Prendre Soin Walter Hesbeen

SOMMAIRE Introduction 2 Situation interpellante 3 1. Cadre conceptuel 3 1.1. Identification culturelle. 3 1.1.1. Identification. 3 1.1.2. Culture. 3 1.1.3. Identité culturelle dans le soin 3 1.1.4. Soins et croyances. 3 1.2. La relation soignant-soigné. 3 1.2.1 La relation soignant soignée qu’est ce que c’est ? 3 1.2.2. La notion de relation d’aide. 3 1.2.3. La notion de confiance. 3 1.2.4. Cadre législatif. 3 1.3. La posture soignante. 3 1.3.1. Le savoir. 3 1.3.2. Le savoir-faire

temps de travail. La circulaire de mars 1960 crée le secteur psychiatrique dont l’objet est de rapprocher l’exercice de soin du lieu de domicile, et le soignant du patient. L’arrivée des techniques de soins et celle des neuroleptiques vont modifier le rôle infirmier et rendre nécessaire une connaissance des maladies, des traitements et de la relation indispensable à l’exercice du soin. Auxiliaire du médecin, l’infirmier devient un collaborateur et jusqu’en 1972 s’inscrit un long cheminement qui va permettre

socialisation. C’est Rosette Marescotti  et Yves Gineste décident d'écrire une nouvelle philosophie de soins qu'ils baptisent la "philosophie de l'humanitude", car toutes les actions soignantes se réfèrent toujours à une philosophie de soin. Une philosophie de soin a entre autres pour objet l'étude des principes fondamentaux d'une activité, d'une pratique, des réflexions sur leurs sens et leur légitimité. La " philosophie de l'humanitude ", développée dans le cadre de la méthodologie des soins Gineste-Marescotti

entre la personne âgée et sa famille, « cela afin de comprendre l’implication ou le désengagement de celle-ci, ce qui caractérise largement le rôle qu’on entend lui voir attribuer (…). Avant de promouvoir la famille comme acteur, il est nécessaire de prendre certaines précautions : informer la famille de sa place dans l’établissement, connaître le réseau familial et les échanges relationnels existants, (…) elle n’en reste pas moins un lien affectif nécessaire au résident : en ce sens au moins, elle doit

de lui donnons 1g de parcétamol et 80mg de spasfon. Nous retournons dans la chambre de la patiente à 5, avec des infirmières, une médecin, un interne et moi meme. Nous essayons une approche avec les comprimés pour lui dire que ca la soulagerais de prendre le traitement. Elle nous repond pas et femr toujours les yeux, nous lui demandons de nous donner sa main pour qu'on puisse lui donner. Elle nous la donne et nous lui donnons 500 mg de doliphrane, elle le prend mais avec beaucoup de difficultés. Nous

l’acceptation, car la personne résignée considère la maladie comme une réalité devant laquelle il ne peut que s’incliner sans vraiment y consentir. Il me semble important de souligner que pour la meilleure pratique possible, il est indispensable que le soin existe dans le cadre d’une relation soignant-soigné d’écoute voir d’aide, en regard notamment de cette situation qui ma amenée à me questionné sur le rôle de l’infirmier dans la prise en charge de patients diabétiques à leurs domicile. J’ai alors

confiance sont nécessaires pour se battre et pour prendre conscience de sa place dans la vie. Il faut apprendre à vivre et à vouloir vivre. CHAPITRE IV : L'épreuve comme métamorphose La maladie va bouleverser l'état existentiel du malade. L'identité va être remise en question et il est important de maintenir celle-ci, de ne pas renoncer à la fois physiquement et moralement. De nombreux témoignages montrent que l'identité intérieure va prendre le dessus sur l'identité corporelle. Ainsi, l'ablation

sentiment de faire un travail inachevé en ne prenant pas en compte la patiente dans toute ses dimensions. En tant que future soignante, je serai probablement confrontée à des situations identiques. Notre profession nous amène à prendre tout type de patients en soin quelque soit leur handicap. Je me suis demandée comment rentrer en relation avec des personnes non communicantes. Il s'avère important pour moi de pouvoir comprendre ce que les patients m'expriment. Ce travail me permettra d'adapter

la biologie fondamentales pour comprendre la pathologie du patient mais aussi pour pouvoir lui expliquer correctement s’il a des questions. Des connaissances en soins relationnelles pour permettre de communiquer et de conduire une relation lors du soin fondé sur la relation de confiance. Puis savoir établir une relation d’aide en ayant repérer les inquiétudes, les peurs les angoisses du patient et ensuite utiliser des techniques verbales et non verbales pour aider le patient. Lors de cette éducation

méconnaitre ses valeurs est source de: CONFUSION INDECISION ILLOGISME BUT DE L’ETHIQUE DANS LES SOINS INFIRMIERS L’épreuve du soin, du face à face avec la personne soignée, beaucoup plus engageante et exigeante d’humanité à vivre que le seul contact avec la maladie, ouvre nos libertés conquérantes et dominantes à la dignité authentique de la personne humaine. Un acte de soin est un lieu d’humanité, parce que la « faiblesse » s’impose à la « force ». La présence auprès de la personne soignée signifie