Precipitation Bacl2

propriétés hygroscopiques 2.2. Les aérosols présents en Afrique de l’ouest 2.2.1 Les aérosols désertiques 2.2.2 Les aérosols de feux de biomasse 2.2.3 Les aérosols marins 2.3. Interactions aérosols et précipitations 2.3.1 L’impact des aérosols sur les précipitations 2.3.2 Lessivage des aérosols par les précipitations ii Table des matières 2.4. Conclusion 48 51 52 52 53 60 69 69 71 73 78 82 83 84 84 88 91 104 108 110 110 112 113 115 134 136 139 140 140 141 144 154 165 167 167 168 CHAPITRE 3

parallèlement sur le globe : - La zone polaire (le cercle polaire). - La zone tempérée (des tropiques au cercle polaire). - La zone intertropicale (entre les deux tropiques en passant pas l’équateur). ← Les précipitations sont inégalement réparties à la surface de la terre, il en est de même pour les températures. VI. Quelles sont les causes naturelles de la répartition du climat à la surface de la terre ? a) L’inclinaison de la terre : (saison et durée

c'est le cas de l'Europe du Nord (île-de-France, Belgique, Luxembourg, l'Allemagne, Londres) de l'Espagne. Les causes: faiblesse des précipitations, et souvent de fortes densités détruisant l'équilibre face au ressources. 2. Une ressource inégalitaire dans le temps selon les climats Les ressources en eau dépendent de la répartition saisonnière des précipitations, ainsi le Sahara et l'Arabie ont un climat aride et chaud toute l'année. Le climat méditerranéen subit la sécheresse l'été, les régions

transferts d'eau peuvent être schématiquement décrits comme une sorte d'« aller retour » entre océans et continents. L'évaporation des eaux océaniques est la source d'eau douce principale. Cette eau, transportée par les vents, se condense et retombe en précipitations sur l'océan lui-même et sur les continents. L'eau précipitée sur les continents est pour une part importante rapidement réintroduite dans l'atmosphère (évapotranspiration) et pour le reste s'écoule plus ou moins directement en direction de la

convectifs. Une ligne de grains est auto-entretenue par la propagation de son courant de densité et par les instabilités conjuguées de ses courants ascendants et descendants respectivement alimentés par la mousson humide (fortes θe) et le poids des précipitations (faibles θe). L’impact de la convection sur l’environnement est de réduire ou de supprimer le gradient vertical de la température potentielle équivalente prévalant dans la troposphère inférieure, conduisant aussi à une suppression partielle

nettement moins étendue. Les vents du super-typhon Tip dépassaient 60 km/h (grand frais ) sur un diamètre de {text:soft-page-break} 2 200 km. Les vents verticaux sont également exceptionnels : on a mesuré 90 à 125 km/h dans le cyclone Hilda. Les précipitations : Elles sont diluviennes, souvent 300 à 500 mm en 24heures. Les records de plus sont détenus par l'île montagneuse de la Réunion : il y est tombé 1 825 mm en 24 heures ( cyclone Denise , le 7 janvier 1966 ) ; 3854 mm en 5 jours (mars 1952)

former des nuages qui vont retomber en pluie sur les continents et les océans. Le cycle de l'eau dans l'atmosphère sous forme de vapeur est assez court mais cependant vital car c'est la vapeur d'eau qui est à l'origine des 520 000 Km³ annuels de précipitations qui alimentent les réserves d'eau douce, que ce soit sous la forme de pluie, de neige ou de grêle, Par rapport à la masse totale de l'hydrosphère, la vapeur d'eau ne représente à la surface du globe qu'une toute petite quantité puisqu'elle est

Le cycle d'eau L'eau de la Terre s'évapore pour former les nuages qui, au contact des couches froides de l'atmosphère, se condensent pour se transformer en pluie ou en neige. Ces précipitations retombent sur Terre et le cycle continue. Ce cycle se divise en deux parties: - une partie atmosphérique qui concerne la circulation de l’eau dans l’atmosphère, sous forme de vapeur d’eau essentiellement, - une partie terrestre qui concerne l’écoulement de l’eau sur les continents, qu’il soit superficiel

rapport au nombre de plantes et alors elle s’écoule dans les nappes phréatiques en attendant d’être puisé par l’homme pour ses divers besoins. Sa troisième forme la forme de la glace, l’eau est solide on en trouve très peu environ 3% après des précipitations en Antarctique ou au Groenland la glace se fige dans un bloc de glace c’est de l’eau douce. L’eau sur Terre forme donc un cycle continu qui ne s’épuise pas. Les ressources d’eau potable L’eau potable est l’eau douce que nous pouvons utiliser

Horizon : couche présentant, à l’intérieur d’un sol, des caractéristiques homogènes : couleur, teneur en sables, argiles, matières organiques… Fertilité : capacité d’un sol à favoriser le bon développement des cultures. Pluviométrie : mesure des précipitations (pluie, neige,…) au cours du temps, dans un lieu donné. I- La formation d’un sol, une longue histoire. A- Les étapes de la formation d’un sol. L’agriculture a besoin de sols cultivables. Ceux-ci représentent cependant moins du