Premier ministre

que « symbole », il a de vrais pouvoirs politiques, c’est la clef de voûte du système. Mains libres en ce qui concerne la politique étrangère, internationale. Le premier ministre lui a les mains libres pour la gestion intérieure. De ce fait -> rôle amoindri du Parlement qui laisse malgré tout faire le président et son premier ministre du fait de la guerre d’Algérie qui doit être traitée. Une fois cette guerre traitée au printemps / été 62, la classe politique, le parlement va essayer de reprendre

la séparation des pouvoirs, il parle bien évidemment de deux pouvoirs(législatif et l'éxécutif). Montesquieu dit que le juge est la bouche de la loi.On pourra procéder au découpage suivant: Le pouvoir exécutif: Roi,Reine;Conseil des ministres;Le premier ministre; Le pouvoir législatif:Deux cahmbres(le peuple: chambre des communes;autre qui représente l'aristocratie:chambre des lords), à cette époque il y avait la concentration des pouvoirs,le Roi qui fait tout, pour lui cette séparation est une

ensuite au Premier Ministre (il est à noter que le peuple sous la Vème République est considéré comme souverain et intervient par le biais des médias mais que ces derniers ne sont pas institutionnalisés et que par conséquent, leur étude relève plus d'une analyse politique). Ce dernier doit après consulter obligatoirement le Conseil d'État qui rend un avis sur la forme et non sur le fond du texte. Ce faisant, l'avant projet de loi devient un projet de loi, et est transmis au Conseil des Ministres. C'est

tutelle du ministre de l’agriculture et de la pêche maritime. Cet office a son siège à Ksar-el-Kabîr. Les limites territoriales du ressort de l’office régional sont fixées par décret pris sur proposition du ministre de l’agriculture, du ministre de l’intérieur, du ministre des travaux publics et des communications et du secrétaire d’Etat auprès du premier ministre charge du plan et du développement régional. Ainsi, dans le cadre de son programme d’intervention approuvé par le ministre de l’agriculture

le premier ministre et les autres membres du gouvernement . Il en dirige l'activité en présidant le Conseil des ministres . Toutefois cette direction de l'exécutif peut lui échapper lorsqu'il doit « cohabitater » avec une majorité hostile à l'Assemblée nationale . Il peut dissoudre l'A N et peut consulter le peuple par référendum. La nouvelle constitution renforce le pouvoir du président de la république : il détient les pouvoirs traditionnels de la fonction et il nomme le Premier ministre. Il

prés de 80 000 personnes. On constate donc qu’en 1958 lors de la rédaction de la constitution par le gouvernement le Président de la République avait d’important pouvoir sans pour autant avoir la légitimité du peuple. Nous allons étudier dans un premier temps la première partie de l’article, ce qui concerne majoritairement la politique intérieur. Puis dans un second temps nous mettrons en évidence ce qui concerne la politique extérieur dans la seconde partie de l’article. I. Le président de la

étant dotées de moyen d’action et de pression réciproque : c’est le régime parlementaire ; de la séparation rigide qui correspond au régime présidentiel. L’Angleterre est le berceau du régime parlementaire apparu à la fin du 18ieme siècle. Dans un premier temps au profit des notables le régime parlementaire devient véritablement démocratique avec l’élargissement du suffrage (passage du suffrage censitaire au suffrage universel). Après une évolution en profondeur du model initial ce caractérise aujourd’hui

Pouvoirs propres : Nommer le premier ministre Recourir au référendum Dissoudre l'Assemblé Nationale Droit de grâce (annulé une peine) Négocier les traités internationaux Saisir le conseil constitutionnelle Pouvoirs partagé avec le gouvernement (contreseing du 1er ministre obligatoire) : La nomination des membres du gouvernement sous proposition du 1er ministre. La convocation du parlement en session

L’appel à l’abstinence sexuelle lancé par les associations de femmes kenyanes, en avril 2009, pour mettre fin aux querelles entre le président Mwai Kibaki et le Premier ministre Raila Odinga semble faire des émules dans l’Ouganda voisin. Un opposant ougandais, Stanley Kalembaye, a exhorté ses partisans, jeudi, à observer une « grève du sexe » pour dissuader leurs épouses de voter pour le parti au pouvoir lors des élections générale prévues en février 2011. Tous les moyens sont bons pour s’attirer

desquels un pouvoir s’exerce : en tout ces groupes, une distinction apparaît « entre responsables et adhérents, dirigeants et dirigés…en définitive entre ceux qui détiennent l’autorité et commandent et ceux qui acceptent de suivre les directives des premiers »[1]. L’organisation du pouvoir se fait alors au-delà des intérêts particuliers, et relève l’interrogation du « mystère de d’obéissance » (B. de Jouvenel), que Rousseau explique par le système du contrat social : le citoyen délègue son pouvoir à