Prairial

à la DDHC. Ceux qui ne peuvent pas justifier de leurs moyens d’exister => tous les nobles à qui ont a brûlé les papiers Certificat de civisme = donné par le maire => prouve que l’on pense « correctement », que l’on n’est pas ennemi Loi de Prairial : comparaison avec l’Habeas Corpus Délation, dénonciation, présomption d’innocence disparue, droit à une défense disparu Ces deux lois portent atteintes à la DDHC -Une tentative de démocratie sociale : Lois de ventôse (février 1794) Les Montagnards

sont nb: • paysans (prix des denrés bloqués) • SC (prix des salaires bloqués) • Bourgeois Le 8 Juin 1794, Robespierre organise à Paris, la fête de L'être Suprême > Mécontentements des catho et athés. Le 10 Juin, La Convention vote la loi de Prairial II (loi qui invite le tribunal révo a juger sans temoin ni avocat). Victoire de Fleurus ==> La patrie n'est plus menacée donc la Terreur + Justifiée. Les conventionels qui ont peur d'être arreter se cohalise contre Robespierre qui ait arreter le

s'en suit une libéralisation des prix et des salaires qui va conduire le peuple à la famine. Durant l'hiver de 1794 à 1795, le peuple de paris souhaite retourner sa colère contre la convention, ainsi, il organise les journées de germinal et de prairial afin de faire pression sur la convention. Cependant, les conventionnels thermidoriens, étaient beaucoup plus décidé à mettre fin aux exaction populaires que les précédents. Ainsi, la convention fait une nouvelle fois appel, à l'armée pour réprimer

contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». Il prend la Convention à témoin de ces dissensions le 8 thermidor an II, mais ne parvient pas à imposer ses vues. Le lendemain, empêché de parler par ses ennemis, alliés pour la circonstance aux modérés de la Plaine

Gérante bénévoles | Environ 3 heures /jour | Peu importante | bonne | Tâches administratives | Gérante et conjoint collaborateur | Environ 2 heures / semaines | Peu importante | bonne | Entretien des surfaces prairiales | Prestataires de services (agriculteurs) | occasionnel | Peu importante | Assez bonne | Organisation des cours d'équitation | Gérante | 6 heures / semaine | Peu importante | bonne | *Entretien de la

guillotiner les deux camps sous prétexte que les deux camps participent « au complot de l’étranger ». Robespierre, à partir de mars 1794, est le véritable maître de la France. En juin 1794, Robespierre renforce la loi des suspects par la loi dite de prairial. Il n’y a même plus de jugement et le « suspect » est immédiatement exécuté. On estime à 35 exécutions par jour le nombre de guillotinés entre juin et juillet 1794. L’opposition à Robespierre et au Comité de Salut Public se développe dans la Convention

des royalistes et l’on revient pour un temps à des pratiques terroristes et antireligieuses Deuxième coup d’Etat le 22 floréal an VI (11 mai 1798) en sens inverse : on annule l’élection des députés néo-jacobins Troisième coup d’Etat les 29 et 30 prairial an VII (17-18 juin 1799) : les Conseils prennent leur revanche sur le Directoire. Les clubs renaissent, ainsi que les journaux jacobins. On vote un nouvel emprunt forcé sur les riches et une « loi des otages » qui permet de déporter quatre parents

nouveau. Il veut supprimer la religion . Il vas crée le calendrier républicain. L’an 1 débutera le 22 septembre 1792 : - Il vas supprimer la semaine à la place il y aura des décades de 10 jours. - Les noms des mois vont être remplacés, exemple : Prairial (Mars), Thermidor (juillet), Brumaire (Novembre), - Les noms de villes vont changés ; Château – Thierry devient Egalité sur Marne Grenoble devient Grelibre Saint – Etienne devient Armes. On ne peut plus donner de noms chrétiens aux nouveaux

qui le charge de préparer toutes les grandes fêtes de 1793 à 1794. Chargé de l’organisation de la fête de l’Être suprême, voulue par Robespierre, le rapport de David relate ici le futur déroulement de l’événement, prévu pour le lendemain, le 20 prairial an II soit le 8 juin 1794. Remis officiellement à la Convention, plusieurs copies en seront faites pour renseigner le peuple parisien. Les deux textes proposés peuvent ainsi être posés comme deux bornes chronologiques à ce que Vovelle qualifie « aventures

pétitions réclamant l’arrestation des chefs girondins avant l’insurrection du 31 mai au 2 juin. L’insurrection, la « journée », était le second moyen d’action. La violence armée fut un recours fréquent du 10 août 1792 aux vaines émeutes de germinal et prairial an III. Les émeutiers, appuyés par les canons de la garde nationale à laquelle ils appartenaient, venaient montrer leur force menaçante pour obtenir gain de cause. De leur détermination et de la capacité de résistance du pouvoir politique dépendait