Premier livre des Rois

LES TRAGIQUES Livre Premier Misères AGRIPPA D’AUBIGNÉ v. 1271-1300 Théodore Agrippa d’Aubigné est né en 8 février 1552, près de Pons en Saintonge. Sa mère meurt en lui donnant le jour. À l’âge de sept ans et demi, Agrippa avait traduit le Criton de Platon. En 1560, à huit ans, Agrippa voyait une scène terrible à Amboise sur le chemin de Paris : les têtes des Protestants qui étaient suppliciés après l’échec de la Conjuration, sur les pieux. Son père, Jean d’Aubigné lui faisait prêter

tournantes. Cette pratique issue du spiritualisme anglo-saxon, vise à tenter d'entrer en communication avec les morts. Hugo, pour qui les poètes sont également des voyants, est ouvert à ce genre de phénomènes. Ses expériences sont consignées dans Le Livre des tables. Durant deux ans, il interroge les tables, rencontre l'esprit de Léopoldine, mais aussi les esprits de Jésus, Caïn, Dante, Shakespeare ainsi que des entités telles la Mort, la Bouche d'Ombre, Le Drame ou la Critique. Il se forge ainsi une

Shéhérazade, et l’intitula Les sept nuits. -Les jours et les nuits arabes de Najib Mahfouz : Shéhérazade reste le sujet de ce livre écrit par l’auteur en 1982. Les événements des sept premières nuits du monarque y sont relatés. Les personnages dont il est question dans le récit de Mahfouz habitent tous une seule et même ville. Il s’agit d’hommes du Moyen Age, pour certains des rois, tous cruels et sanguinaires, que l’écrivain se plaît à comparer avec ses contemporains. -Les cauchemars arabes de Robert

des versions contradictoires d’un même événement, les historiens devaient ajuster les textes et se mettre d’accord dans le but de créer une version cohérente des faits passés. Pour l’Histoire d’Espagne, les compilateurs procédaient ainsi : En premier lieu, considérer que toutes les sources conservaient une partie de la vérité historique, ce qui empêchait la suppression d’une en faveur d’une autre. Deuxièmement, décider quel ordre de préférence ils leurs attribueraient, ensuite, exposer la version

philosophiques, plus longues que celles du premier. Les fables sont liées les unes aux autres de façon fantaisiste:      livre 7 => politique      livre 8 => philosophiqueLa Fontaine est quelqu'un de poétique qui aime beaucoup la solitude; il n'invente pas le sujet de ses fables (sauf pour une vingtaine), il les adapte. Lecture méthodique linéaire Les axes étudiés ici sont la satire et l'art du fabuliste Ici la fable est divisée en 5 parties: vers 1 à 16 : premier acte de la comédievers 17 à 23

Introduction : Le poème L'Albatros est extrait de "Spleen et idéal", du livre Les Fleurs du mal écrit par Charles Baudelaire. Ce poème narre une scène de vie en mer dans laquelle des hommes tournent en dérision des albatros, 1ere Partie : Dans l´albatros, Baudelaire cherche à représenter une scène de vie dans la mer. On peut observer rapidement la présence du champ lexical de la mer : « hommes d’équipage » (v.1), « albatros » (v.2), « oiseaux des mers » (v.22), « le

; un berger le trouva dans les buissons et le porta à | |Léda. Léda le conserva dans un coffre ; à terme, Hélène naquit et Léda l'éleva comme sa propre enfant. | |Apollodore, Bibliothèque Livre III, 10,7Traduction Ugo Bratelli | Pour voir Léda et le cygne : http://www.insecula.com/oeuvre/photo_ME0000034337.html 1.Qui est censé

pourquoi parler de rois étrangers, quand Charles 5 et son fils Louis manifestèrent tant de piété et de prudence pour le bon gouvernement de l’État et l’utilité des églises ? L’un et l’autre, assurément, savaient épargner leurs sujets et dompter les superbes, selon les circonstances et conformément à la raison. Pour preuve, cepassage tiré des œuvres où ils ont fait consigner les résultats des conciles tenus à leur époque, souscrits par les évêques, facile à retrouver au chapitre Ier du livre XI du sixième

loi mais n'en est pas une. = - Les privilèges dans l'ancien régime : mesures prises dans l'intérêt de particuliers ou de groupes dans l'ancien régime. - Monopoles commerciaux ; avec la compagnie des Indes . - Privilèges d'édition : pour publier un livre il fallait avoir un privilège, qui autorise l'impression et le nombre d'exemplaires. C'est une dérogation à l'aspect de la loi générale. – ils n'existent plus, normalement, mais on en trouve pourtant. La loi est permanente : elle ne tombe pas en

Histoire des institutions publiques 1 (A-E) Cours de Madame le professeur Christiane Plessix-Buisset 2007/2008 Programme des travaux dirigés du premier semestre TD 1 : Présentation ........................................................................................................................................2 TD 2 : Les lois fondamentales .......................................................................................................................2 TD 3 : Les fondements théoriques