Précarité

PRIME DE FIN DE MISSION En fin de contrat, l’intérimaire perçoit : • une indemnité de précarité, • une indemnité de congés payés. Précarité : La prime de précarité est une mesure inscrite dans le code du travail français. Cette prime est versée au salarié en fin de contrat à durée déterminée (CDD) par son employeur. Le montant de la prime de précarité équivaut au minimum à 10 % de la rémunération totale brute due. Elle n'est pas versée en cas de rupture anticipée du contrat par le

Thèmes : La mûre (fruit), l’écriture (poème), la maturité (fruit et poème) Enjeu : Comment Ponge met en relation l’ambiguïté d’un fruit avec celle de l’écriture poétique ? Parties : (Découpage suivant les paragraphes) 1# Origines 2# La précarité de la mûre 3# Maturation Axes de lecture : 1. Description de la mûre 2. Métaphore filée de l’écriture/du poème Synthèse : Crescendo : on part de l’origine de l’écriture, puis la recherche d’idées et sa réflexion, jusqu’à la maturation

distingue une segmentation du marché du travail : - Marché primaire : emploi stable, CDI, haute rémunération et qualifications, ici la flexibilité est plutôt interne. - Marché secondaire : emploi peu qualifié, CDD et intérims...flexibilité rime avec précarité. En développant le marché secondaire, la flexibilité crée un espace charnière entre l'emploi traditionnel stable et le chômage. Elle contribue à l'augmentation du sous emploi. • Inconvénients du temps partiel subi Le travail à temps partiel subi

Document n°1 – François Dubet, "Inclus/exclus : une opposition pertinente ?" (extrait) ------------------------------------------------- La progression du chômage cumulée à celle de la précarité fragilise le travail comme instance d’intégration. Souvent, ces deux éléments représentent la première phase du processus de l’exclusion sociale. De même, l’exclusion apparait comme un processus cumulatif de handicaps sociaux ; on assisterait à une fracture sociétale, à la naissance du dualisme : les uns

forte augmentation des emplois précaires (CDD, Intérim, Stagiaires), même s'il faut rester nuancé sur leur part, plutôt marginale, dans l'emploi total. Par contre, certaines catégories d'actifs (jeunes, peu qualifiés, femmes) sont très exposées à la précarité de l'emploi. Si la flexibilité permet une baisse du chômage, elle n'élimine cependant pas les inégalités. De nos jours, on peut être pauvre et avoir un emploi, (530 000 ménages de travailleurs pauvres en France, dont 319 000 de salariés précaires)

Jeunes à perpète[1], A. Rea et C. Nagels retracent et analysent l’évolution de la jeunesse et la vision que la société et ses institutions portent sur elle au cours de ces dernières décennies. Une des thématiques abordée est celle du chômage et de la précarité. En effet, en Belgique, de nouvelles politiques sociales, inscrites dans le cadre des stratégies européennes, ont été mises en place à la fin des années 90 afin de contrecarrer le chômage chez les jeunes et de leur permettre de trouver un emploi

en direction du secteur informel ; L’aide aux personnes en grande vulnérabilité ou à besoins spécifiques. Ainsi, l’INDH conçue pour renforcer l’action de l’Etat et des collectivités locales ambitionne de réduire la pauvreté, la vulnérabilité, la précarité et l’exclusion sociale en offrant des moyens de financement supplémentaires pour soutenir les actions de développement humain suivantes : Les activités génératrices de revenus ; Le soutien à l’accès aux équipements et services sociaux de base ; Le

bonne gestion de tous les produits qui entrent et qui sortent, en particulier concernant la traçabilité et la sécurité alimentaire. Cuisine : Pour qui ? Les ateliers cuisine sont destinés à accueillir des personnes en situation de précarité (bénéficiaires d'une aide alimentaire auprès d'une association partenaire de la Banque Alimentaire). • Pourquoi ? Le but poursuivi est double: Prévenir des déficiences nutritionnelles, en apprenant à cuisiner des produits frais (fruits

tous en situation de précarité, les étudiants, les salariés, les cadres et les entrepreneurs passent inaperçus dans la société. Pour beaucoup de personnes précaires, leur seul moyen de gagner de l’argent est les activités de rue. C’est pour cela qu’ils apparaissent comme des parasites aux yeux de la société. La revente d’objets et le travail au noir sont les principales sources de revenus. Parmi les revenus, très peu sont gagnés légalement. Du fait de leur grande précarité et de l’exclusion dont

contractuels ou des emplois aidés. Cette surreprésentation des jeunes dans la sphère de la précarité explique leur hypersensibilité à la conjoncture: dès que l'activité se dégrade, l'ajustement de l'emploi porte en premier lieu sur les contrats temporaires, comme en témoigne la chute vertigineuse de l'intérim au début de la crise (140.000 postes en moins entre fin 2007 et fin 2008). Pourquoi une telle précarité? Toute la question est d’identifier la place qu’occupent ces emplois précaires dans la