Precipitation Bacl2

PLUIE ACIDE Précipitation devenue acide au contact du dioxyde de soufre et de l'oxyde d'azote contenus dans l'atmosphère et émis principalement par les activités humaines. Les pluies acides sont des précipitations (pluie, neige, brouillard…) qui se sont acidifiées au contact du dioxyde de soufre et de l'oxyde d’azote contenus dans l' atmosphère et émis surtout par les usines et les voitures. Elles peuvent tomber à des centaines de kilomètres du lieu d’émission des polluants. Elles affectent

altitude, condense cette vapeur d'eau en gouttelettes Les gouttelettes se rassemblent pour former des nuages, du brouillard.. Elles s'unissent avec d'autres gouttes et, alourdies, finissent par tomber en pluie ou en neige. Les deux tiers de cette précipitation arrosera les océans. L'autre tiers tombe sur les continents. Plus de la moitié de cette quantité s'évapore. Le reste ruisselle jusqu'aux cours d'eau ou s'infiltre dans le sol pour alimenter les nappes phréatiques. L'essentiel de l'eau absorbée

d’augmenter la condensation. L’ensemencement des nuages peut être utilisé pour disperser le brouillard, diminuer la grosseur des grêlons ou augmenter la quantité de précipitations. Il est utilisé dans différents domaines dont l'agriculture, la lutte à la désertification, et même dans le domaine militaire. Avant d’une précipitation, les gouttelettes présentes dans le nuage grossissent en absorbant d’autres gouttelettes et il faut un temps (+ ou – 10 heures) pour que un nuage complètement formé

saturation Humidité relative 2.3.2- Les causes de condensation (gradient thermique vertical) Foehn et effet de foehn < + 1°/100 m -0,6°/100 m 23août 2008 2.3.3-Les mécanismes des précipitations 23août 2008 CHAPITRE 3 : LA GÉOGRAPHIE DE LA TEMPÉRATURE ET DES PRÉCIPITATIONS intro : pb d'échelle 3.1- Le bilan radiatif Beltrando et Chemery, 1995 La notion d’albedo 3.2- La température : 3.2.1- Moyennes et extrêmes : quelques ordres de grandeurs *L'endroit le plus

au transfert quantitatif entre les différents réservoirs. C. La répartition de l'eau douce utilisable par l'homme. 1) L'eau de surface. La quantité d'eau accéssible dans une région donné dépend de la différence entre les apports (précipitations) et les pertes (évaporation, utilisation d'eau ..). Ceci constitu le bilan hydrique. Ce bilan hydrique peut être négatif si les apports sont inférieurs aux pertes et positif si les apports sont supérieurs aux pertes. On peut donc dire que l'eau

chaud ?………………………….. le plus froid ?……………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 2- Les précipitations Quel est le total des précipitations pour chaque mois ? Janvier : ……………….. Février :……………… mars : ………………… avril : ………………….. Mai : ……………… juin : …………………….. juillet : ………………………. Août : …………………. Septembre : ……………… octobre : …………………. Novembre : …………….. décembre :

politique et des politiques économiques inadaptées. Tout d'abord, on étudie la famine d'aujourd'hui au niveau des conditions climatiques. On remarque que cela fait maintenant plusieurs années que certaines régions d'Afrique ne bénéficient pas de précipitations importantes. La sécheresse se perpétue d'elle-même, créant un cycle apparemment sans fin. À mesure que le sol s'échauffe davantage, il se dessèche et se transforme en poussière. L'humidité relative diminue encore, ce qui empêche la formation de

ciel ouvert ou sur la mise en place de canalisations souterraines. Cycle de l'eau : une partie de l'eau, évaporée à partir de la surface des océans, retombe sous forme de précipitations sur les océans; une autre partie, poussée par de grands courants aériens, tombe sur les continents, également sous forme de précipitations (pluie, neige, rosée, grêle), lesquelles reviennent ensuite vers les océans grâce à l'écoulement fluvial.

d’eau ou de cristaux de glace forment alors les nuages.  Les précipitations Transportés pas les courants d’air atmosphérique, les nuages se déplacent. Mais lorsque les conditions de température et de pression changent et sous l’effet de la gravité, les nuages subissent une transformation et l’eau qui les forme regagne alors la surface de la Terre sous forme de précipitations. Selon la température, l’eau tombe en précipitations de pluie, brouillard, neige ou grêle. 2. Sur terre L’eau

de l'océan actuel et constitue le δ18O de la glace. C'est un véritable thermomètre isotopique : plus il fait froid au moment des précipitations, plus le δ18O de la glace est bas. • L'étude de la composition des bulles de gaz emprisonnées dans la glace permet de retrouver les variations de concentration en gaz à effet de serre dans l'atmosphère au moment des précipitations et de les relier aux variations de température. • Les sédiments océaniques contiennent des coquilles calcaires de Foraminifères