Prédelle

particulièrement dans ce tableau, un cercle vicieux, ou infernale. Sur la partie gauche du tableau, on voit des soldats partir au front, au milieu, la guerre fait rage, ils subissent l'horreur à l'état pure. A droite, les personnages sont blessés, et le prédelle (panneau qui est tout en bas) peut représenter la mort. On ne peut voir que deux personnes sur ce tableau, une représentée comme un sauveur, et l'autre qui est en train de "se faire sauver", et en dessous de ces personnages ont peu voir un tas de

secondo piano suggerisce che i protagonisti della tavoletta siano i due uomini e il giovinetto che è fra loro e che proprio essa sia l'argomento di cui le tre persone stanno parlando. Polittico di Sant'Antonio (pag. 677), 1468. Si compone di due predelle, di una porzione mediana di stile gotico e di una cimasa a forma spezzata. Nella parte mediana l'artista ha raffigurato la Vergine con il Bambino seduta su un trono che, a propria volta, poggia su un ripiano rosso fuoco. La circondano quattro santi

arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim   II Les éléments plastiques (les moyens utilisés pour réaliser une œuvre)   La Guerre est une peinture

Dix : La Guerre A. Les maîtres anciens http://arts-plastiques.ac-rouen.fr/lycee/polyptyque/Polyptyques.pdf 10) Qu'est-ce qu'un rétable ? Ou le trouve-t-on ? A quoi sert-il ? 11)) Qu'est-ce qu'un polyptique ? Un diptyque ? Un triptyque ? Une prédelle ? 12) Parmi les diptyques proposés dans la page, quel est celui qui vous paraît le plus intéressant ? Pourquoi ? 13) Même question pour les triptyques. B. Le rétable d'Issenheim de Matthias Grünewald 14) Rendez vous à l'adresse suivante :

bol rouge. Fond d’or et auréoles poinçonnées.  124,5 x 182 cm La Vierge est entourée de saint Pierre et saint Jacques le Majeur à gauche, et de saint Paul et d’un saint, peut-être saint Grégoire le Grand à droite. Au registre inférieur, sur la prédelle : saint André, Saint Jacques le Majeur, saint Jean l’Evangéliste, saint Pierre, le Christ, saint Paul, saint Barthélemy, saint Grégoire le Grand et un diacre. L’intensité des tons, le soin apporté aux boucles de cheveux et aux arabesques des vêtements

l'académisme et à la société -états d’âme de l'artiste, subjectivité -recherche un sens symbolique -continuité du fauvisme, couleurs vives -reflètent le contexte historique de la guerre. Otto Dix, la guerre : (image 2. Otto dix, Tryptique avec prédelle : La guerre 1928-1931 ) Otto Dix né le 2 décembre 1891 à Untermhaus et mort le 25 juillet 1969, est associé aux mouvements de l'expressionnisme allemand. Il prend des cours de peinture et entre à l'école des arts appliqués de Dresde, de 1909 à

Jean-Baptiste et Zénobe (Sacra Conversazione) (1445), initialement sur l'autel de l'église Santa Lucia dei Magnoli à Florence, conservée à la Galerie des Offices. Huile sur bois, 209 x 216 cm. Panneau central d'un retable dont les cinq petits panneaux du prédelle sont aujourd'hui dispersés dans différentes collections. Il reçoit d'Antonello de Messine le secret de la peinture à l'huile et le communique à Andrea del Castagno, qui, poussé par une horrible jalousie (selon une allégation de Giorgio Vasari dans Le

particulièrement des pestiférés. Le retable comporte de chaque côté deux panneaux mobiles superposés qui se referment sur un reliquaire de bois sculpté. À l'origine, il était surmonté de sculptures. Les quatre volets sont peints sur les deux faces. Sur la prédelle, on voit La Lamentation, et sur les panneaux fermés, La Crucifixion et saint Antoine et saint Sébastien, les saints patrons du couvent dont ils soutiennent la lourde tâche : soigner et guérir les pestiférés. La Lamentation représente les fidèles

avec un couronnement en lunette. – En bas, un tableau d’autel comporte souvent une «prédelle», compartimentée ou unitaire, qui a toujours un format rectangulaire très étiré en largeur. La prédelle contient le plus souvent des scènes narratives qui se rattachent iconographiquement à la scène ou aux personnages occupant le registre principal. On reconnaît à son très fort étirement en largeur un panneau de prédelle provenant d’un tableau d’autel perdu ou dispersé. – En haut, un tableau d’autel comporte

peinte, est le retable du maître-autel de la collégiale de Vieux-Brisach : la Vierge couronnée par Dieu le Père et par le Fils, sous le vol de la colombe du Saint-Esprit, entre les volets portant les saints Étienne et Laurent, Protais et Gervais. En prédelle, les quatre Évangélistes, interprétés aussi comme les quatre âges de la vie. Le baldaquin ajouré abrite le groupe de sainte Anne, la Vierge et l'Enfant Jésus placé entre sainte Valérie et saint Vital ; au sommet, le Christ montrant ses plaies. Une