Prendre Conscience Est Ce Se Libérer

3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ......................................................................... 10 4. La conscience (L - ES - S)................................................................................... 13 5. La croyance (Techn.) ........................................................................................... 15 6. La culture (L - ES - S -

préjugés sans prendre conscience d’en avoir ? Dans un premier temps, nous nous demanderons si la difficulté de s’en débarrasser fait que ne sommes ont pas condamnés ? Puis, dans un second temps, nous nous interrogerons si cette lutte contre les préjugés peut-elle avoir une fin ? a) Se libérer des préjugésIl existe de nombreux facteurs issus de la création des préjugés tels que : la personnalité de l’individu, l’éducation, les religions et son entourage. Se libérer des préjugés c’est se libérer d’une certaine

Société qui ne veut pas voir le problème (ex: épuisements des ressources) - Refus de prendre des mesures - Incapacité à résoudre certains problèmes car ils sont au delà des capacités (changement climatique, sur-population, ce qui serait politiquement incorrecte car la société est basée sur l’humanité) Mais quel paradigme voulons nous pour demain ? Notre conscience nous dit (car l’humain possède une conscience en plus d’avoir des pouces opposables): Et après ? Pourquoi saccageons-nous et détruisons

3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ......................................................................... 10 4. La conscience (L - ES - S)................................................................................... 13 5. La croyance (Techn.) ........................................................................................... 15 6. La culture (L - ES - S -

La conscience de soi pourrait se definir comme si l’homme avait connaissance de ses actes et de ses pensées. Or j’ai beau me connaître, savoir par exemple que je suis colérique, et pourtant il m’arrive parfois d’être emporté par cette colère, perdant ainsi tout le contrôle de ma personne et la maîtrise que j’exerçais sur moi-même. Cet état de violence passager prend possession de mon corps, de mon esprit et me livre à une forte agitation et agressivité. Pourtant si j’avais pleinement conscience de

historique et individuelle doit s’en libérer pour être ! Tout cela avec un œil favorable pour le futur, promesse de nouveauté, d’inconnu, et donc livré à tous les imaginaires, par opposition au passé trop commun et rabâché. Pourtant, négliger le passé peut être un danger et peut-être que l’obstacle est plutôt le présent et ce qu’il peut être. Auteurs en référence : Nietzsche, Aron, Sartre (liberté, projet) Plan proposé : I. Dans le passé, pas d’avenir II. Sans conscience du passé, pas d’avenir III.

Extrait d’un texte de Bergson Notre conscience nous avertit […] que nous sommes des êtres libres. Avant d’accomplir une action, quelle qu’elle soit, nous nous disons que nous pourrions nous en abstenir. Nous concevons […] divers motifs et par conséquent diverses actions possibles, et après avoir agi, nous nous disons encore que, si nous avions voulu, nous aurions pu autrement faire. – Sinon, comment s’expliquerait le regret d’une action accomplie ? Regrette-t-on ce qui ne pouvait pas être autrement

travail, fait donc preuve de réflexion et acquière tout au long de sa vie des connaissances sur lui-même, de sorte que le travail le rend apte à se développer et prendre conscience de son être. La relation de travail homme/nature est donc une relation à double-sens. Le travail de la nature est absolulment nécessaire pour que l'homme prenne conscience de son potentiel, « développe les facultés ». C'est ainsi que nous arrivons à la transition entre la première et la deuxième partie du texte. En effet, après

Plan : I. Dans le passé, pas d’avenir II. Sans conscience du passé, pas d’avenir III. Autres conditions : avoir un futur est différent d’avoir un avenir I. Dans le passé, pas d’avenir Oublier = ignorer, ne pas tenir compte, laisser tomber… 1. Ne peut apparaître que le passé soit une contrainte pour faire le futur : on peut ici penser à la critique nietzschéenne. Dans la seconde considération intempestive de l’excès de conscience historique qui a pour conséquences : - le passéisme

viser à se libérer de l'activité laborieuse pour trouver un épanouissement dans le loisir ? [pic]   • B - LE TRAVAIL COMME LIBÉRATION.   Pourtant, si la nécessité contraint l'homme au travail, celui-ci peut néanmoins être conçu comme le moyen, pour celui-là, de s'en affranchir. En effet, en transformant, grâce à la technique et au travail, son environnement, l'homme peut parvenir à maîtriser les forces de la nature. Construisant des digues, des ponts, l'homme au travail se libère des contraintes