le bateau => lien avec sont passé, il en éprouve de la nostalgie. Le sillage est de nouveau mentionné à la fin de l'extrait => fin des reproches temporels. Le personnage qui entre dans ce récit est

naïveté dont il a fait preuve. Il utilise l'imparfait et le passé simple, verbes au passé pour bien préciser qu'il s'agit d'une expérience révolue, qu'il cherche à oublier, à effacer de ses souvenirs. Les références temporelles sont floues, aucune datation précise, aucun repère temporel, "Depuis longtemps", "ce fut d'abord", autant de termes vagues soulignant l'imprécision de l'écart existant entre le temps de renonciation et celui des faits. Cette impression de détachement est par ailleurs amplifiée