Prétérition

remet en cause les pensées du Cardinal --> use du système 1ère/ 2ème pers.: elle se défend à titre individuel --> consciente de son manque de savoir ("je ne suis pas assez savante") qu'elle indique avec une fausse modestie: procédé de prétérition --> elle met alors en doute sa crédulité en employant une argumentation "ad hominem" : elle contourne le sujet puisqu'elle ne discute pas les arguments de Richelieu, pour éviter la discussion de fond. + 3 types d'arguments: --> d'autorité

POLYPTOTE : répétition de plusieurs termes de même racine ou encore un même verbe sous différente forme. Exemples : « Ce n’était qu’amours, amants, amantes » FLAUBERT. « Rome vous craindra plus que vous ne l’a craigniez » CORNEILLE. La PRETERITION : figure qui consiste à dire quelque chose en déclarant que l’on ne le dira. Exemples : « Inutile de vous dire que… » « Je n’ai pas besoin de vous présenter monsieur ou madame X » Le ZEUGME ou le ZEUGMA : figure de style qui consiste à

incessant » (l. 21) L'auteur utilise de nombreux connecteurs et notamment des connecteurs chronologiques pour traduire cette évolution: • « Depuis lors » (l. 1) • « Peu à peu » (l. 11) • « Un matin » (l. 23) • « Quelques semaines plus tard » (l. 29) La prétérition « s'il avait fallu en préciser le caractère » (l. 3-4) laisse penser que le narrateur ne veut pas analyser les tropis. Le texte se présente comme un compte rendu scientifique et objectif. Les tournure impersonnelles comme « il est à noter que »

suggérer plus. « Je ne suis pas mécontente de votre travail ». « Va, je ne te hais point ». Corneille • L’ euphémisme : il cherche à atténuer la brutalité d’une réalité. Le troisième âge, les non-voyants, il nous a quitté = il est mort • La prétérition : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors qu’on est justement en train de le faire. Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais… • L’antiphrase : figure phare de l’ironie, elle consiste à

litote : se servir d'une expression qui dit moins pour en faire entendre le plus. Ex : Va, je ne te hais point. (Corneille) L'euphémisme : elle consiste à atténuer une sombre réalité. Ex : Il nous a quittés. La prétérition : feindre de ne pas dire ce qu'on dit. Ex : On a dit autrefois que ses mains étaient avides. Je ne t'en dirai rien, et je laisse décider à ceux qui le savent mieux qui moi. (Montesquieu) Les figures de répétition L’anaphore

sensibilité, partant toute vertu Spectacle qui ôte toutes les qualités humaines (morale, sensibilité, vertu) Registre ironique perceptible : la phrase éternelle, – variations + ou – sonores Renforcement de la réfutation : répétition de Nous nions Prétérition : trop d’exemple pour en citer un seul Illustration – absence de choix, prétendument la plus récente 2. Prolongement de la réfutation Le procédé consiste dans un premier temps à envisager les conséquences normales de la position des partisans

de cette fille etc... (Balzac, La Cousine Bette) HYPOTYPOSE (n.f)/ TABLEAU : description si expressive qu’elle permet au lecteur de se représenter visuellement la scène. Voir plus bas l’exemple de la tirade de Joad dans Athalie à l’article « Prétérition »dans « Figures de pensée » Figures de syntaxe FIGURES D'ECARTS SYNTAXIQUES ELLIPSE (n.f): suppression d'un mot (présent ou non dans le contexte) qui demeure sous-entendu dans l'interprétation. L'air était plein d'encens et les prés de verdures

On n’est pas loin de la prétérition, puisqu’il s’agit d’une stratégie de mettre en saillie des éléments du récit prétendument omis. D’ailleurs, le narrateur ne tardera pas à exprimer la même stratégie – une prétérition- en parlant du père « je ne vous cèle pas les défauts du géniteur». Tout l’intérêt de cette stratégie réside dans cette tension entre le dit et le non-dit

marché. C'est dégradé pour devenir journaliste. Un être déchu dont la mise en garde montre toutes ses désillusions. 3. a) Indique le rôle, l'énonciation nous montre un « vous », Lousteau commence en douceur « je ne vous raconterai pas » → prétérition réelle. Il veut le ménager en évitant de l'ennuyer, veut arriver directement au fait. b) Son rôle est assez ambiguë, il essaye de le dégouter, présente son patron péjorativement, « je suis forcé d'aboyer », ce dernier s'animalise, il dissuaderait

occurrences grammaticales d’un même mot. * Présupposé : information qui reste stable dans un énoncé, même si l’énoncé devient négatif ou interrogatif. Exemple : "La voiture de Pierre est bleue." → présupposé : "Pierre a une voiture." * Prétérition : figure par laquelle on déclare passer sous silence une chose dont on parle néanmoins. * Syllepse de sens : un mot est employé à la fois dans son sens propre et son sens figuré. * Syllogisme : raisonnement déductif formé de trois propositions