Premiers Principes Selon Pascal

la prise de décision en général ? | 1.2. | Quels sont les enjeux de la prise de décision pour un manager ? | | Doc 4 p 57 : Définissez les 3 types de décisions d’ANSOFF : | | | | | | Doc 6 p 58 : Quel est le type de décision (selon Ansoff) qu’a pris la DRH ? pourquoi ? expliquez. | | Pourquoi la DRH a-t-elle pris cette décision ?quels facteurs l’ont influencée ? | | Doc 7 p 58 : Quelle est la décision stratégique de la MAIF ? | | De quelle finalité pouvez-vous la

d’autre part ? I-LE SOI : JE SAIS QUE JE NE SAIS RIEN a)Le savoir est l’illusion d’une maîtrise, d’une possession -Premier « sais » = conscience du caractère illusoire du savoir scientifique • Ne pas être détenteur, mais dépositaire d’une connaissance ( Je ne suis pas maître, certaine forme d’écoute + de passivité ( Donation et non captation du savoir -Premier « sais » : juste évaluation de soi-même, c'est-à-dire à une vertu • Vantard = dans l’excès, l’aveuglement qui se méprend

écrivains sont soumis aux règles de l'art, mais plus que l'âge de la règle, le classicisme est l'âge de goût. Selon Molière, la grande règle de toutes les règles et de plaire. Le classicisme est un humanisme. Le véritable objet de la littérature et l'analyse et la peinture de l'homme. Descartes affirme que la raison est la grandeur de l'homme. Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit alors de l’optimisme

mondialisation, donnant naissance à une forme de droit cosmopolite, au-dessus des Etats : cmt le droit s’émancipe des institutions qui l’ont fondé (l’Etat), sur quelles bases s’édifierait un droit souverain seul régulateur de la vie sociale? Double pb selon que l’on fait s’articuler ces dimensions : 1°le droit est-il une puissance autonome ou ne doit-il pas s’allier à la morale à la coutume, à l’Etat, voire à la religion ou à un ordre naturel ss-jacent? 2°la force du droit ne peut se réduire à la contrainte

synonyme de vie accomplie. En quoi l’usage de ces expressions courantes renvoie-t-il à des expériences et des logiques différentes ? On se rend compte, assez vite, que le bonheur est soit passivement reçu, soit activement recherché. Dans le premier cas, nous n’avons rien d’autre à faire que d’attendre et espérer. Dans le second cas, nous devons réfléchir aux moyens de nous le procurer, si du moins il est possible de construire soi-même son bonheur. II) L’ETYMOLOGIE Le mot bonheur, dérive

Schéma d’exécution d’un programme II. Interprétation et compilation L’ordinateur ne sait exécuter qu’un nombre limité d’opérations élémentaires dictées par des instructions de programme et codées en binaire (langage machine). Obligatoirement, les premiers programmes étaient écrits en binaire. C’était une tâche difficile et exposée aux erreurs car il fallait aligner des séquences de bits dont la signification n’est pas évidente. Par la suite, pour faciliter le travail, les programmes ont été écrits

La raison et le réel 1 La raison et ses principes ( a ) la notion de « raison » Etymologiquement, le mot « raison » vient du latin ratio, calcul, compte et définit l’homme comme un être qui possède en lui l’aptitude à calculer et à présenter des justifications relatives à l’exactitude de ce qui est calculé ; terme d’origine commerciale chez les Romains. La raison est la propriété distinctive de l’homme parce qu’il est l’être vivant qui réclame des comptes et rend des comptes ; en allemand

leurs croyances au pouvoir des sentiments après la mort. Ces croyances se sont transmises dans les traditions orales et littéraires, mais aussi, plus contemporain, dans le cinéma d’horreur japonais. Le célèbre film Ju-on : The Grudge fait partie des premiers films d’horreur japonais à avoir instauré un nouveau type de cinéma d’horreur, celui de la malédiction. La perspective féministe qu’offre ce film est unique de par sa construction narrative qui accorde une grande importance aux femmes en tant que

amène à penser que la réponse à la question " qui-suis-je" provient en premier à une exisgence sociale. La société nous oblige à nous définir une identité en s'appuyant sur les caractéristiques qui semblent nous constituer ( exemple de la carte d'identité ) Ainsi l'identité du "moi" reste un phénomène superficiel. Le phénomène est un élément qui nous définit tel que l'on nous perçoit et non de la manière dont nous sommes ( principe de l'apparence ) Par conséquent la manière dont autrui nous représente

Puisque la conscience permet de se penser, elle permet une dualité ou séparation entre soi et le monde. Ce qui est nécessaire à la pensée. La distinction que permet la conscience de sois permet d’intégrer 2 principes logiques nécessaires à la pensée = - principe d’identité : A = A - principe de non contraction : A ( non A et A ( B L’homme n’a de sens qu’à travers l’expression. On ne peut définir qqch qu’en COMPARANT ou SEPARANT. Définition : Définir un terme ou un être c’est dire non seulement