Prédelle

– qui inverse le rapport habituel du saint à la Croix -aura une postérité notable au Cinquecento. Déposition de Croix, détail, 1521, Rosso Fiorentino, (Volterra, Museo Civico) D’après les sources, en 1512, le Rosso réalisa avec le Pontormo la prédelle (perdue) de l’”Annonciation” peinte par Andrea del Sarto pour l’église San Gallo (actuellement Florence, Galerie palatine). Toujours dans la lignée d’Andrea, avec le Pontormo et Franciabigio, le Rosso travailla ensuite pour les servites de Santissima

tour à tour la montée au front, le champ de bataille (et la mort), le retour du front. L’œuvre, entièrement figurative, est imposante : 204 cm x 204 cm pour le panneau central, 204 cm x 102 cm pour les panneaux latéraux et 69 cm x 204 cm pour la prédelle. La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch dans le « Jugement Dernier ». Otto Dix détourne la fonction initiale du triptyque. Malgré les techniques utilisées (tempera sur

avait réalisé la grande guerre, il répondit : « Je voulais me débarrasser de tout ça ! ». L’œuvre, entièrement figurative, est imposante : 204cm x 204cm pour le panneau central, 204 cm x 102 cm pour les panneaux latéraux et 69 cm x 204 cm pour la prédelle, le spectateur s’y sent ainsi davantage intégré. Elle est exécutée avec un grand réalisme. Cette peinture d’Otto Dix a pour titre « La Guerre », et pourtant, elle ne la montre pas. Ce qui est visible, ce sont tous les moments qui précèdent ou suivent

Offices, Florence, en Italie Particularité : Le Louvre possède une variante de l’Annonciation de la Galerie des Offices. Il s'agit d'une peinture, de 16 x 60 cm, à la détrempe sur bois de peuplier. Elle constituait, avec deux autres panneaux, la prédelle (partie inférieure) d’un retable commandé à Andréa Verrocchio, le maître de Léonard, à la mort de l’évêque de Pistoia, Donato de Medicis ; ce qui explique sa petite taille. Cette peinture date de la fin des années 1470. Le premier catalogue du Louvre

cohérent de façon à être tous visibles. On peut remarquer que les visages bougent: effet de travaille sur l’homme. C’est le démarrage de l’humanisme: homme au cœur de la vie. De plus les habits sont en mouvements. En dessus nous pouvons voir une Prédelle: petite scène qu’on rajoute en dessus. Ici la vie de saint Dominique et est représenté. C’est une trésis: représentation de l’image naturel et non plus celle des dieux. Image caractérisant le miracle de saint Dominique, puis la résurrection du Christ

coquillage et les anges (à droite du tableau) se sont formés à partir des os de seiche qui sont de l’autre côté de la figure centrale. On trouve également le geste de la sainte Vierge, les colonnes et la coquille renversée. Les éléments contenus dans la prédelle sont un mélange analogue de symboles paranoïaques et chrétiens. Cette représentation paraît presque folle pour son sujet. Le style surprenant de Dali nous montre une vision de la Vierge que notre imaginaire le plus lointain n’aurait pas pu envisager

| |X | | |X | |Les joueurs de Skat, peinture d'Otto Dix (1920), |X |X |X |X |X | |La guerre, triptyque avec prédelle d’Otto Dix (1932) |X |X | | |X | |Le voyageur sans bagage, pièce de Jean Anouilh (1937) |X |

Otto Dix se représente en sauveur, il transportant dans ces bras un soldat blessé. Ce personnage est le seul qui fait face au spectateur, le seul qui à la capacité de voir et il est le seul a ne pas porté l’uniforme complet du soldat. -Sur la prédelle (panneau inférieur), il est rectangle et allongé. On peut voir des hommes allongés, on ne sait pas si ils dorment ou si se sont des cadavres. Ils sont recouverts d’une toile de tente ou un linceul et ils sont entourés par des rats. Otto Dix peint

l'instant, se met en quête d'un passé perdu et, par la même opération, élabore l'œuvre à venir: « Des liens se nouent. Les instants, sans jamais se confondre, sans jamais se prolonger l'un dans l'autre, se disposent les uns à côté des autres, comme les prédelles' d'une châsse ou d'un retable, établissent entre eux des relations qui ne sont plus de continuité mais de juxtaposition harmonieuse. De plus et surtout, en se présentant ainsi dans un ordre qui n'est plus l'ordre temporel, ils révèlent des similitudes

Dix, lui, utilise un polyptyque pour faire passé le spectateur par toute les étapes de la guerre: le départ au front (panneau de gauche), la bataille et la souffrance (panneau centrale) le retour des rescapé(panneau de droite) et le repos, la mort (prédelle). A leur manière, ces deux auteurs font leur deuil de la grande guerre tout en transmettant le souvenir. Liberté Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur