Poésie évasion

transmettre vient de sa facilité de lecture. « Harry Potter », la saga de J.K Rowling en est bien un parfait exemple, qui, derrière une évasion dans un monde fantastique (toutefois avec des connotations réelles) donne aux jeunes lecteurs un goût de la lecture et une habitude qui lui permettra plus tard de s’attaquer à des genres plus difficiles, comme la poésie, le théâtre ou bien l’essai. De plus le roman travaille proche du réelle. Il permet une analyse de la société et de l’humanité. Ainsi,

humain (ouverture de curiosité, de tolérance d'indépendance ...) ils visent au bien général, ce sont en quelques sorte des philosophes . ( Rabelais, erasme, montaigne ) La pléiade : groupe de sept poètes français qui cherchent à rompre avec la poésie médiévale. ils defendent l'imitation des auteurs greco-latins dans le but de s'en inspirer pour pouvoir les depasser , imposent l'alexandrin et d'autres formes poétiques. la pléiade jouera un grand role dans le developement à la standardisation du

quotidiens. II) Le paysage urbain transfiguré : 1) Mouvement amorcé dans la 1ère strophe, nettement dans la 2ème Idéalisation du paysage a) Tuyaux, clochers assimilés à des "mats" Implicitement, la ville est assimilée à un avenir ( -> évasion, découverte, aventure). b) Les bruits familiers sont évoqués de manière idéalisée : clochers -> cloches ; "L'atelier qui chante" -> les ouvriers qui chantent au travail -> Bruits (qui rythment la journée) valorisés -> sonnerie des cloches distinguées

l’inaccessible la dynamique de l’inspiration poétique anaphores « par delà » = rythment la strophe accélération du rythme ° v1 : 2 hémistiches symétriques ° v2 : 4 clichés : 4/2/4/2 (défilé sous le regard du poète + évasion esprit) ° v3 : découverte cosmique : 6/6 ° v4 : pas de ponctuation + pas de césure = plus d’arrêt sur la Terre + l’esprit rejoint l’immortalité de l’univers 2) un état de plénitude et d’harmonie (2ème strophe). vocabulaire

publication : 1857 -Section : Spleen et idéal (85 poèmes) -Genre: recueil de poèmes -Idée générale : Les Fleurs du mal est un recueil de poésie, écrit par Charles Baudelaire et divisé en sept parties dont le spleen et Idéal. Baudelaire fait partit du mouvement poétique romantique. La poésie lyrique c’est l’expression des sentiments du poète et d’un idéal poétique. Baudelaire invente un lyrisme nouveau, celui de la grande ville distinguée dans sa dimension symbolique

strophes séparées par un refrain, heptasyllabes et pentasyllabes : le poème présente une forte musicalité. - Imaginaire, souhait de voyage   - Le lieu est idéal parce qu'imaginaire.   - Correspondance entre la femme aimée et le paysage qui permet une évasion   - Lointain, chargé d'exotisme   - Parfait : concilie les contraires (calme-voluptés; charme-traitres yeux...)     Pour Baudelaire, imaginer le voyage suffit puisqu'il s'agira d'un voyage idéal. Pour imaginer ce voyage, la présence de la femme

l’aspiration vers Dieu et son attirance vers Satan. Il oppose systématiquement ses aspirations vers l’Idéal (spiritualité) et sa fascination de ses propres rechutes qu’il appellera le Spleen. Dans la première partie, Spleen et Idéal, il cherche dans la Poésie et puis dans l’Amour de vains remèdes contre ce Spleen ou désespoir. Pour vaincre ce désespoir, il se tourne alors vers d’autres moyens d’évasion comme le spectacle de la ville et des hommes, les paradis artificiels (le vin), le vice (les Fleurs du

par cette écriture ironique qui permet de critiquer comme de faire sourire le lecteur. De plus, le choix des mots, le travail sur les images suscite en lui-même le rêve par les évocations qu’il procure. La poésie joue énormément sur les sonorités ou les évocations pour permettre cette évasion. Lorsque l’on lit « Nevermore » de Verlaine, la description automnale de la nature qu’il offre vient bercer le lecteur et le faire voyager : « L’automne faisait voler la grive à travers l’air atone/ et le soleil

barricade chez lui, la nuit, pour échapper à la foule plaire, donné au hasard, sans raison « L’horloge » (16) : dans les yeux de sa maîtresse, il lit l’heure de l’éternité Rêve et réalité « La chambre double » (5) : elle est d’abord le lieu d’une évasion (drogues ?) puis elle redevient marquée par le temps et par la réalité Supériorité et infériorité du poète « Chacun sa chimère » (6) : il voit ce que les autres ne voient pas mais en souffre davantage « Le chien et le flacon » (8) : le public du

l'emprise passionnelle. Il s'agit alors de voir comment le poème, sous couvert d'un propos hostile, est en réalité un témoignage amoureux et comment le poète transforme une plainte en un récit dont l'atmosphère est « infernale ».  Je pense que cette poésie de Baudelaire est très belle parce qu'elle touche à un thème très intéresant: le rapport entre un "homme" et un “vampire”, qu'est toujour pensé comme "l'autre", "celui qui est différent" ,et à cause de cela il/elle est quelcu’un qui doit vivre seul